background preloader

January 2o14

Facebook Twitter

Climat : l'industrie monte au créneau à Bruxelles. La Corée du Sud sous une couche de neige acide - environnement. Les épandages aériens de pesticides vont se poursuivre en France. Syria chemical weapons: Security 'slows transport' 16 January 2014Last updated at 14:29 ET Ahmet Uzumcu: "We want to meet the deadline... but we have to recognise there are challenges" The head of the UN body tasked with removing and destroying Syria's chemical arsenal says the process has been slowed down by security concerns. Ahmet Uzumcu said the amount removed so far was not that high but expressed confidence the June deadline for destroying the chemicals would be met. Removing the most dangerous chemicals is the first step of a UN-backed deal to eliminate Syria's chemical arsenal.

The US has meanwhile urged Syria's opposition to attend peace talks. The main political opposition movement, the Syrian National Coalition, will meet in Istanbul on Friday to vote on whether to attend the "Geneva II" talks, scheduled to take place in Switzerland next week but which have been dogged by setbacks. US Secretary of State John Kerry said the US "urges a positive vote", saying it was "important there be no games played with this process". 1. Le Parlement européen contre le maïs TC1507. Etats-Unis: l'Etat de Virginie privé d'eau potable depuis 5 jours - Etats-Unis. Aux Etats-Unis, environ 300 000 personnes n’ont plus accès à l’eau potable depuis jeudi dernier dans l’Etat de Virginie, sur la côte est américaine. Des coupures qui concernent également la capitale de l’Etat, Charleston, et qui font suite à une fuite de produits chimiques dans la rivière Elk.

Pour l’instant, les autorités ne savent toujours pas quand la situation pourra être rétablie. C’est donc une cinquième journée consécutive sans eau potable que ces quelque 300 000 personnes s’apprêtent à vivre. Après la contamination d'une rivière par une fuite chimique en Virginie, l'eau courante à Charleston et dans les environs est impropre à la consommation. Une situation liée au type de produit qui s’est échappé, du méthylcyclohexane, notamment utilisé pour nettoyer le charbon de ses impuretés. Dix-neuf mille litres se seraient ainsi déversés dans la rivière Elk jeudi dernier. Les autorités ne savent pas quand elles pourront autoriser à nouveau la consommation d’eau courante. Hong Kong suffoque dans un nuage de pollution qui fait tousser les milieux d'affaires - La Parisienne. Hong Kong suffoque dans un nuage de pollution qui fait tousser les milieux d'affaires, inquiets de voir la mégapole financière perdre son statut et sa matière grise au profit de concurrentes plus "propres".

"Pas mal de gens sont déjà partis" à cause de la pollution, assure James Middleton, président de l'association Clear the Air qui mène la guerre aux véhicules "sales" dont les rejets enveloppent Hong Kong d'une brume mortifère. Japon : première extraction de « glace qui brûle » en milieu marin. Depuis la catastrophe de Fukushima et la mise à l’arrêt de l’ensemble de son parc nucléaire (à l’exception de deux réacteurs relancés l’été dernier), le Japon fait face à des risques de pénuries d’électricité et doit importer d’énormes quantités de matières fossiles pour produire son énergie.

Même si le gouvernement nippon veut relancer le nucléaire et développer le renouvelable, le Japon cherche des sources d’énergie alternatives : le 12 mars, des chercheurs japonais ont réussi la première extraction sous-marine de gaz d’hydrates de méthane, autrement appelée « glace qui brûle ». Un mélange de méthane et d’eau glacée L’hydrate de méthane est un mélange de méthane et de glace, d’où son surnom de « glace qui brûle ». Le gaz est enfermé sous forme cristallisée dans les sédiments des eaux océaniques profondes. Il est toutefois encore trop tôt pour dire si la production commerciale sera possible. Un potentiel important pour le Japon. Pollution. Les cargos profitent de la tempête pour dégazer - Finistère.

Geoengineering could bring severe drought to the tropics, research shows | Environment. A view from the space shuttle Atlantis of three layers of volcanic dust in the Earth's atmosphere, following the 1991 eruption of Mount Pinatubo in the Philippines. Photograph: ISS/NASA/Corbis Reversing climate change via huge artificial volcanic eruptions could bring severe droughts to large regions of the tropics, according to new scientific research. The controversial idea of geoengineering – deliberately changing the Earth's climate – is being seriously discussed as a last-ditch way of avoiding dangerous global warming if efforts to slash greenhouse gas emissions fail. But the new work shows that a leading contender – pumping sulphate particles into the stratosphere to block sunlight – could have side-effects just as serious as the effects of warming itself. Furthermore, the impacts would be different around the world, raising the prospect of conflicts between nations that might benefit and those suffering more damage.