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22 / 11 / 2011

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Next Step: Loan Strike! by Lawrence Weschler. S o Shlomo is up again all night, tossing and turning—or so the old story goes—and by three in the morning, Hannah, his long-suffering and increasingly exasperated wife, has had it. "Enough already with the tossing and turning, Shlomo! What's keeping you up like this night after night, and me too while we are at it? " "It's Moishe across the lane," explains Shlomo, trembling. "I owe him 10 rubles, due tomorrow, and I don't have it. " To which Hannah, climbing out of bed and heading over to the window, retorts, "Is that all?

In the mode of that story, I'd like to offer a proposal to the Occupy Wall Street activists and their well-meaning supporters scattered all around the country, and for that matter to many of you who don't yet actively support them. To Begin With, Though, a Few Words About Our Current Situation Start with Occupy Wall Street. Turning to the situation of the wider economy. And what does government seem capable of doing in the face of all this? Weighing Occupy Wall Street's Impact. Brouckenvrac. Occupy UC Davis Calls Nov. 28 General Strike to Shut Down CA Campuses, Block Regents' Austerity Vote. December 6: Occupy Wall Street “Goes Home” Posted 2 years ago on Nov. 23, 2011, 11:17 a.m. EST by OccupyWallSt December 6 will be a big day of action for the Occupy Wall Street movement.

#OWS will join the struggle of families and communities that have been on the front lines of a struggle for economic justice. We will stand in solidarity and ask our fellow occupations to join us for a national day of action on the foreclosure crisis. The Occupy movement is born of the simple belief that humanity could meet our common needs if not for the predation and greed of the very few. In a nation that puts the right to housing at the center of its founding dream, millions of people have lost their homes or fear that they soon will because of the foreclosure crisis. Wall Street turned a fundamental human need into a badly rigged casino game with fraudulent lending practices and corrupt securitization. More information to come. Occupy Wall Street march to D.C. arrives in capital. Right on schedule, the small group of Occupy Wall Street protesters who set out to march to the capitol has arrived in Washington, D.C.

The group, called Occupy the Highway, joined the Occupy D.C. movement today, where they will conduct a joint general assembly, before moving the National Mall for a “temporary occupation,” according to a press release from Occupy Wall Street. Marchers left Zuccotti Park in New York City on November 9 with a goal of reaching D.C. by November 22. They visited other Occupy movements and set up camp in towns along their route during the two-week march, where they walked about 20 miles per day.

The plan was to get to D.C. to hold a rally against tax breaks for the wealthy ahead of a meeting by the super committee, which has failed to reach a deal on reducing the deficit. “The so-called super committee was a failure from the beginning. It was an attempt to do something undemocratic. Let’s not make money. With the Occupy Wall Street manifestations taking up much of our social and political imaginations these days, we thought we’d highlight a few great films that bring context to the current uprising and related issues.

Protesters are of course creating awareness about and resisting the global financial system and all its inequities and bad blood lineages. A broken economic system fuelled by greed and passed down to generations looking out for what their parents looked out for—themselves—is suddenly and finally the topic of the day, thanks to all the amazing activists occupying our financial districts and our attention. Yet still many don’t fully understand what it’s all about, and since the devil is in the details, why not check out some documentary fare to round out the picture? Below is a list compiled from Cinema Politica and elsewhere of 10 docs that poke and prod at the capitalist economic system with creativity and criticism. Who’s Counting? Occupy Wall Street: Le policier au gaz au poivre devient un mème.

C'était inévitable: le policier de l'université UC Davis aspergeant de gaz au poivre de pauvres étudiants assis fait les joies de tous les apprentis photoshoppeurs. Les détournements pullulent sur tumblr. Le lieutenant John Pike arrose tout: des lolcats, Maître Yoda, Winnie l'ourson, un album de Pink Floyd ou encore Marianne. Les meilleures créations sont reprises par BoingBoing et Wired, notamment. Si l'Internet mondial a choisi d'en rire, les événements ont choqué l'Amérique. L'université a ouvert une enquête et plusieurs officiers ont été mis en congés, le temps d'éclaircir l'affaire. Les étudiants protestaient pacifiquement, en soutien au mouvement Occupy Wall Street. La police évacue le camp des indignés à Québec | Grands Titres. La police de Québec a procédé mardi matin au démantèlement du campement des indignés à la place de l'Université-du-Québec. À l'arrivée des policiers, six personnes se trouvaient sur place.

Elles ont toutes accepté de quitter les lieux sans résister. Des employés municipaux ont ramassé tous les objets qui s'y trouvaient, dont quelques tentes et des meubles. Les personnes expulsées pourront récupérer les biens qui leur appartiennent au cours des prochains jours. Le maire de Québec, Régis Labeaume, a dit agir ainsi pour la sécurité des occupants. « Ça fait plusieurs semaines qu'on leur répète quotidiennement que la place publique n'est pas un lieu de camping. Guy Wera, l'un des protestataires, réfute les explications de la Ville. « Il n'y avait aucune raison de sécurité pour nous faire partir. Montréal À Montréal, le maire Gérald Tremblay est aussi d'avis que la paix et la sécurité sont menacées au square Victoria en raison de la présence grandissante d'itinérants. Ottawa Toronto Vancouver.

Montréal - L'étau se resserre. Après plus d'un mois de tolérance, Montréal imite les autres villes canadiennes et demande aux indignés de mettre fin à leur occupation du square Victoria. «J'ai toujours dit que la paix et la sécurité (...) devaient primer sur toute autre considération, a dit Gérald Tremblay dans un communiqué, hier. Comme ces conditions ne sont plus respectées, le temps est venu que les indignés trouvent d'autres façons de faire passer leur message.» Cette position de la ville de Montréal suit d'ailleurs la tendance canadienne.

Hier, les occupants de Toronto ont été forcés de quitter leur site après qu'un juge ait donné raison à la Ville, qui avait présenté un avis d'expulsion, la semaine dernière. Le froid va «tout arrêter» L'arrivée imminente de l'hiver semble par ailleurs avoir refroidi les ardeurs des organisateurs d'Occupons Montréal. «On ne peut pas rester ici tout l'hiver, avoue Stéphane Marceau, un des organisateurs.

Or, cela ne signifie pas la fin du mouvement, assure-t-il. Ces indignés ordinaires qui compliquent la vie des autorités. Ce sera incontestablement le slogan de l'année 2011 : "Indignez-vous". Une indignation Hesselienne très contagieuse puisque même les Etats-Unis, patrie du capitalisme, voient se lever des citoyens ordinaires pour dire pacifiquement "non" à une société à la dérive. Face à eux, les autorités peinent à trouver une parade sans tomber dans certains cas dans la violence comme aux Etats-Unis ou dans des procès ridicules comme en France. Les américains et les banques, c'est une longue histoire mais, trop c'est trop.

Sitôt le risque de collapsus passé, les grandes banques sont reparties de plus belle dans la course à tous les excès notamment les golden salaires pour une poignée de dirigeants ou de cadres. Des avantages largement financés par des frais exorbitants de gestion imposés aux clients. Pragmatiques, ils ont donc décidé d'attaquer là où ça fait mal. En France, autre lieu, autres mœurs. Le jugement a été rendu le 14 novembre. Les indignés expulsés à Québec | Québec.

Le reportage de Camille Simard Les autorités de la Ville de Québec ont démantelé, mardi matin, le campement des indignés à la place de l'Université-du-Québec. Dès 6 h, des employés municipaux ont mis à exécution la menace de la Ville d'expulser les indignés. Un périmètre de sécurité a été établi autour du site pour empêcher les gens d'y accéder. Des dizaines de policiers ont escorté les employés municipaux qui ont complété le démontage de la vingtaine de tentes et le nettoyage du site vers 7 h 15. Seulement quelques personnes étaient présentes, tôt mardi, lors de l'intervention des autorités municipales. L'un des manifestants, Guy Wera, a néanmoins critiqué l'attitude du maire Régis Labeaume en affirmant qu'il allait continuer de porter le message du mouvement. « On s'attendait à ce qu'il arrive quelque chose. Le maire de Québec, Régis Labeaume, avait lancé lundi soir un ultimatum aux indignés pour qu'ils quittent les lieux, affirmant que sa patience avait atteint sa limite.