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Regulation & taxation

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Senior FSA regulator: 'Can you say no to four or five times your salary?' | Joris Luyendijk. He is a softly spoken Englishman in his mid-30s. We meet in Canary Wharf near the office of the Financial Services Authority (FSA), where he's working as a supervisor. "I find comments about bankers as 'money-grabbing bastards' off the mark. It's not the people who are bad: it's the culture that builds up all these material expectations. People come in, they see that the successful people are the arseholes, and they imitate this kind of bigoted, mouthy person in the hope of getting ahead, too. "Banks are fundamentally amoral places.

"The perception is that the FSA is sort of the B-team, those who didn't make it in, or into, the banks. "The biggest misunderstanding about the FSA? "On an investigation, the ratio of FSA regulators to internal compliance staff at a bank is 40 to 1, easily. "There are perhaps 1 million people working at financial institutions in the UK, while the FSA has 4,200 staff. "I have always been centre-left in outlook and money is not the reason I joined the FSA. Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles.

L’Index de libéralisation financière Le financiarisme s’est évidemment accompagné d’une très large dérégulation financière. Le FMI a construit un Index de Libéralisation Financière (ILF), qui permet de mesurer ce phénomène de dérégulation dans les pays du monde. Observons son évolution : Les commentaires sont fort rapides : un fort mouvement de dérégulation (le mot libéralisation est manipulatoire…) a eu lieu, jusqu’à une dérégulation absolue – et ce dans tous les pays développés ; ce mouvement a démarré à la fin des années 1970 dans les pays anglo-saxons ; les autres pays avancés ont suivi dans les années 1980 ; les pays émergents ont également suivi à la fin des années 1990, mais la Crise a fortement ralenti le mouvement avant qu’il atteigne son plafond. Bien entendu, de telles dérégulation ont fait beaucoup d’heureux : Zoomons alors sur la France… La dérégulation en France Observons alors ce qui s’est passé en France : Pourtant les leçons étaient claires : Et sur le prochain billet …

What Did the SEC Really Do in 2004? By James Kwak Andrew Lo’s review of twenty-one financial crisis books has been getting a fair amount of attention, including a recent mention in The Economist. Simply reading twenty-one books about the financial crisis is a demonstration of stamina that exceeds mine. I should also say at this point that I have no arguments with Lo’s description of 13 Bankers. Lo’s main point, which he makes near the end of his article, is that it is important to get the facts straight. Too often people accept and repeat other people’s assertions—especially when they are published in reputable sources, and especially especially when those assertions back up their preexisting beliefs. This is a sentiment with which I could not agree more. One of the things I was struck by when writing 13 Bankers was learning that nonfiction books are not routinely fact-checked (Simon and I hire and pay for fact-checkers ourselves). I’m not entirely convinced by Lo’s example, however.

Not so fast, Lo says (pp. 34–35): Dodd-Frank in One Graph. Big portions of the financial reform law are set to go into effect this year. Intended to make corporate practices transparent, the law itself is anything but. The government has yet to spell out the details of most of the 400 new regulations it imposes. A non-headache-inducing guide.

ACP

Séparation des banques de dépôt & d'investissement. Taxation des transactions financières. 20/07/2011: EU's Banks Levy is a dangerous idea that will impede reforms in the sector. The latest calls for introduction of the banks levy within the EU (see here) as:the means for financing some of the banks rescue measures andthe means for reducing the probability of the future crises represents nothing more than a cynical and/or largely economically illiterate attempts by the EU lawmakers to dress up new revenue raising measures as ‘reforms’. The core problems with this proposals are: With current market structure & declining competition in Euro area banking sector, this levy represents another hidden tax on European households & companies. "Columns (3) and (4) in the table below report the H-statistic (higher H-stat reflects higher degree of competition in the banking sector) and standard error before EMU for each country or region, columns (5) and (6) after EMU.

Column (9) displays the changes in the H-statistics from pre to post EMU period. " So overall, “the euro area experienced a significant but small decline in bank competition after EMU and the financial crisis. POUR QUI ROULENT LES RÉGULATEURS ? Ce texte est un « article presslib’ » (*) Lorsque le système financier s’effondra à l’automne 2008, à la suite de la faillite de la banque d’affaires Lehmann Brothers, on attribua une part de responsabilité à la dérégulation qui était intervenue – et ceci, à l’échelle globale – à partir des années 1970, mais on constata également que des régulateurs avaient été assoupis aux manettes, alors qu’une législation existait, qui aurait pu être appliquée. J’ai expliqué cet assoupissement de manière générale par le rapport de force défavorable aux régulateurs dans leurs relations aux milieux d’affaires.

J’ai rapporté ici en particulier un épisode auquel j’avais participé : quand un dirigeant de banque m’avait affirmé – sans pouvoir cacher sa fureur contenue – que le régulateur ferait ce qu’il lui enjoindrait de faire, parce que c’est de cette manière-là que marche le monde. La fraction pro-Wall Street du parti républicain exerce donc en ce moment tout le pouvoir dont elle dispose. LA RÉGLEMENTATION FINANCIÈRE PERMETTRA-T-ELLE DE CHANGER DE PARADIGME ?, par Mathilde Lemoine. Le texte que vous allez lire n’est pas récent : il a été publié dans la Revue de la CFDT en 2009 (N° 93, pages 24 à 29).

Si j’ai demandé à son auteure (vous avez pu nous voir côte à côte sur le plateau de Ce soir (ou jamais !) , le 24 mars) l’autorisation de le reproduire, c’est parce qu’il explique magistralement en une synthèse de six pages ce que je n’ai eu l’occasion d’expliquer que beaucoup plus longuement (La crise du capitaliste américain – 2007, L’implosion – 2008, La crise – 2008). Vous noterez j’en suis sûr, qu’alors qu’il existe aujourd’hui une multitude d’interprétations des origines de la crise, nous en offrons, Mathilde Lemoine et moi, la même exactement. L’ampleur de la crise actuelle rend indispensable la mise en œuvre d’une nouvelle régulation financière et bancaire.

Mais elle ne suffira pas à limiter la « dérive monétaire » et les dysfonctionnements observés. Bilan et perspectives d’action. Le réveil est douloureux. …mais aussi la politique monétaire. Www.ecb.europa.eu/ecb/legal/pdf/en_con_2011_29.pdf. A fight breaks out in a bar... Last week we organised a debate in London on the EU's proposed short-selling rules (a summary of the event can be found here). With four excellent panellists, we covered lots of ground and managed to get into the crucial details without losing track of the bigger picture (always a challenge with what is, after all, a highly technical piece of financial legislation).

The proposal is currently gridlocked in negotiations between MEPs, member states and the Commission. As it stands, the proposed short-selling regulation is a mixed bag - some much needed transparency measures are welcome, but some provisions on the table could be counterproductive and hurt weaker European economies . In particular, MEPs want to impose a blanket ban on short-selling of "uncovered" Credit Default Swaps on sovereign debt, to counter "speculation" against weaker eurozone economies. MEPs insistence on a blanket ban is all about political games - it has nothing to do with economic realities.

Bale III

Le Parlement européen tâcle les machés financiers. «C’est un appel de phares dans le brouillard de la crise financière», s’amuse, lyrique, un militant britannique de Robin Hood Tax, une coalition d’ONG pour une taxe sur les transactions financières (TTF). «L’appel» a été lancé hier par le Parlement européen. S’il reste symbolique (les eurodéputés n’ont pas le pouvoir d'initiative législative), il n’en demeure pas moins porteur d’une réelle dynamique. Sans cesse repoussée, la résolution en faveur d’une TTF est finalement passée à Strasbourg. Massivement. Pas moins de 529 voix pour (127 contre, 19 abstentions) ont ainsi entériné cette proposition qui figure dans le rapport de la socialiste grecque Annie Podimata.

Surtout, la grande surprise est venue de l’adoption (360 pour, 299 contre) d’un amendement préconisant l’instauration de la TTF à l’échelle européenne - qui pourrait drainer jusqu’à 200 milliards d’euros annuels dans la seule UE. Que s’est-il passé ? N.B.: il s'agit d'une version longue d'un papier paru ce matin dans Libération. Les eurodéputés veulent taxer les transactions financières. Les eurodéputés ont voté hier deux résolutions visant l’adoption d’une taxe sur les transactions financières (TTF) au niveau européen. Les 200 milliards générés par cette taxe inédite pourraient financer des projets européens et de développement. Réunis hier à Strasbourg , les eurodéputés se sont prononcés à une large majorité pour la mise en place d’une taxe sur les transactions financières (TTF).

Même si celle-ci ne devait être appliquée, dans un premier temps, qu’à l'échelle européenne. Adoptée par 529 voix pour soit plus de 77%, l’initiative des eurodéputés portée par la grecque Anni Podimata (Sociaux-Démocrates, S&D) a largement bénéficié du soutien apporté par la Chancelière allemande Angela Merkel. Nous souhaitons que cette taxe sur les transactions financières soit acceptée par tous les membres de l'Eurogroupe [la réunion des ministres des Fiances de la zone euro], L’UE entend désormais jouer un rôle moteur pour la régulation financière au niveau mondial. Situation injuste. Les banques augmentent leurs tarifs alors que les taux de crédit sont au plus bas avec des services de plus en plus cher. On savait que la baisse de la rentabilité de leurs activités de marché et de conseil amènerait les banques à augmenter leurs tarifs. C'est fait, et ce n'est pas fini ! "La crise, qui a modifié le rapport de force entre les banques et leurs clients, leur a permis d'augmenter leurs tarifs", résume Jérôme Longeat, manager frais bancaires et trésorerie chez Alma Consulting Group.

Pour le calcul des intérêts débiteurs, relève-t-il, elles ont toutes changé leur taux de référence, passant du taux au jour le jour l'Eonia (aujourd'hui à 0,627) à l'Euribor 3 mois (à 1,026). Comme elles se refinancent au prix du premier, elles empochent la différence, soit 0,4%. Ce qui, dans un environnement de coût très bas de la ressource, représente une facturation supplémentaire significative pour les clients. "Si les très grandes entreprises ont su tirer parti de la baisse du coût de l'argent, elle a été beaucoup moins forte pour les PME", dit David Laugier, chez BFinance.

Des hausses tarifaires généralisées. La France essaierait de «voler» HSBC à l'Angleterre. Selon le quotidien britannique The Telegraph, les autorités françaises tiendraient actuellement des réunions avec les dirigeants de la banque britannique HSBC afin de les convaincre d’installer leur nouveau quartier général à Paris plutôt qu’à Londres. Un éventuel déménagement qui ferait du bruit outre-Manche alors que Douglas Flint, le président de la banque, a expliqué la semaine dernière devant des analystes et des investisseurs de la City que celle-ci s’inquiétait «beaucoup» des orientations prises par le Royaume-Uni en matière de régulation financière, avec notamment la taxe sur les bonus et des exigences accrues de fonds propres.

Le quotidien rappelle qu’il y a quelques semaines, le directeur général Stuart Gulliver avait lui dû démentir dans un communiqué un projet de déménagement du quartier général de HSBC à Hong Kong, révélé, déjà, par le Sunday Telegraph. «HSBC mène une évaluation de son implantation principale tous les trois ans. Publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur.