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Paul Ariès. « Il faut une décroissance matérielle mais une croissance en humanité » Paul Ariès est politologue, essayiste, journaliste, rédacteur en chef de la revue « les Z'indignés », et objecteur de croissance a ouvert le Forum de l'Economie Responsable (Fer) de Morlaix, qui se déroule les 19 et 20 octobre à Morlaix. Interview. Vous vous définissez comme un « objecteur de croissance amoureux du bien-vivre ». Qu'est ce que cela veut dire exactement ? Je suis pour une décroissance qui n'est pas l'austérité. La planète est actuellement assez riche pour permettre à 7 milliards d'être humains de bien vivre. Comment peut-on y arriver ? Il est nécessaire de sortir du « toujours plus », en lui opposant quelque chose qui soit aussi fort, comme par exemple le don, le partage, la gratuité des services publiques...On voit actuellement l'émergence de tout un mouvement à ce propos : gratuité dans la restauration collective, la culture, les transports, l'eau.

Il n'y a pas de réponses, de solutions, dans le cadre du système actuel. Je ne suis pas un fétichiste du vocabulaire. Earth Blog: EARTH MEANDERS: Ecocide Is Not Development; Love and Ecology Are the Answer. Earth's ecosystems are collapsing, human and all species' habitats are being lost, and our one shared biosphere is failing and dying.

Love of other peoples and species and of nature, truth, justice, and equity are the only lasting basis for global ecological sustainability. “It is no measure of health to be well adjusted to a profoundly sick society.” – Krishnamurti “Truth matters. Freedom matters. Justice matters. Ecology matters. By Dr. Earth is alive – just like the biological patterns found in cells, species, individual organisms, and ecosystems; only at a different scale – and thus can die if boundary conditions for health are exceeded. Burning fossil fuels and clearing natural ecosystems are industrial ecocide, the furthest thing possible from "development" or any meaningful and lasting human advancement. The problem with climate change and ecosystem loss is that we think we have time, when in fact the biosphere is already well into collapse.

Ecology is the meaning of life. Le SMIC à 1 700 euros, une fausse bonne idée ! » Publié dans LesZindigné(e)s!. Introduction Présenté par beaucoup comme solution pour réduire les inégalités, le SMIC à 1 700 € a tout de la fausse bonne idée : elle paraît évidente au premier abord, mais à la réflexion elle devient une aberration, tant d’un point de vue économique et environnementale que du point de vue politique et culturel.

Rappelons d’abord la signification du SMIC qui s’inscrit pleinement dans la logique de notre société capitaliste et productiviste : Salaire minimum interprofessionnel de Croissance… le mot est lâché, allons plus loin. Les Objectrices et Objecteurs de Croissances (OC)[i] sont fondamentalementopposés à cette logique suicidaire de croissance illimitée. Augmenter le revenu minimum, c’est augmenter la masse monétaire en circulation, donc la production, donc les prélèvements de ressources, qui tendent aujourd’hui à s’épuiser. 1. L’aberration ce n’est pas l’augmentation du SMIC, c’est le système économique lui-même, dans lequel nous nous sommes enfermés. 2.

Articles d'Ecologik Business, ressources en écologie, développement durable, évolution soutenable. Ma banque s'enrichit en m'incitant à vivre à crédit | Rue89. Devant Westpac à Sydney le 6 mai (Daniel Munoz / Reuters) J’ai récemment changé de carte de crédit. Le taux d’intérêt de la précédente était passé de 12,3% à 29% sans aucun préavis. Ma nouvelle carte ne m’accorde que la moitié du crédit de la précédente, mais c’est précisément ce que je voulais.

Par les temps qui courent, moins on a de dettes, mieux on se porte. Une amende de 39 dollars pour un dépassement de 10 dollars Quelle n’a donc pas été ma surprise, la semaine dernière, de constater que Chase, la compagnie de crédit, me facturait une « amende » de 39 dollars pour avoir dépassé ma limite de seulement 10 dollars ! Il y a un an, une aventure similaire m’est arrivée avec ma banque. Virée chez mon banquier : je demande pourquoi il n’a pas respecté mon souhait de ne pas m’autoriser de découvert. - Parce que c’est notre politique, me répond-il. - Mais enfin, puis-je l’empêcher ? Les banques prennent leurs clients en otage Les pauvres sont les victimes du système. Pour Sophie de Menthon, la décroissance évoque les mendiants... Sophie de Menton et ses potes mendiants décroissantsenvoyé par Marianne2fr. - L'info video en direct. Du même auteur La décroissance ? C'est follement sympathique ! Prenez Sophie de Menthon : pour elle, la décroissance, c'est un mendiant qui traîne à la gare de Lyon...

Sur le plateau de l'émission d'Arte Paris-Berlin, où la présidente du syndicat patronale Ethic racontait son anecdote, le 19 novembre dernier, un léger malaise planait. «J'avais un euro et je lui donne et je lui dis : soyez gentils, montez-moi ma valise ! Délicieux folklore des pauvres et des alters Extrait de La décroissance, numéro de décembre 2009-janvier 2010, page 6. Incroyable imbroglio, formidable mélange... mais surtout inquiétant révélateur de la vision du monde de madame de Menthon, qui considérait, en tendant une pièce au mendiant pour qu'il porte sa valise, rendre un «service».

De Menthon et le «pessimisme français qui privilégie l'assistance» L’inquiétant « Petit livre vert » de l’abondance frugale. « Manquer de quoi que ce soit, quel supplice, manquer de tout, quel débarras ! », avait écrit Sacha Guitry. Cet aphorisme pourrait traduire, l’humour en plus, la notion de « sobriété heureuse » que propose l’économiste Serge Latouche dans son dernier essai, Vers une société d’abondance frugale (Mille et une nuits, 208 pages, 4,50 €). Le titre, pour le moins oxymorique, de ce livre semble d'autant plus séduisant que, dès les premières pages, il n’est question que de « l’ivresse joyeuse de la sobriété choisie » (p. 11), de « la redéfinition du bonheur comme "abondance frugale dans une société solidaire" » (p. 14) et d’un « modèle de société où les besoins et le temps de travail sont réduits, mais où la vie sociale est plus riche, parce que plus conviviale » (p. 38).

Au sein de cette société occidentale diabolisée, même si les Américains du Nord polluent et consomment plus que tous les Européens réunis, ce sont pourtant ces derniers qui sont visés au premier chef.