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Critics

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J.K. Rowling's 'The Casual Vacancy' Cover Reveal. Little, Brown has released the cover and additional information for The Casual Vacancy, J.K. Rowling's forthcoming novel. The book, publishing worldwide in English on September 27, has a confirmed page count of 512 pages; a release from Little, Brown called it "a big novel about a small town. " The release described the book as follows: When Barry Fairbrother dies in his early forties, the town of Pagford is left in shock. Pagford is, seemingly, an English idyll, with a cobbled market square and an ancient abbey, but what lies behind the pretty façade is a town at war.

Rich at war with poor, teenagers at war with their parents, wives at war with their husbands, teachers at war with their pupils…Pagford is not what it first seems. And the empty seat left by Barry on the parish council soon becomes the catalyst for the biggest war the town has yet seen. The Casual Vacancy will be available in hardcover ($35), large print ($39), e-book ($19.99), audio download (29.98), and audio CD ($44.98).

Share Book Recommendations, Join Book Clubs, Learn more about your Favorite Books and Share Books with Friends. Harry Potter vs. Lord of the Rings: The Final Showdown. Q9. L'Amant Transformé : les vampires de la Confrérie. Chapitre 25 traduit parDragonRouge57 Avertissement habituel : réservé à un lectorat ADULTE ET AVERTI Merde, merde, merde et bordel de merde ! Pensa Qhuinn. J’ai tout foiré à nouveau. Il termina de rincer le savon, saisit une serviette et courut après Blay. — Blay ? Quand il ne vit pas Blay dans la chambre, il sentit la panique monter dans sa poitrine.

. — Plus de bébé, dit Blay en le foudroyant du regard. Merde ! — En fait, c’est la seule chose que tu ne sembles pas vouloir de moi, cracha Blay de l’intérieur du placard. . — Putain ! — Si tu as l’intention de crier après moi, tu peux simplement foutre le camp de ma chambre et tout de suite. . — Je suis désolé, Bébé. Blay recula devant le nom dont l’affublait Qhuinn qui déglutit difficilement avant de continuer. — Laisse-moi t’expliquer. — Très bien. Blay s’assit sur le côté du lit. Ne sachant pas par où commencer, il s’agenouilla devant Blay. — D’abord je n’ai pas changé d’avis. Il recouvrit les mains de Blay avec les siennes. . — Bébé, j’allais jouir. Scoopit: les bons du curer. Fuji San de Jacques Roubaud (extrait) Depuis avant-hier, durant toute la durée du Salon du Livre de Paris (cf. billet du 14 mars), chaque matin le blog ePagine vous offre un extrait à lire en ligne d’un titre issu du catalogue numérique.

Après Ikebukuro, West Gate Park de ISHIDA Ira (éditions Philippe Picquier) et Ce n’est pas un hasard de Ryoko Sekiguchi (éditions P.O.L), aujourd’hui il sera question du Fuji San de Jacques Roubaud (publie.net). Ou plutôt il sera question du Non Fuji. Ou disons (puisque le grand poète oulipien (ne l’ayant pas vu) vient à douter de son existence) qu’il s’agira plutôt de le convaincre que le Fuji existe bel et bien alors même qu’il fera lui-même le voyage Tokyo-Kyoto… Pas besoin de vous faire un dessin, vous avez compris la règle du jeu.

Au voyage réel se superposera donc dans Fuji San d’autres voyages – imaginaires, temporels, fantasmés, potentiels et poétiques. Fuji San de Jacques Roubaud est au catalogue numérique de ePagine et des libraires partenaires. (la photo est de Pierre Ménard) ChG. Roger Holden: Collaborating on the Computer with William S. Burroughs. A Follow-Up to “Charles Bukowski, William Burroughs, and the Computer” by Roger Holden I would like to take this opportunity to thank Jed Birmingham for his courteous offer to submit this correction to his essay “Charles Bukowski, William Burroughs, and the Computer.” The premise of his essay was that, to his knowledge, Burroughs seems to have avoided using the computer for any of his creative work. “What would Burroughs have done,” Birmingham writes, “with an Ian Sommerville-type collaborator who knew the nuts and bolts of computers and the Internet, was aware of their philosophical and cultural implications, and also possessed a desire to expand the medium creatively?

Like many on the forum at RealityStudio, I wonder what if? As 1994 wound up, I noticed his great interest and enjoyment of computer-generated stereograms. Marcel Reich-Ranicki über Günter Grass: Es ist ein ekelhaftes Gedicht - Das Israel-Gedicht von Grass. Le vivant et la machine (Olympia) Cette nouvelle livraison d’Epistemocritique s’inscrit dans le droit fil de la précédente, consacrée à la machine, dont elle élargit la problématique en l’associant à une autre notion dont elle est souvent le corollaire : le vivant.

Liés à la fois par des relations d’exclusion et d’interpellation, le vivant et la machine entretiennent des relations complexes qui sont faites à la fois d’antagonismes et d’analogies, de concurrence et de superpositions, d’images en miroir et de contre-images. Tour à tour copie, modèle, métaphore ou substitut de l’humain, la machine peut aller jusqu’à échanger ses caractéristiques avec le vivant : si la machine est humaine, l’homme en contrepartie peut se transformer en être artificiel. Ce qui nous rappelle que la machine n’est pas un simple clone du corps physique, mais qu’elle est également une création de l’esprit humain.

La théorie des animaux-machines va susciter une querelle longue de deux siècles. Voir programme attaché en PDF. The Book: A Contemporary View | Delaware Center for the Contemporary Arts. Exhibit Dates: Dec 22, 2010 - Apr 17, 2011 Location: Carole Bieber and Marc Ham Gallery This exhibition addresses the themes of the book as object, subject, and concept. Stretching the definition of book, the show includes artist-made books, deconstructed books, and book installations. In an age where the printed book may soon be an anachronism, artists remain fascinated by the subject and materials of the book. There are graduate programs devoted to the art of making books, guilds and organizations both national and regional around bookmaking that support the activities of small presses, artist-made books, and collectors of limited edition and one-of-a-kind books. There will be a symposium on the theme of the exhibition with presentations by artists Buzz Spector, Brian Dettmer, Doug Beube, Melissa Jay Craig, and the Chief of the Rare Book and Special Collections Division, Library of Congress, Mark Dimunation on Friday evening, March 25th and Saturday, March 26th at the DCCA.

BOOKS OF THE TIMES; Americans Overseas, Lost and Generally Oblivious. A Novel By Arthur Phillips 367 pages. Random House. $24.95. Biographical data about Arthur Phillips conveys much about his ingenious debut novel. First of all, he is a five-time champion from the quiz show ''Jeopardy! ,'' and his erudite cleverness is unmistakable. A man who can describe the color of the Danube as ''the deep cerulean Matisse blue of caramel or mahogany'' and make up book titles like ''You Had to Be There: Approaches to Humor 1415-1914'' is nothing if not quick witted. Mr. The city of Prague rises dreamily on this book's final page: ''a land of spires and toy palaces and golden painted gates and bridges with sad-eyed statues peering out over misty black water, a village of cobblestones and stained glass unlicked by cannon, and that fairy-tale castle floating above it, hovering unanchored by anything at all, a city where surely anything will be possible.'' Instead, these visiting Americans live in a battered European capital just after the lifting of the Iron Curtain.

Mr. Épistémo- critique sur Olympia (Hoffmann) Lorsqu’en 1886, Villiers de l’Isle-Adam propose une Andréide aux Français, la création « magique » (p. 118) du « grand Inventeur » (p. 122), Thomas Alva Edison, anticipe de quelques années la Fée Electricité, mascotte de l’Exposition Universelle de 1889. Hadaly, cet idéal féminin incarné, en quelque sorte, Belle au Bois Dormant (p. 156) que le scientifique parvient à réveiller et animer grâce à l’électricité, appartient au « royaume de la féérie », un « pays des éclairs » (p. 162) dans lesquels les rêves deviennent réalité, ou plutôt, où l’illusion remplace la réalité sous la baguette magique d’Edison.

L’Eve future, roman d’anticipation scientifique, joue sur l’image de la science comme producteur de « merveille[s] » (p. 212), proposant un univers où les dernières prouesses technologiques, tel le phonographe, sont comparées à des « jouet[s] d’enfant » (p. 45), tandis que le microphone met à la portée de tous les pouvoirs du géant « Fine-Oreille de vos contes de fées » (p. 110).