François Hollande : contre le terrorisme, «il faut armer la démocratie» Face à l'ampleur des crises actuelles − sécuritaires, sanitaire avec l'épidémie de Covid-19, et sociale − François Hollande met en garde contre le risque de défiance d'une partie de la population envers le pouvoir.
L'ancien président de la République entend par ailleurs travailler à la construction d'une « nouvelle force politique » sans laquelle, juge-t-il, « la gauche de gouvernement n'aura pas de candidature capable de gagner l'élection présidentielle » en 2022. Voilà cinq ans, avaient lieu les attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis. Vous étiez alors à l'Elysée. Que ressentez-vous ? FRANÇOIS HOLLANDE. Comment jugez-vous la politique suivie par Emmanuel Macron en matière de lutte antiterroriste ? Il y a une continuité dans la lutte contre ce fléau. Vous ne voyez pas l'utilité de lois d'exception comme le souhaite une partie de la droite ? Newsletter Nos analyses et indiscrétions sur le pouvoir Politique Le gouvernement a-t-il eu raison de reconfiner ? FRANÇOIS HOLLANDE. Terrorisme : la démocratie en danger ? Du 11 septembre à la mort de Ben Laden.
Préfet délégué pour la défense et la sécurité et docteur en sciences politiques, Christian Chocquet livre dans cet ouvrage une réflexion globale sur la question du terrorisme.
Les trois premiers chapitres sont consacrés à un travail de définition et d’interrogation des concepts que l’émotion du 11-septembre, puis la guerre contre la terreur, ont occulté. Une des difficultés majeures de la lutte contre le terrorisme est en effet la définition de ce dernier, qui n’a jamais connu de consensus. Il faut donc chercher une définition en creux, en posant une série de distinctions avec les notions de groupe criminel et de guérilla. D’après l’auteur, le terrorisme est avant tout un « instrument par défaut » (p. 63) pour mener un combat politique, soit en vue d’aboutir à une négociation (IRA, ETA), soit dans un but révolutionnaire pour renverser un système jugé illégitime ou illégal (Al-Qaïda).
Déclaration du Président Emmanuel Macron après l’attaque terroriste de Nice. Mesdames, messieurs, Une fois encore, notre pays a été frappé par une attaque terroriste islamiste.
Une fois encore ce matin, ce sont trois de nos compatriotes qui sont tombés à Nice, en cette basilique Notre Dame de Nice et très clairement, c'est la France qui est attaquée. Au même moment, nous avions un site consulaire français qui était attaqué en Arabie saoudite, à Djeddah, au même moment, des interpellations sur notre territoire se faisaient.
Je veux ici dire d'abord et avant tout le soutien de la Nation toute entière aux catholiques de France et d’ailleurs. Après l'assassinat du père HAMEL à l'été 2016, c’est une nouvelle fois les catholiques qui sont attaqués dans notre pays, menacés avant les fêtes de la Toussaint. Le deuxième message que j'ai est pour la ville de Nice, Monsieur le Maire, pour les Niçoises et les Niçois, si durement éprouvés par la folie terroriste et ce terrorisme islamiste. Je le dis avec beaucoup de clarté une fois encore aujourd'hui : nous n'y cèderons rien. Déclaration du Président Emmanuel Macron après l’attaque terroriste de Nice. Attentats: Pour la presse française, c'était «la guerre en plein Paris» Ne pas avoir peur des mots.
C'était «la guerre en plein Paris» relate la presse française de ce samedi, qui appelle à «faire front» après les attentats simultanés qui ont frappé la capitale vendredi soir, faisant au moins 120 morts. >> Les témoins racontent leur soirée d'angoisse «La guerre en plein Paris» titre Le Figaro tandis que Libération évoque des «carnages à Paris», à l'unission des quotidiens régionaux : «Carnages en plein Paris» (L'Ardennais), «Le carnage» (La Dépêche du midi), «Paris en sang» (La Charente libre), «Nuit sanglante dans les rues de Paris» (Le Courrier picard), «L'horreur» (Nice-Matin).
Attentat de Nice : pour Estrosi, "il faut modifier la Constitution" pour lutter contre le terrorisme. Quelles réponses la France peut-elle apporter après l'attentat de Nice, qui a fait trois morts, jeudi matin ?
Certains souhaitent un apaisement et un respect de l'état de droit, quand d'autres, notamment à droite et à l'extrême droite, demandent une justice d'exception pour faire face à la menace terroriste. Pour Christian Estrosi, maire LR de Nice et invité d'Europe 1, vendredi matin, une modification de la Constitution doit avoir lieu si le texte actuel ne permet pas d'apporter des réponses suffisantes. Alain Chouet : "Face au terrorisme, la démocratie doit d'abord rester une démocratie" - Vidéo Dailymotion. Menace terroriste : le député Guillaume Peltier propose d'interner les 22 000 fichés du FSPRT. Démocratie Participative.