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La fin : relaxe

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La leçon de Clearstream. Jean-Pierre Grand : «Qu’est que vous voulez que Villepin aille foutre à l’UMP ? Affaire Clearstream - Procès Clearstream : Villepin, relaxé, salue l'indépendance de la justice - 14/09/2011. Procès Clearstream. Villepin relaxé en appel [Vidéo] - Justice. La cour d’appel de Paris a confirmé ce mercredi la relaxe de l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin, qui était poursuivi pour « complicité de dénonciation calomnieuse » dans l’affaire Clearstream. « Je sors renforcé de cette épreuve » « La justice a reconnu pour la deuxième fois mon innocence, a déclaré Dominique de Villepin. Je veux saluer l’indépendance de notre justice, a-t-il ajouté. Je veux croire que cette décision contribuera à rendre notre pays moins vulnérable à la rumeur et à la calomnie qui ne méritent que le mépris. » Et de souligner : « Cette affaire a été initiée à la veille de l’élection présidentielle de 2007.

Comme j’aimerais que cela puisse servir de leçon à la présidentielle de 2012, a-t-il rappelé. En ce qui me concerne je sors renforcé de cette épreuve. » À l’audience du mois de mai, le parquet général avait requis quinze mois de prison avec sursis contre le fondateur de République solidaire. Gergorin condamné à 6 mois ferme et Lahoud à 18 mois ferme de prison. Procès Clearstream: La relaxe de Dominique de Villepin confirmée en appel. Pas de coup de théâtre ni de surprise: la cour d'appel de Paris a confirmé ce mercredi matin la relaxe de Dominique de Villepin dans l'affaire Clearstream prononcée en janvier 2010 en première instance. L'ancien Premier ministre était soupçonné d'avoir participé à la manipulation visant notamment Nicolas Sarkozy en 2004, via la falsification des listings bancaires Clearstream. La cour n'a donc pas suivi le parquet qui demandait 15 mois de prison avec sursis pour complicité de dénonciation calomnieuse. Elle a en revanche confirmé le rôle clé d'Imad Lahoud, le prévenu le plus lourdement condamné, comme en première instance, avec sa condamnation à trois ans de prison dont 18 mois ferme.

Jean-Louis Gergorin, quant à lui, a été relaxé de quatre chefs d'accusation sur cinq. Il écope de trois ans de prison, dont trente mois avec sursis et 40.000 euros d'amende. «La vérité n'a pas été comprise» Une «leçon à la veille de 2012»?