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Les mains au panier. Pour l'amour de Gaïa. Deux mains, de la laine et des aiguilles. *** Esprit Cabane, Le magazine des idees creatives et ecologiques. A propos. Avant de m'adresser un e-mail, je vous remercie de prendre le temps de lire cette page qui répondra, je l'espère, aux questions que vous me posez fréquemment. Quel est ton parcours ? 1978 : cette année-là, je sortais du ventre de ma petite maman et hurlais (déjà) pour subvenir à un besoin essentiel : manger ! 1981 : j'ai toute la panoplie de dînette Maya l'Abeille que je dissémine allégrement dans le couloir de ma maison. Ma mère me concocte des roses des sables et prépare les repas avec un Vorwerk orange. 1989 : je réalise mes premières recettes et écris des nouvelles (jamais publiées fort heureusement) qui parlent de nature et d'animaux. Toute la famille est employée à ramasser, trier et cuisiner les productions potagères de mon père. 1993 : c'est la fin du collège et je demande à mes parents de passer le CAP Cuisine. « C'est un métier difficile et ingrat, suis plutôt un curcus littéraire, tu aimes tant l'orthographe et les livres !

Quel est la ligne éditoriale de Cuisine Campagne ? Le blog de faune-en-folie.over-blog.com. A propos - G. Macqueron, durablement. Blog Emploi en Environnement. Blogbio. Parciparla. Devant les yeux. Le blog de coco-en-vadrouille.over-blog.com. Le blog de Pierre Rabhi. Un arbre unique et solitaire fait offrande de ses ramures au ciel incandescent. Nul ne sait par quel stratagème il a, dès son enfance, échappé à la main prédatrice de l’homme armé de fer, à la dent avide de l’animal famélique, à la rareté de l’eau et au dard du soleil plus que nulle part au sommet de son ardeur.

Alentour est le désert infini submergé de silence séculaire parfois troublé par la rumeur lointaine de troupeaux évanescents allant sur les dunes et les immenses plateaux ensemencés de rocailles. Ici, l’espace et le temps sont confondus l’un par l’autre tenus, et n’ont d’autre mesure que la démesure de l’éternité. Dans cette vastitude lunaire librement parcourue de bise en février ou de vent en ouragan de sable, rugissant d’une fureur dont on ne sait la raison, l’arbre demeure en patience témoin superbe et pathétique d’un temps révolu. En m’approchant de la colline où il se tient en vigile de silence, il grandit à mes yeux. Des battements sourds se font entendre. Au bout du monde... entre ici et ailleurs. Du fond du chaudron aux étoiles. Laetibricole.