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13 / 10 / 2010

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Occupy Wall Street- "i will not move" le Film VOSTFR. In Zuccotti Park by Michael Greenberg. The movement’s official Declaration of Occupation, released on September 29, is little more than a highly generalized incantation of the nation’s ills—“They have taken our houses…. They have poisoned the food supply…. They have continuously sought to strip employees of the right to negotiate.” But the movement’s assertion that it is an ally to “all people who feel wronged by the corporate forces of the world” has made it a blank screen upon which the grievances of a huge swath of the population can be projected. The most common question asked about the protesters—after what do they want? —is, who are the organizers, who is behind it? By all accounts, the idea for the protest was hatched by Adbusters, a not-for-profit media organization that was founded in Vancouver, British Columbia, in 1989. Dear Culture Jammer, Thank you for joining our network.

The antic, Dadaist tone is telling. Demands could be made, of course. 13 / 10 / 2011 Launch of a #ows currency design competition at Occupy Wall Street. Many of Wall Street's occupiers understand that austerity comes from a shortage of money, not resources, and that the right to issue money is granted by the government to a banking cartel. Most US citizens have no understanding of what money is and how it is make artificially scarce to compel them to compete against one another in converting natural resources into "economic growth. " Money need not be a destructive force which, through interest, centralises wealth and power. The occupiers of Wall street intend to issue their own 'complementary' currency to raise awareness of the role of monetary design in the currency monetary crisis.

In order to ensure the new certificates will are as attractive and relevant as possible, we are launching a design competition, for the next seven days. We are thankful to the p2p foundation for hosting. "Occupy Wall Street" : les journalistes prennent des coups - Monde. Dans un communiqué publié jeudi 13 octobre sur leur site, l'organisation Reporters sans frontières condamne "la réponse souvent brutale opposée au mouvement “Occupons Wall Street” [...] et qui affecte également la liberté d’informer". Elle explique que depuis le début du mouvement anti-capitaliste "nombre de journalistes se sont trouvés dans l'impossibilité de couvrir les événements". La police se réserve elle-même le droit de décider qui est journaliste ou qui ne l'est pas, selon l'association. Pour obtenir le droit de couvrir les événements, les journalistes doivent demander un passe aux autorités qui décident ou non de leur donner....

"Depuis quand un service de police est-il habilité à déterminer qui est journaliste et qui ne l’est pas ? S'interroge Reporters sans frontières. Détenus, frappés... Cette répression s'inscrit dans un cadre plus global de répression brutale du mouvement, rappelle Reporters sans frontières. Censure des réseaux SD - Le Nouvel Observateur. Occuper Wall Street. « Ils n’étaient que quelques-uns. Ils furent foule soudain. Ceci est de tous les temps. » Alors que des dizaines de milliers d’Américains manifestent leur exaspération et leur colère, nul ne sait encore si « Occuper Wall Street » constitue un moment de la politique américaine ou la promesse d’un mouvement qui la transformera. Le rapprochement avec le Tea Party n’est pas absurde, même si les deux démarches semblent s’opposer : « Occuper Wall Street » met en cause la domination du capital et l’impuissance de l’Etat ; le Tea Party impute la crise économique à l’Etat et aux impôts.

Ces deux mouvements antagonistes ont néanmoins en commun une profonde défiance à l’encontre du système politique, de l’establishment. A l’évidence, ce dernier mouvement tire son inspiration des révoltes arabes, des manifestations espagnoles de la Puerta del Sol, des mouvements étudiants chiliens, des rassemblements israéliens contre la vie chère. Indignés : révolution constitutionnelle 2.0. Session publique de la constituante islandaise en juin 2011 Les Islandais l’ont faite en partie, cette révolution pacifique que les indignés espagnols du mouvement « Take The Place » réclament.

Les manifestations des citoyens de la petite île ruinée par la crise financière de 2008 ont fait tomber leur gouvernement conservateur fin 2009 et forcé le nouveau gouvernement social démocrate à créer, en novembre 2010, une assemblée constituante élue de 25 citoyens. Celle-ci a travaillé en totale transparence par le biais de sessions ouvertes au public et fait participer les internautes dans l’esprit du « crowdsourcing » (approvisionnement par le plus grand nombre) : au final, plus de 300 propositions ont été publiées sur le site du gouvernement, permettant à l’assemblée d’écrire une nouvelle constitution en accord avec les attentes du peuple islandais.

Une chaîne Youtube du de l’assemblée constituante a été créée, un compte Twitter ainsi qu’une page Facebook… Thousands plan protest camp in London's financial centre inspired by 'Occupy Wall Street' campaign. By Stephanie Darrall Updated: 07:35 GMT, 13 October 2011 Hundreds of anti-Wall Street protesters marched on the Chase Bank headquarters in New York yesterday waving placards and chanting slogans attacking corporate greed and social inequality. The march came a day after members of the Occupy Wall Street Movement, which has been camping in a square in Manhattan’s financial district for more than three weeks, protested outside the homes of billionaires including Rupert Murdoch and banker Jamie Dimon. There have been more than 100 spin-off protests in U.S. cities including Chicago, Los Angeles and Seattle, and UK supporters plan a similar march near the London Stock Exchange on Saturday. Mass protest: Occupy Wall Street members again campaign in New York's financial district, scenes that could soon happen in London Anger: Hundreds of activists gathered a month ago in Manhattan and are still there, sparking a movement that is now spreading across the Atlantic 'It was just time to start here.

COMPRENDRE. "Occupy Wall Street" : qui sont les Indignés made in USA ? - Monde. C'est LA curiosité du moment. On les présente comme "la version de gauche" des Tea Party. Le mouvement, comme un "Octobre américain". Depuis le 17 septembre, des Américains, sous le slogan "Occupy Wall Street" (OWS) campent dans le quartier d'affaires de New York. Aucun signe d'essoufflement à l'horizon, au contraire. Qui sont-ils et que veulent-ils ? 1. Le mouvement est né presque spontanément le 17 septembre dans le quartier d'affaires de New York après un appel pour occuper Wall Street, façon place Tahrir au Caire (Egypte). 2.000 personnes ont décidé alors d'occuper jour et nuit un parc public, Zuccoti Park, rebaptisé "Liberty Plaza" à proximité de la Bourse de New York.

A l'origine de l'idée, certains évoquent un appel au rassemblement du magazine de contre-culture et anti-capitaliste canadien "Adbusters" (casseurs de pub), mi-juillet. 2. Etudiants, chômeurs, jeunes anarchistes, jeunes salariés... le caractère hétéroclite du mouvement dépasse le cadre des Indignés espagnols. 3. 4. ÉTATS-UNIS • Occupons Wall Street pendant des années s'il le faut. Figure de proue de la gauche américaine, Naomi Klein s'est adressée le 6 octobre aux "indignés" américains rassemblés à New York. Ce mouvement est "la chose la plus importante au monde", a-t-elle notamment affirmé. Extraits. Je vous aime. Et je ne dis pas ça pour que vous soyez des centaines à me crier : "Je t'aime". Je dis plutôt cela car, si je sais une chose, c’est que le 1 % de la population américaine le plus riche aime les crises. Quand les gens sont paniqués, désespérés et que personne ne semble savoir quoi faire, c'est un moment idéal pour imposer des politiques libérales : privatisation de l'enseignement et des retraites, réduction des services publics, suppression de ce qui limite le pouvoir des grandes entreprises.

Au moment où l'économie est en crise, c'est ce qui se produit dans le monde entier. Le slogan est né en Italie en 2008. Il y a cependant des différences importantes. Les faits sont là. Le réchauffement de la planète fait que nous devons nous fixer un ultimatum. ÉTATS-UNIS • Les médias ne comprennent rien à “Occupy Wall Street” Les journalistes jettent un regard hautain sur les “indignés” de New York. Preuve qu’ils sont passés à côté de l’époque, estime un théoricien des médias.