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TPE 1°ES1 LYCÉE JEAN PERRIN 2008-2009. Parler d’addiction à Internet n’a aucun sens ! Atlantico : Selon un sondage IFOP pour l’Observatoire Netexplo, 73 % des internautes français ne peuvent plus se passer d’Internet. Sommes-nous tous devenus des « cyber-addicts » ? Thomas Gaon : Est-ce que l’on poserait la même question pour la télévision, la voiture ou le téléphone ? Est-ce que l’on dirait des gens qui ont du mal à se passer de leur voiture qu’ils sont « addicts » ? Officiellement, l’addiction à Internet n’existe pas. En revanche, il existe des usages problématiques des contenus mais pas du contenant. Comment détermine-t-on alors une addiction ? Il faut que les personnes elles-mêmes soient dans une demande de « guérison ».

Il ne faut donc pas spécialement jeter l’anathème sur Internet. Toute nouvelle technologie, quand elle rentre dans une société, provoque des modifications comportementales. Chez tous les individus, il y a des forces antagonistes, à la fois réactionnaires et progressistes, et des groupes sociaux qui angélisent ou diabolisent l’utilisation d’Internet. Dépendance à Internet.

Internet est-il une drogue comme les autres ? - Internet : Culture et Communication. Internet est-il une drogue comme les autres ? Internet est-il une drogue comme les autres ? Qu’est ce qu’une drogue ? On trouve beaucoup de définitions du mot drogue, j’ai choisi de vous retranscrire ici la définition que l’on trouve dans les dictionnaires communs : "Substance naturelle ou de synthèse dont les effets psychotropes suscitent des sensations apparentées au plaisir, incitant à un usage répétitif qui conduit à instaurer la permanence de cet effet et à prévenir les troubles psychiques (dépendance psychique), voire même physiques (dépendance physique), survenant à l’arrêt de cette consommation qui, de ce fait, s’est muée en besoin. A un certain degré de ce besoin correspond un asservissement (une addiction) à la substance ; le drogué ou toxicomane concentre alors sur elle ses préoccupations, en négligeant les conséquences sanitaires et sociales de sa consommation compulsive.

On distingue trois "groupes" de drogues selon leur nature : 1. 2. 3. La dépendance d’Internet. Conclusion. 3 - L'addiction à Internet existe-t-elle ? Les jeux vidéo ne sont pas une drogue et ne rendent pas nécessairement violent. Êtes-vous accro à Internet? | Santé mentale | Ma vie. De nos jours, la majorité des gens naviguent régulièrement sur le web, mais pour certains, cette activité constitue un véritable problème de santé. Si vous présentez les quatre symptômes suivants, il se pourrait que vous souffriez de cyberdépendance. On ne s’étonnera pas d’apprendre que les Canadiens passent de plus en plus de temps sur Internet (ce site que vous consultez présentement en est la preuve). Selon le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), nous passons en moyenne près de 14 heures par semaine en ligne. Cependant, pour certains, la navigation sur le web constitue une véritable dépendance, explique Linda Bell, directrice générale de Bellwood Health Services, un centre de traitement des dépendances de Toronto qui offre des programmes financés par l’État et rémunérés à l’acte.

Le Center for Online Addiction Recovery américain définit la dépendance comme un comportement compulsif qui domine la vie d’une personne. 1. 2. 3. 4. Demander de l’aide. Je suis accro à Internet, Accros Internet. Les dangers d'Internet [ risque Internet ] Internet est présent partout aujourd’hui, mais son utilisation massive présente des risques pour la santé. Il existe plusieurs profils d’Internautes qui s’estiment très accros à Internet et ceci en fonction de leur activité principale sur le web : jeux (poker, jeux concours, etc.), jeu en réseau (Wow, Counter-Strike, etc.), chat, forum, messagerie instantanée, blog du type Skyblog, réseau social du type MySpace, Facebook, échange de vidéo du type YouTube et Dailymotion etc. Le fait de passer tout son temps libre derrière un écran à développer des relations virtuelles risque fort de porter préjudice aux rapports entretenus avec les autres dans la vraie vie car l’on consacre moins de temps à ces dernières.

Des études montrent que les internautes accros passent beaucoup plus de temps seul que les non-internautes, à contexte social ou démographique équivalent. Globalement les accros du web passent moins de temps à travailler, réfléchir ou effectuer des travaux domestiques. Des maux de tête. Êtes-vous accro au web ?