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Une « carte de la cyberguerre » en temps réel, signée Kaspersky. 01net le 27/03/14 à 12h52 Des fournisseurs de solutions de sécurité qui cartographient les cyberattaques en temps réel, ce n’est pas très nouveau. Toutefois, Kaspersky vient de réaliser une carte particulièrement attrayante, suffisamment pour le souligner dans ces colonnes. Réalisée en 3D façon « Google Earth », l’outil représente toutes les attaques répertoriées par les différents produits de l’éditeur russe : sur ordinateur, par email, par le web, sur le réseau, etc. Visuellement, le résultat est étonnant. Deutsche Telekom et Akamai cartographient également les cyberattaques en temps réel, mais face à Kaspersky, leurs outils font désormais has been... Lire aussi: Espionnage informatique : les États-Unis inculpent cinq officiers chinois. Le torchon brûle entre Washington et Pékin, après l’inculpation aux États-Unis de cinq officiers de l’armée chinoise pour « piratage informatique » et « espionnage économique ».

Le ministère chinois de la défense a accusé, mardi 20 mai, les États-Unis d' « hypocrisie » et de recours à « deux poids deux mesures ». « Le prétendu réseau (chinois) d’espionnage commercial est purement et simplement une invention des États-Unis, qui s’inscrit dans une stratégie de tromperie du public avec des motifs non avoués » a commenté le ministère, dans un communiqué sur son site Internet. De son côté, le ministère chinois des affaires étrangères a convoqué Max Baucus, ambassadeur américain à Pékin, afin de lui transmettre une « protestation solennelle » de la Chine. Le pillage chinois coûte des milliards de dollars aux États-Unis Un grand jury de Pennsylvanie a inculpé, lundi 19 mai, cinq officiers chinois accusés de vols de secrets commerciaux. Des vols dans le secteur de l’énergie. MegaUpload : la cyberguerre a commencé. Dès jeudi soir après l'annonce de la fermeture de MegaUpload par les autorités américaines, les Anonymous ont attaqué certaines cibles symboliques en représailles.

Ce n'est pas une première, mais cette fois une cyberguerre a commencé. Mise à jour : Voir notre analyse de l’acte d’accusation C’est sûr, il y aura un avant et un après MegaUpload. Non pas pour le piratage, qui trouvera refuge ailleurs comme il l’a toujours fait depuis la fermeture de Napster en 2001. Non pas pour l’offre légale, pour laquelle les ayants droit trouveront toujours des prétextes à ne pas en favoriser le développement. En s’attaquant à MegaUpload, ça n’est pas seulement un site utilisé par les internautes pour accéder à des contenus illicites qui est visé par une procédure judiciaire.

L’affaire MegaUpload fera prendre conscience du pouvoir immense qu’ont les autorités sur le moindre site internet dont ils peuvent provoquer la mort du jour au lendemain, en saisissant ses serveurs et ses noms de domaine. Lire. La cyberguerre civile iranienne. Trois jours après les résultats — contestés — de l'élection présidentielle iranienne, la lutte entre les partisans de Mahmoud Ahmadinejad, réélu avec près de 63%, et les partisans de Mir Moussavi (environ 33%), continue dans la rue et en ligne. Il n'y a pas pour autant de «révolution Twitter». D'abord parce qu'il n'y a — pour l'instant — pas de révolution, et ensuite parce que l'organisation des manifestations n'est pas foncièrement modifiée par les réseaux en ligne.

Twitter, Facebook et Youtube ont pris un poids réel dans la sphère politique iranienne, notamment après l'élection, mais ces outils servent davantage à relayer des informations non filtrées en Iran et dans le reste du monde qu'à organiser les manifestations. publicité «Une cyberguerre civile» La blogueuse iranienne Pedestrian explique que plusieurs sites ont été «filtrés» et sont devenus inaccessibles en Iran, comme le site de campagne de Mir Moussavi.

Une blogosphère très active Faire sortir l'information Cécile Dehesdin. Le Pentagone veut porter la cyberguerre hors des Etats-Unis. En revanche, le Pentagone fait pression sur le Congrès pour qu'il autorise l'adoption de nouvelles normes permettant à l' armée et aux agences spécialisées des Etats-Unis d' user de moyens plus , en particulier de mener des cyberattaques contre des objectifs à l'étranger. Le principal instigateur de cette revendication est le général Keith Alexander , chef du Cyber Command , une unité spéciale créée il y a deux ans. Actuellement, la défense américaine n'est autorisée qu'à protéger son propre territoire contre des cyberattaques. Le général souhaite que ses règles opérationnelles soient modifiées afin de pouvoir entreprendre des actions hors du territoire américain en cas de . Ce sujet est débattu depuis plusieurs mois par les plus hautes instances de l'Etat américain : défense, affaires étrangères , justice et Trésor.

Le secteur bancaire est le plus visé par le virus Gauss, qui, selon les experts, – référence implicite aux Etats-Unis et à Israël . Cette cyberguerre se mène en secret. NSA: les Américains étaient-ils à l'origine de l'espionnage de l'Elysée en 2012? C'est l'un des hold-up les plus audacieux réalisés contre l'Etat français. En mai 2012, quelques jours avant le second tour de l'élection présidentielle, des pirates ont réussi à s'introduire dans les réseaux informatiques de l'Elysée. Révélée par le quotidien régional Le Télégramme, cette intrusion avait alors été soigneusement étouffée par le Château. Une omerta qui, jusqu'à présent, n'avait pas été brisée. Aucune information n'avait filtré sur la nature des agresseurs, ou même sur le préjudice subi. Pourtant, l'affaire est grave, d'autant qu'elle constituerait une cyberattaque sans précédent entre pays alliés. L'Express peut révéler que les intrus ont non seulement réussi à pénétrer au coeur même du pouvoir politique français, mais qu'ils ont pu fouiller les ordinateurs des proches conseillers de Nicolas Sarkozy.

L'ordinateur du secrétaire général de l'Elysée pillé Tout a commencé sur Facebook. C'est ce travail de fourmi qu'ont mené les enquêteurs français.