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Consommation collaborative

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La montée de la consommation collaborative. « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ».

Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar) . « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Voyage dans l’innovation sociale scandinave (2/3) : Réinventer l’entrepreneuriat. Suite de notre voyage dans l’innovation sociale européenne (voir la première partie) à l’invitation de la 27e Région, laboratoire d’innovation publique. Avec un regard particulier sur la façon dont la conception de services peut aider au développement de nouvelles formes d’entreprises. MindLab : changer l’esprit de l’innovation publique Le MindLab (blog) est un laboratoire fondé par les ministères danois de l’économie, des finances et de l’emploi. Etabli depuis 9 ans et composé d’une équipe de 15 personnes, son objectif a pris une toute autre actualité à l’heure de la crise financière et écologique : penser l’innovation dans le gouvernement et les services publics. « Nous devons dépenser l’argent public d’une manière plus intelligente », explique son directeur Christian Bason, auteur d’un livre à paraître sur ces questions.

Image : Les méthodes du MindLab danois, issues de leur Guide pour l’innovation (en danois). L’entrepreneuriat en résidence Soutenir l’esprit d’entreprendre. Faire sa propre ville : comment les gens prennent-ils le pouvoir. Robin Chase (blog) est une serial entrepreneuse reconnue. Après avoir fondé Zipcar, la plus grande entreprise d’autopartage du monde, et GoLoco, une communauté autour du covoiturage, elle a lancé Buzzcar, un service de partage de voitures. Invitée dans les plus grandes conférences (TED), elle a reçu de nombreuses récompenses dans le domaine de l’innovation, du design et de l’environnement. Pendant longtemps les villes ont été construites de manière très chaotique, sans structure… Il a fallu attendre le baron Haussmann et ses grands travaux pour que la ville change. Mais accepterions-nous encore facilement des travaux à cette échelle ? Aujourd’hui, ce sont les bureaucrates qui créent des villes, très structurées, très zonées, rappelle Robin Chase sur la scène de Lift à Marseille.

Elles ne sont pas parfaites pour autant estime Robin Chase en évoquant les réactions des sans domiciles fixes qui pendant plusieurs mois ont envahis les quais du canal Saint-Martin à Paris. Créer avec les gens, vraiment ! Nous avons tout à apprendre des consommateurs, expliquait le consultant Steve Portigal sur la scène de la conférence Lift à Genève.

Pour cela, nous disposons de nombreuses méthodes, mais ce n’est pas la méthode qui est importante, expliquait-il dans sa présentation. L’important c’est d’avoir des cadres pour examiner les gens, notamment en se rendant dans leur environnement, en récoltant leurs histoires et en analysant ce qu’ils font et ce que cela signifie. C’est là que se situe la synthèse créative des designers : qui consiste à rassembler ce matériel pour en faire quelque chose de neuf, en y tissant des connexions nouvelles. « Enfin, il faut agir. Appliquer ces connexions pour leur ajouter de la valeur. Le but n’est pas de produire des rapports, mais bien de créer des changements dans les produits ou services que nous proposons… » Le design participatif… C’est pourtant bien sur les méthodes que revient Steve Portigal.

. … à la cocréation Créer des espaces pour l’innovation ouverte. Comment exploiter le crowdsourcing. Par Rémi Sussan le 20/07/11 | 1 commentaire | 2,385 lectures | Impression Edial Dekker est le cofondateur du groupe “hacker le gouvernement“, le plus important mouvement hollandais sur l’open data. Aujourd’hui, il dirige également Gidsy, une startup qui promet un “marché de l’expérience authentique”. Derrière cette appellation curieuse se cache, en fait, un service collaboratif où chacun peut proposer à ses pairs de partager une expérience touristique, par exemple organiser une activité typique, ou essayer de nouvelles recettes de cuisine locale, etc. “Nous avons des problèmes” a expliqué Dekker sur la scène de Lift : on se remet difficilement d’une crise économique, nos ressources naturelles s’épuisent et la mondialisation elle-même a probablement ses limites.

La question est donc de recréer de nouvelles manières d’apprendre et de consommer, comme celles que prône Tom Hodgkinson dans son livre Brave Old World. Rémi Sussan. La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? | Consommation Collaborative. Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe. C’est le cas par exemple pour le secteur de la réservation de restaurants en ligne : un marché déjà mâture outre-Atlantique et qui n’en est encore qu’à ses débuts en Europe (1 % du total des réservations en 2010 en France ont été effectuées sur Internet).

En cela, la Consommation Collaborative ne fait pas exception, même si des évolutions récentes (je vous explique tout ça en deuxième partie) me laissent penser que certaines pratiques devraient connaître une transition beaucoup plus rapide en France. Zipcar, leader du car-sharing (autopartage traditionnel) aux Etats-Unis continue de s’étendre. Mobivia Groupe et Robin CHASE lancent BUZZCAR - Mobivia Groupe. Le site d'autopartage entre particuliers. En tant que dewayseur, vous vous êtes sans doute interrogé(e) sur les autres biens/objets que vous pouviez partager mis à part les voitures sur Deways : ) Eh bien, avez-vous pensé à partager de l’espace ? En effet, s’il vous reste un peu de place dans votre appartement ou votre maison ou même votre cabane de l’arbre de votre jardin, vous pouvez héberger un voyageur sympa pour une ou plusieurs nuits.

C’est plutôt sympa car cela vous fait un revenu supplémentaire et vous avez la possibilité de rencontrer des gens souvent très intéressants et de partager un moment très sympa avec eux. Et ils peuvent bien sur dewayser votre voiture à la suite de l’expérience ! Ce concept a été développé par la jeune Montpelliéraine Magali Boisseau qui a créé Bedycasa, une communauté aux valeurs proches de la nôtre qui relie les personnes voyageant à travers le monde chez l’habitant et les personnes souhaitant partager tout ou partie de leur logement pour une ou plusieurs nuits.

. - Hébergement chez l’habitant. Covoiturage avec Covoiturage Castorama - Le site du covoiturage en Europe. SUPERMARMITE - It's cookin'up near you! La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? | Consommation Collaborative. SUPERMARMITE - It's cookin'up near you!