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Spiil | Syndicat de la presse indépendante d'information en ligne. Rapport sur la fiscalité du secteur numérique. Source de richesse et de croissance, le numérique s'étend à tous les secteurs de l'économie. Le système fiscal appréhende encore difficilement les nouvelles formes d'activités, de consommation et de transactions qui en découlent. Dans son rapport, la mission d'expertise Colin - Collin sur la fiscalité de l'économie numérique appelle à de nouvelles règles fiscales. D'après un communiqué de presse du 18 janvier 2013 publié à la suite du rapport, le gouvernement entend agir résolument, au sein du G20, de l’OCDE et de l’Union européenne, pour adapter les règles internationales de l’imposition des bénéfices aux réalités de l’économie numérique, notamment en faisant évoluer la définition de l’établissement stable.

Au niveau national, il souhaite que les propositions d’une fiscalité nationale assise sur la détention des données personnelles fassent l’objet d’une expertise technique approfondie et d’une nécessaire concertation avec les professionnels. Jacques Rosselin: Distribuons l'aide à la presse directement aux journalistes! Billet également publié sur GuyBirenbaum.com Et si les milliards d'aide à la presse française étaient directement distribués aux journalistes ? L'idée peut sembler incongrue et pourtant, elle s'impose presque naturellement si l'on réfléchit à l'avenir de l'information dans une démocratie. Premier constat, l'information écrite de qualité, qu'elle soit politique, économique ou "générale" comme on dit, n'a plus de modèle économique dans ce qu'on appelle la sphère marchande.

La production d'une information de qualité coûte cher et, depuis l'invention de la publicité dans les journaux, ses consommateurs ne l'ont jamais payée à son prix et ne sont donc pas prêts de le faire. Les revenus liés à la diffusion de ces informations vont certes augmenter avec le nombre croissant de lecteurs qui utilisent les supports numériques, mais ils ne compensent pas l'effondrement des revenus publicitaires. Troisième évolution, le Net a fortement modifié leurs méthodes de travail.

Utopique ? Après la crise, le besoin d'un triple New Deal | Rue89 Eco. A Caracas, un graffiti dénonçant les dérives du capitalisme adossé au complexe militaro-pétrolier (Jorge Silva/Reuters). Croit-on sérieusement que l’étatisation des créances toxiques d’un côté et la recapitalisation des banques avec quelques règles de transparence résoudra le problème de la confiance ? C’est le pari d’autruche fait par les gouvernements européens qui sont très en retard sur la conscience de la crise à laquelle le tandem Paulson/Bernanke est arrivé. Ils ne veulent même pas d’un fonds de garantie européen de quinze milliards pour soulager les PME de l’asphyxie.

Ils pourraient bien être contraints demain, en catastrophe, d’engager les finances publiques dans un plan de soutien de plusieurs centaines de milliards de d’euros sans les avantages d’une coordination préventive. Ce service minimum européen risque de conduire à des solutions cent fois plus radicales. La faillite du pacte social du néolibéralisme La crise écologique du développement.

Contact. Accord Google-Presse belge : Google+, AdSense, YouTube... favorisés. Ce matin, nous rapportions la conclusion d'un accord entre la presse belge et Google, en lisant entre les lignes que l'accord ne prévoyait pas de paiement direct de redevances de droits d'auteur pour l'indexation des journaux, mais une série de partenariats commerciaux très bénéfiques pour Google, puisqu'ils lui permettraient de mettre en avant ses services à travers les sites de presse.

Ces derniers, en échangent, factureront cette visibilité à Google. Cette interprétation est très clairement confirmée par la publication par Google des grandes lignes de l'accord, et de la liste des partenariats qu'il prévoit. Ils pourraient dessiner le cadre du futur accord entre la presse française et Google.

Voici ces partenariats, tels que décrits par Google lui-même : Google a ainsi obtenu ce qu'il voulait. "Beaucoup de gagnant-gagnant existe pour Google et pour les éditeurs pour unir leurs forces dans le nouvel univers numérique", écrit Google. Belgique: Google dément l'indemnisation de la presse en ligne. MÉDIAS - Google et la presse belge francophone ont annoncé mercredi 13 décembre avoir mis fin à leur différend qui durait depuis 2006, tout en démentant que le groupe américain ait accepté d'indemniser ces journaux pour l'usage illicite de leurs contenus.

Copiepresse (organisme qui défend les intérêts des journaux belges francophones) et des sociétés d'auteurs belges avaient attaqué le géant américain du net en justice, estimant qu'il transgressait leurs droits d'auteurs. Les différentes parties ont conclu une série d'accords qui prévoient le développement d'un partenariat commercial entre Google et les journaux francophones belges. L'objectif est de stimuler la fréquentation des sites de ces journaux et de les aider à monétiser leurs contenus en ligne, mais aussi de développer leur distribution sur les plateformes mobiles et d'augmenter la participation des lecteurs à leurs portails.

Une somme de 2% à 3% du chiffre d'affaires de la presse belge. La pollinisation, enjeux économiques, par Yann Moulier-Boutang. D’autres regards sur la crise, avec Yann Moulier-Boutang. Bonjour. D’abord deux choses : il n’y a pas de culture européenne, il n’y a pas de culture politique européenne, sauf un petit parti qui est maintenant moribond, qui était issu de la démocratie chrétienne, il n’y avait pas de culture européenne.

Deuxièmement, il y a une tradition, après le rejet de la communauté européenne de défense en 1953, je crois, ou 55, d’affronter un bloc aussi bien à droite qu’à gauche, à l’époque c’était les gaullistes et les communistes, donc souverainistes, qui ne voulaient pas entendre parler de l’Europe, pour des raisons d’ailleurs différentes. Donc, les Européens, les Européens convaincus comme Monnet, ont construit une machine à faire l’Europe par la bande, sans que cela se sache, sans contrôle, sans que l’on mette trop cela au milieu de la table parce qu’à chaque fois qu’on le met au milieu de la table, il arrive des problèmes. Donc, il y a déjà cette tradition.

Eh bien le processus de crise n’est pas fini. Oui, à Google et au nouveau front écologique. Yann Moulier Boutang asks, "Are we all just Google's worker bees?" :: Society of the Query. Posted: November 13, 2009 at 6:31 pm | By: chris castiglione | Tags: bees, capitalism, Google, Yann Moulier Boutang | 3 Comments Are we all just worker bees being exploited by Google for capitalistic means? Google has become the emblem of cognitive capitalism because it has invented a new economic model relying on the controlled development of collective intelligence networks.

French socio-economist Yann Moulier Boutang explored the dependency of Google (as a factory for the commodization of knowledge) on human querying (as labor). “You are working for Google! Every second, 15 million people are clicking and feeding data to Google – a true paradigm of people working for the firm,” explains Boutang. Boutang surmises that Google’s new economic model may be reshaping capitalism into - what he refers to as – a “meta-market”.

In conclusion Boutang asks, “Is it possible to free the clickworker from Google?” Eléments pour la réforme du droit d'auteur et des politiques culturelles liées. Après le rejet du traité ACTA par le parlement européen, une période s'ouvre dans laquelle il sera possible, si nous nous en donnons les moyens, d'installer un nouveau cadre réglementaire et politique pour l'ère numérique. Un grand nombre de citoyens et de députés européens adhèrent au projet de réformer le droit d'auteur et le copyright. Le but de cette réforme est que chacun d'entre nous puisse tirer tous les bénéfices de l'ère numérique qu'il s'agisse de s'engager dans des activités créatives ou d'expression publique, ou d'en partager les produits. Dans les mois et années qui viennent, les questions clés seront : quels sont les vrais défis de cette réforme ?

Comment y faire face ? Ce texte, disponible en français, en anglais, et en espagnol fournit une réponse à la première question et un ensemble cohérent de propositions pour aborder la seconde. Ce texte est ouvert aux commentaires et à la discussion. Télécharger le texte (.pdf) Les objectifs Les composants d'une réforme 1. 2. 3. 4. [Challenges] "Google connaît plus de choses sur vous que votre propre famille !" La protection des données personnelles des internautes est-elle bien assurée en Europe ? Véritable serpent de mer, la question est revenue sur le devant de la scène avec l'adoption de nouvelles dispositions par la commission "consommateurs" (IMCO) du Parlement européen, mercredi 23 janvier.

Parmi les amendements votés, celui d’autoriser le "profilage" (l'établissement d'un profil) ou encore un allègement des contraintes pour les entreprises qui conserve les données personnelles. « [...] l’erreur est de croire que ce sont des questions techniques alors que cela concerne tous les aspects de nos vies en ligne et hors ligne.

Cela deviendra un problème lorsque votre banque vous refusera un prêt car elle aura constaté sur Facebook ou sur un autre site que vous faites trop la fête ou que vous partez trop souvent en vacances, ou lorsque vos données personnelles fuiteront. [...] » « Mais nous préconisons surtout une vigilance permanente des citoyens. #google. C’est une petite clé en apparence tout simple. Voici Chromecast, la clé avec laquelle Google compte s’ouvrir la porte de votre foyer numérique.De quoi s’agit-il ? Chromecast permet de diffuser sur votre télé des photos, des vidéos et d’autres contenus depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur. On peut déjà faire cela avec le boitier Apple TV mais uniquement depuis un appareil Apple. On peut aussi faire cela avec certains téléviseurs compatibles DLNA ainsi que certaines box opérateurs.

Chromecast s’adresse donc aux personnes qui ne bénéficient pas de ces fonctionnalités avec leurs appareils actuels.Comment ça marche ? Comment Google privatise et remanie les mots et les langues. #google. C’est une petite clé en apparence tout simple. Voici Chromecast, la clé avec laquelle Google compte s’ouvrir la porte de votre foyer numérique.De quoi s’agit-il ? Chromecast permet de diffuser sur votre télé des photos, des vidéos et d’autres contenus depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur.

On peut déjà faire cela avec le boitier Apple TV mais uniquement depuis un appareil Apple. On peut aussi faire cela avec certains téléviseurs compatibles DLNA ainsi que certaines box opérateurs. Chromecast s’adresse donc aux personnes qui ne bénéficient pas de ces fonctionnalités avec leurs appareils actuels.Comment ça marche ? La clé se branche sur un port HDMI. Il reste à télécharger une appli mobile (iOS Android) pour paramétrer la clé. Google : chêne ou roseau? Google et les éditeurs de presse belges ont enfin trouvé un accord.

Pour Le Monde, cela veut dire que "la presse peut faire plier Google" et que les titres français peuvent espérer profiter d'un effet "boule de neige". En fait, c'est un poil plus compliqué. Explications. “La presse peut faire plier Google. Les journaux belges viennent d’en apporter la preuve.” Ces deux petites phrases, extraites d’un article du Monde publié hier, ont suffi à mettre en branle le panzer de Mountain View. Billet de blog publié tard dans la soirée, conference call improvisée dans la matinée, équipe de com’ sur les dents : Google a déployé un véritable plan Vigipirate pour contrer les informations du journal du soir. Google chez les Belges Et à en croire Le Monde, c’est lui qui sort grand perdant du deal enfin trouvé : Il n’en fallait pas plus pour Google pour contre-attaquer.

Nous n’avons jamais parlé [d'une rémunération en] pourcentage par rapport à un chiffre d’affaire. Et de préciser : Suivez mon regard. Pour ou contre taxer Google pour financer la presse ? Eric Schmidt, patron du moteur de recherche, a été reçu ce lundi à l’Elysée. Une partie de la presse française veut taxer le géant US qui renvoie vers ses articles. Eric Schmidt, patron de Google, arrive à l’Elysée, le 29 octobre 2012 (Remy de la Mauviniere/AP/SIPA) La campagne lancée par la presse française pour imposer à Google un partage de ses revenus publicitaires a eu un premier résultat.

Eric Schmidt, patron de la firme de Mountain View, a demandé à être entendu par le président de la République. Eric Schmidt a déjà admiré les lambris de l’Elysée. L’affrontement désormais récurrent qui oppose la presse à Google s’est accéléré ces dernières semaines : l’Association de la presse d’information politique et générale (IPG) aimerait faire payer Google quand il renvoie vers les articles de presse.

Selon Le Figaro, François Hollande assure les éditeurs qu’il soutiendra un projet de loi en 2013. Eric Schmidt (à gauche) reçu par François Hollande, le 29 octobre 2012 (@Elysee) Google et le syndrome Hadopi. Reprenons les termes du jugement pour mieux en analyser les conséquences. L’accusation reprochait au plus fameux des moteurs de recherche de la planète d’avoir numérisé « 100 000 œuvres françaises », dont 9 000 pour Hervé de la Martinière, sans en avoir au préalable demandé l’approbation, alors même que ces livres étaient protégés.

Ce à quoi Google répondait qu’il s’était contenté de numériser les livres de grandes bibliothèques américaines, à leur demande, avec qui plus est une logique de citation en ce qui concerne les ouvrages sous droits. Se jugeant compétent sur des actes commis aux États-Unis sur des livres dans la langue de Simenon, le tribunal a estimé finalement qu’en « reproduisant intégralement et en rendant accessibles des extraits d’ouvrages sans l’autorisation des ayants droit », la firme californienne a hissé le pavillon pirate. Autrement dit : le projet Google Book Search, lancé en 2005, contrevient à la loi française sur les droits d’auteur. Google sidesteps France link-tax, reaching a €60m deal to help publishers move to the digital age instead. After years of disputes around the digitization of out-of-print works with French book publishers and authors, Google recently announced that its legal battles in France were finally over.

But now Google says it’s setting up a €60m Digital Publishing Innovation Fund to “support transformative French digital publishing initiatives,” in the wake of the much-discussed ‘link tax’ proposed by France. In a blog post earlier today, Eric Schmidt, Google’s Executive Chairman, said that he and President Hollande of France have worked together on two new initiatives to increase revenues for French publishers. “First, Google has agreed to create a €60 million Digital Publishing Innovation Fund to help support transformative digital publishing initiatives for French readers,” says Schmidt.

“Second, Google will deepen our partnership with French publishers to help increase their online revenues using our advertising technology.” Feature Image Credit – Thinkstock. Pourquoi la presse devrait soutenir la légalisation du partage non-marchand.