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Philosophie et vérité chez Pascal. Philosophie et vérité chez Pascal Frédéric BAUDIN* Blaise Pascal (1623-1662) s’est montré très savant dans plusieurs domaines: il a écrit de nombreux opuscules de géométrie; il s’est passionné, jusqu’à la veille de sa mort, pour les découvertes de son temps; il a lui-même procédé avec succès à certaines expériences qu’il a décrites, par exemple sur la pression atmosphérique; il a participé aux grandes controverses théologiques, en rédigeant les Ecrits sur la grâce ou les Lettres à un provincial; sa culture philosophique transparaît dans son dernier ouvrage – inachevé -, qui demeure sans doute le plus connu, les Pensées.

Philosophie et vérité chez Pascal

Il fut donc un authentique « honnête homme » du XVIIe siècle, capable d’aborder un grand nombre de sujets dans la tradition humaniste de la Renaissance, mais aussi un homme de génie, dont la prodigieuse intelligence et la grande sensibilité en firent un individu hors pair. I. Pascal et la philosophie: grandeur et décadence de la Raison 1. 2. L’Entretien de M. 3. II. 1. Pascal, Pensées. Blaise Pascal, de l'éternel malade au prodige de la pensée. La Philosophie de Pascal : Dieu, la mort et les passions. Blaise Pascal : une réflexion sur Dieu, la mort et les passions Blaise Pascal, philosophe, esprit universel et penseur religieux, est l’auteur d’une œuvre à la fois scientifique, philosophique et religieuse.

La Philosophie de Pascal : Dieu, la mort et les passions

Pascal est considéré comme le précurseur de la philosophie existentialiste, développée plus tard par Kierkegaard, Heidegger et Sartre. C’est la misère de l’homme privé de Dieu que Pascal souligne dans les Pensées. Au contraire, en Dieu, l’homme peut s’ancrer spirituellement. Croire en Dieu est le parti le plus raisonnable. Qu’est ce que l’homme selon Pascal ? A cette question, Pascal apporte, tout d’abord, une réponse psychologique : il place l’homme en face de lui-même et fait un constat de vide et de vacuité. . – C’est l’inconsistance qui domine dans l’humaine nature. – Parlons donc de vanité, au sens étymologique de ce terme (latin vanitas, vide), comme caractère de ce qui est creux et inconsistant. – La vanité est encrée dans le cœur de l’homme : le moi est haïssable.

Blaise Pascal PHILOSOPHIE ET VÉRITÉ CHEZ PASCAL. Blaise Pascal et les demi-savants de la philosophie. Conversion et souverain bien chez Blaise Pascal - Jean-Louis Bischoff. Pari de Pascal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pari de Pascal

Pour les articles homonymes, voir Pari. Le Pari de Pascal est le nom donné au fragment 233 (édition Brunschvicg[1]) des Pensées de Blaise Pascal où, sur le modèle de sa solution du problème des partis, il met à plat le gain que l'on peut avoir en croyant en Dieu. Le but de son exercice est probablement de convaincre ceux de ses contemporains qui prisent beaucoup le milieu du jeu, et seront plus accessibles à ce genre d'argument qu'à des considérations de théologie pure. Il semble aussi, en raison des dernières lignes du Pari (reproduites in extenso en bas de cette page), que Pascal a sans doute voulu aussi dire simplement que l'acte de foi n'était pas moins raisonnable que beaucoup de gestes que nous posons dans la vie quotidienne dont le fondement ne paraît pas plus certain : « [...] combien de choses fait-on pour l'incertain, les voyages sur la mer, les batailles ! Le pari de Pascal. Le pari de Pascal "Examinons donc ce point, et disons Dieu est, ou il est pas...

Le pari de Pascal

Que gagerez-vous?... Il faut parier cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué... Pesons le gain et la perte en prenant croix, que Dieu est. […] Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager : votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère. Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir.

Dans ce passage, Pascal sous-entend que si Dieu existe, nous aurons droit, à un bonheur infini si l’on croit en lui et si l’on renonce dans notre vie terrestre aux plaisirs et aux satisfactions qui nous attendent au paradis. Autre formulation : Si Dieu n’existe pas, le croyant et le non croyant ne perdent rien. Pascal ne prend en compte que la religion chrétienne. Voir la page d'accueil sur Dieu.