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Eléphantes Pinder

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DELIBERATION N° 20005987 - Séance du 12/12/2000. Le Conseil Municipal, Vu le rapport en date du 16 novembre 2000 par lequel M. le Maire : A/- Expose ce qui suit : "Le Cirque Pinder-Jean Richard présentait quatre femelles éléphants d'Asie (Elephas maximus).

DELIBERATION N° 20005987 - Séance du 12/12/2000

Parmi celles-ci, deux avaient été achetées en Angleterre en 1993 pour être associées dans un spectacle à deux individus déjà présents dans le cirque. Au début de l'année 1999, les femelles d'origine anglaise ont perturbé le déroulement de la présentation avec refus d'obéissance et simulacre d'attaque. Monsieur Gilbert Edelstein, Président Directeur Général du Cirque Pinder-Jean Richard, a proposé à la Ville de Lyon de confier au Jardin Zoologique ces deux éléphants, en attendant la réalisation d'un parc animalier dont la direction de ce cirque a le projet et qui devrait accueillir des animaux retirés du spectacle.

Cette proposition est intéressante pour le Jardin Zoologique qui héberge la dernière femelle d'un groupe de quatre éléphants. Vu ladite convention ; Le cirque Pinder fête les 100 ans de Punch l'éléphant - Toulouse. Punch, l'éléphant star du Muséum a fêté hier ses cent ans.

Le cirque Pinder fête les 100 ans de Punch l'éléphant - Toulouse

Pour l'occasion, Frédéric Edelstein, dompteur au cirque Pinder, en tournée au Zénith de Toulouse, a découvert avec émotion l'animal fusillé et naturalisé en 1910. Frédéric Edelstein, dompteur au cirque Pinder-Jean Richard peut parler des heures de son métier. Hier, il est venu au Muséum de Toulouse, en compagnie de sa famille, fêter les cent ans de Punch, l'éléphant naturalisé en 1910. Actuellement en tournée au Zénith de Toulouse, Frédéric n'avait jamais vu le pachyderme fusillé en 1907 par l'armée, après avoir « pété les plombs », sur ordre du directeur, Arthur Pinder.

À l'époque, l'animal avait éventré deux chevaux du cirque basé alors à Montauban. L'éléphant : tout ou rien « Pour cause de retards administratifs, mes quatre éléphants ne sont malheureusement pas pour le moment, présents sur cette tournée, avoue Frédéric Edelstein. Tuberculose : Le Parc de la Tête d'Or va bientôt perdre ses éléphants. Les autorités du parc ont décidé lundi de fermer deux allées aux visiteurs à proximité du zoo par sécurité.

Tuberculose : Le Parc de la Tête d'Or va bientôt perdre ses éléphants

La raison ? Les deux éléphantes Népal et Baby sont atteintes de la tuberculose. Pour l'instant rien ne dit que le virus est transmissible à l'homme mais il vaut mieux user de prudence donc. En revanche, les Lyonnais et autres touristes badauds risquent de ne plus jamais voir d'éléphants dans le parc. Car même si la dernière éléphante, Java, n'a pas encore été dépistée et pourrait ne pas être touchée, elle habite dans le même bâtiment que les deux autres depuis 1999. Air libre Une sinistre nouvelle donc, car en raison de la vétusté des locaux, plus jamais aucun éléphant ne pourrait être accueilli dans le parc. Lyon : les éléphants ont la tuberculose. La ville de Lyon peine à soigner des éléphants tuberculeux.

Les malheurs deviennent légion chez les pensionnaires du zoo du parc de la Tête d’Or à Lyon.

La ville de Lyon peine à soigner des éléphants tuberculeux

Après la noyade d’une lionne et le vol de quatre singes, voilà que deux de ses trois éléphants, Baby et Népal, ont été dépistés comme porteurs de la tuberculose. Le diagnostic courait depuis l’an dernier. Et pour éviter que se propage une contagion, les pachydermes ont été éloignés du public. Mais il s’agit également d’éviter que la maladie ne gagne le troisième éléphant, Java. Éléphants tuberculeux au Parc de la Tête d'Or : Le Cirque Pinder s'offusque. Comme nous l'évoquions lundi, deux éléphantes sur trois du zoo du Parc de la Tête d'Or à Lyon seraient atteintes de la tuberculose.

Éléphants tuberculeux au Parc de la Tête d'Or : Le Cirque Pinder s'offusque

La commune avait demandé au Cirque Pinder, à qui appartient les deux pachydermes Baby et Népal, de prendre des mesures pour la suite de leur vie : les récupérer et les guérir ou les euthanasier. Mais le PDG du cirque Pinder, Gilbert Eldestein, a fait savoir que ce n'était pas à sa société de s'occuper de leur traitement et qu'il refusait par ailleurs de mettre fin à leur vie, arguant que la ville de Lyon avait peu de reconnaissance « envers des animaux qui ont fait depuis plus d’une décade (...) la joie des Lyonnaises, Lyonnais et de leurs enfants ». Les deux éléphantes du Cirque Pinder avaient été prêtées au zoo du parc en bonne santé, estime le PDG. « Alors qu’on veut me les redonner malades », s’insurge encore l’ancien dompteur. « On veut se débarrasser de mes éléphants à bon compte » « Je vais demander à la ville des dommages et intérêts »

Le Cirque Pinder ** Le geant des Cirques Europeen** JT : Le cirque Pinder va-t-il perdre ses éléphants ? - Les journaux du Week-end - Vidéos.