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Bale III

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Banques : pourquoi Lagarde ne comprend rien à l’économie. Les solutions à adopter pour les banques sont tout sauf celles préconisées par le FMI.

Banques : pourquoi Lagarde ne comprend rien à l’économie

Par Charles GaveUn article de l’Institut Turgot. La crise des dettes souveraines met au jour les failles des nouvelles règles financières. On a coutume de dire que les régulateurs ont une crise de retard.

La crise des dettes souveraines met au jour les failles des nouvelles règles financières

La situation de la zone euro en offre aujourd'hui un exemple frappant. Bale III: les enjeux du débat transatlantique. Fonds propres des banques: Bruxelles assure être fidèle aux règles de Bâle. Le commissaire européen chargé des services financiers, Michel Barnier, a réaffirmé vendredi son intention de transposer pleinement dans la législation de l’UE le récent accord de Bâle III sur les fonds propres des banques. « L’Union Européenne mettra en oeuvre, comme elle l’a toujours fait, et comme elle a souvent été la seule à le faire, l’accord de Bâle, en respectant pleinement son niveau d’ambition et son équilibre », a-t-il dit.

Fonds propres des banques: Bruxelles assure être fidèle aux règles de Bâle

Europe-Certaines banques échapperont en partie à Bâle III-FT. LONDRES, 27 mai (Reuters) - Certaines banques européennes, dont les françaises Société générale (SOGN.PA: Cotation) et BNP Paribas (BNPP.PA: Cotation), pourraient se soustraire en partie aux normes prudentielles dites de Bâle III, selon un projet de directive européen cité par le Financial Times.

Europe-Certaines banques échapperont en partie à Bâle III-FT

D'après le journal britannique, ce projet permet aux banques européennes dépasser le plafond imposé par le comité de Bâle sur l'utilisation du capital des filiales assurance pour atteindre les ratios de solvabilité minimum. Le comité de Bâle sur le contrôle bancaire est le comité de la Banque des règlements internationaux (BRI) chargé d'élaborer des recommandations en matière de supervision bancaire. Il a publié en décembre le texte définitif des normes Bâle III qui doivent permettre aux établissements de crédit de mieux résister à de nouveaux chocs financiers. (voir [ID:nLDE7061QX]) (Karolina Tagaris, Benoit Van Overstraeten pour le service français, édité par Nicolas Delame) Le financement de projet à la merci de Bâle III.

Ces nouvelles règles, connus sous le nom de règles de Bâle III, limiteront la capacité des banques à fournir des prêts dans le cadre de financements de projet que les Etats ou les collectivités locales peinent à prendre en charge en raison de la situation très dégradée de leurs comptes.

Le financement de projet à la merci de Bâle III

"Les banques ont été le fer de lance des projets financés sur fonds privés. Si les financements à long terme exigent plus de capitaux pour les garantir, l'enthousiasme des banques pour les proposer en pâtira", prévient Andrew Davison, vice-président à l'agence de notation Moody's. En Europe, le développement des partenariat public-privé, pour financer des infrastructures énergétiques, de transport et de communication nécessaires à la poursuite de la croissance économique et de l'emploi sera ralenti. Le secteur de la construction représente 7,1% de l'emploi total en Europe, selon la Fédération européenne de l'industrie de la construction.

Bâle 3. La nouvelle règlementation des banques, élaborée suite à la crise financière de 2008, est basée sur les règles de Bâle 3.

Bâle 3

Il manque encore beaucoup de précisions relativement à ces règles, mais je présente ici les grandes lignes de ces changements qui commenceront à être mis en place graduellement entre 2013 et 2019. La règlementation de Bâle se traduit essentiellement par un niveau de capital minimum que les banques doivent maintenir. Le ratio minimal de capital Tier 1 sous Bâle 2 était de 4% des actifs pondérés par le risque. Lorsque vous démarrez une entreprise, il vous faut du capital pour financer votre investissement. The Citigroup Rule. My previous post looked at one of the two major issues in Basel III’s all-important liquidity requirements that still have to be determined by national regulators.

The Citigroup Rule

This post will look at the other major issue that was left to national regulators, which I’m trying to get people to call “the Citigroup rule.” (Do it, it’s cool.) To recap, the main component of Basel III’s liquidity requirements, the Liquidity Coverage Ratio (LCR), requires internationally active banks to maintain a stock of “high-quality liquid assets” that’s sufficient to cover cash outflows in a 30-day stress scenario. The cash outflows in the stress scenario are calculated by applying “run-off rates” to each source of funding (e.g., unsecured wholesale funding, repos, etc.). Most of the action/controversy here is in the different run-off rates used. Under the heading, “Other contingent funding obligations,” the final Basel III document says: (emphasis mine) 101. Did you catch that? So what did Citi do? L’échec attendu du G20, en retard d’une régulation sur les superbanques » Article » Ownipolitics, Bilan, débats et enjeux.

Basel III Is Just the Beginning - The Source. By Alen Mattich There’s a widespread view the 2008 banking crisis is over.

Basel III Is Just the Beginning - The Source

It’s not. At least not in Europe. And the eventual fallout could result in a significant shrinkage of the financial services industry. To see the scale of the problem, it’s important to start with Europe’s rolling sovereign-debt crisis. So far, the bailouts have been structured as loans, albeit with ever longer maturities on ever better terms. The scale of austerity demanded of peripheral Europe’s populations and scale of debt service needed to pay back loans is already beyond what these countries will be able to tolerate for long.

The latest estimates are that Irish banks will need as much as another €23 billion to meet tightening capital requirements. Spanish real-estate prices have been marked down by an improbably small amount given the vast amount of overcapacity. DESSOUS DES CARTES. Billet invité A quoi tiennent parfois les choses !

DESSOUS DES CARTES

L’avenir de l’Europe et de l’euro est désormais prisonnier des péripéties de la vie politique allemande, au fil des élections régionales qui se succèdent et que la coalition au pouvoir semble continuer à devoir perdre. L’intelligence de la crise de la dette européenne et de sa solution se résumant pour Berlin à l’impérieuse nécessité de réduire par tous les moyens les déficits publics, il en découle deux conséquences qui éclairent les épisodes en cours, le gouvernement étant dans l’obligation d’être exemplaire sur ce terrain. 1.

A Bâle, les banquiers préparent… leurs futurs banquets. La logique voudrait sans doute qu’on tire la leçon des catastrophes provoquées par l’appât du gain libre et non régulé des grandes banques d’investissement. Cela supposerait d’une part de s’assurer que les banques participent à éponger les dommages qu’elles ont causé, et d’autre part de prendre des mesures pour encadrer sévèrement les activités des établissements bancaires. Comme le bon sens est la chose du monde la mieux partagée, les dirigeants du G20 ont appelé courant 2009 à la mise en place de nouvelles règles pour le secteur bancaire. Il en appelait ainsi à ce que des recommandations soient formulées par le comité de Bâle, composé des représentants des grandes banques centrales et des autorités prudentielles de 27 pays.

Ces recommandations seraient la base des réglementations mises en place dans l’Union européenne et les Etats-Unis. Tremblez, banquiers ! Bâle III / Basle III.