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The making of the Rio 2016 logo. The invisible bicycle helmet. 3D printer can build a house in 20 hours. Father of the year modifies son's Power Wheels to .66 HP. Stephen Ritz: A teacher growing green in the South Bronx. 3D printed exoskeleton gives two-year-old ability to move her arms. Batpod prototype in Vietnam. Bill Nye gives a bowtie tutorial. More quick and simple life hacks.

TESTING

For DOEURS. Unhosted : libre et salutaire tentative de séparer applications et données sur le Web. Il est désormais possible de se passer de la suite bureautique Microsoft Office et du système d’exploitation Windows en utilisant de fiables alternatives libres (GNU/Linux et Libreoffice pour ne pas les nommer). Mais quid du réseau social Facebook et des services Google par exemple ? Est-il possible de proposer des alternatives libres à ces applications dans les nuages du web qui demandent une énorme bande passante et nécessitent des batteries de serveurs, avec tous les coûts faramineux qui vont avec (et que ne pourra jamais se permettre le moindre projet libre qui commence avec cinq gus dans un garage) ? L’enjeu est de taille car c’est de nos données qu’il s’agit et dont on fait commerce. Une piste de solution, qui sur le papier semble tout autant lumineuse que triviale, serait de pouvoir séparer l’application web des données que cette application traite.

Imaginez un Facebook où toutes les données de ses utilisateurs ne seraient plus sur le site et les serveurs de Facebook ! Loaded: 0% Raleigh, Montréal... quelle sera la première ville Open Source du monde ? Deux traductions pour s’interroger ensemble sur le concept de « ville Open Source ». Il s’agit de voir ici la ville comme une plateforme, une plaque tournante, un incubateur, bref un lieu privilégié où peuvent s’épanouir les entreprises et start-up qui placent l’open source au cœur de leur stratégie et de leur développement. Les villes de Raleigh (USA) et Montréal (Canada) souhaitent apparemment poser candidature et ont, semble-t-il, de bons arguments.

Encore faudrait-il définir ce qu’est ou peut être une « ville Open Source », et se demander si il est pertinent de vouloir créer, favoriser ou labelliser de telles villes[1] L’un des auteurs nous propose ainsi trois critères : la volonté de partager, la volonté d’être informé, et une attitude ouverte à l’innovation, à la créativité et aux expérimentations de toutes sortes. Et en France, me direz-vous ? PS : Nous avions déjà évoqué la chose dans un billet sur une autre ville canadienne Vancouver : S’il te plaît… dessine-moi une ville libre. 1.

DIY.

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