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Cellules souches, sang de cordon et recherches sur l'embryon

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Banques cellules souches et sang de cordon

Des cellules souches embryonnaires humaines créées par clonage. Les chercheurs ont eu recours à une technique consistant à utiliser le noyau des cellules de la peau.

Des cellules souches embryonnaires humaines créées par clonage

Des chercheurs américains ont créé des cellules souches embryonnaires humaines à partir de cellules de peau en recourant à une technique de clonage, une première après plusieurs tentatives infructueuses dans le monde ces dernières années. Ces scientifiques ont démontré pour la première fois avec leurs travaux dévoilés mercredi 15 mai qu'il est possible de créer des cellules souches embryonnaires génétiquement identiques à la personne dont elles sont dérivées. Les cellules souches embryonnaires sont les seules cellules capables de se différencier en tous type de cellules de l'organisme qui en compte 200 et de se multiplier sans limite, présentant ainsi un énorme potentiel thérapeutique. Elles sont particulièrement prometteuses pour traiter la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, des pathologies cardiaques et des blessures à la moelle épinière.

Cellules souches US

Recherche, sciences et techniques : recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires. Sur l’embryon, des députés dénoncent un débat mené « en catimini » Mercredi 20, plusieurs députés UMP ont mis en exergue les enjeux d’un texte qu’ils jugent « inquiétant », regrettant aussi le manque de temps accordé au débat. « L’encre est à peine sèche que l’on s’apprête à bouleverser l’un des principes essentiels de la loi de bioéthique, votée en 2011. » En cause, selon le député UMP de la Manche Philippe Gosselin : la proposition de loi (RDSE) levant le principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires qui sera discutée jeudi 28 mars à l’Assemblée nationale.

Sur l’embryon, des députés dénoncent un débat mené « en catimini »

Un vote conforme à celui du Sénat, le 4 décembre dernier, conduirait à une adoption rapide du texte, ce qui inquiète plusieurs élus de droite parmi lesquels Hervé Mariton (UMP, Drôme), Xavier Breton (UMP, Ain), Marie-Christine Dalloz (UMP, Jura), Jean-Christophe Fromantin (UMP, Hauts-de-Seine) et d’autres encore, même si l’UMP reste partagée sur la question. Recherche sur l'embryon: hautement probable que le texte n'ira pas jusqu'au bout. Recherche sur l'embryon: hautement probable que le texte n'ira pas jusqu'au bout PARIS - Les députés écologistes soutiendront la proposition de loi autorisant la recherche sur l'embryon et les cellules souches, a indiqué mardi leur coprésidente Barbara Pompili, estimant qu'il était hautement probable que ce texte ne puisse aller jusqu'au bout.

Recherche sur l'embryon: hautement probable que le texte n'ira pas jusqu'au bout

Il est hautement probable que l'on ne pourra pas aller jusqu'au bout de cette proposition de loi qui sera présentée jeudi par les radicaux de gauche, a prévenu Barbara Pompili, soulignant qu'il y avait 423 amendements dont une avalanche d'amendements UMP. Dans la mesure où c'est une niche parlementaire, si on va jusqu'au bout de la logique, on va arrêter l'examen de ce texte et le groupe pourra en poursuivre l'examen dans un an, a-t-elle ajouté en soulignant que l'UMP joue la montre pour empêcher que cette loi, très attendue par le secteur de la recherche, soit adoptée. Latest iPS Advances. L’embryon, un matériau gratuit pour les laboratoires ? - Billets. Avec la facture des frais de congélation de leurs embryons, les parents, qui ont eu recours à ce service, reçoivent tous les ans un formulaire afin de préciser leur projet : don à un tiers, don à la science ou désir d’enfant.

L’embryon, un matériau gratuit pour les laboratoires ? - Billets

Le « stress éthique », peu anticipé mais souvent suscité par ce choix au sein des couples, prouve que le contenu de cette éprouvette n’est pas rien. Même du fond de son congélateur, l’embryon est relié à ses géniteurs. Pour un couple, donner son embryon n’est pas donner un rein. Recherche sur l'embryon : fin du principe de précaution ? La recherche sur les embryons humains conçus in vitro : admission des dérogations, enfin ! Par un décret du 7 juillet 2011 n° 2012-467 et du 11 avril 2012 relatif à la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires et aux études sur l’embryon, sont permises certaines dérogations au principe d’interdiction des recherches sur l’embryon humain conçu in vitro, conformément à la réforme relative à la bioéthique de cet été.

La recherche sur les embryons humains conçus in vitro : admission des dérogations, enfin !

Pendant longtemps, le principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon, les cellules souches embryonnaires et les lignées de cellules souches, énoncé à l’article L. 2151-5 du code de la santé publique n’a été soumis à aucune dérogation. De telles dérogations, permises par Loi n° 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique[1], sont aujourd’hui précisées par le Décret du 7 juillet 2011 n° 2012-467 et du 11 avril 2012 relatif à la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires et aux études sur l’embryon, permettant le développement de tout un volet de recherches utiles, ce dont il faut se réjouir.

Recherches sur les cellules souches embryonnaires humaines (Actu de mars 2012. First human iPS therapy eyed in '13. » La Fondation Lejeune VS le Téléthon. La Fondation Lejeune décrypte les pseudo-avancées de l'AFM. « Ouverture à Moscou d'une conférence sur la christianophobie | Accueil | Italie : les évêques autorisés à visiter les écoles publiques » La Fondation Lejeune décrypte les pseudo-avancées de l'AFM A l’occasion des 25 ans du Téléthon, l’AFM (Association française contre les myopathies) met en avant 25 avancées présentées comme « spectaculaires » et « au bénéfice du plus grand nombre », réalisées grâce à la générosité des Français.

La Fondation Lejeune décrypte les pseudo-avancées de l'AFM

En se fondant sur trois exemples, la Fondation Jérôme Lejeune rappelle en quoi ces avancées sont contestables sur les plans éthique, scientifique et juridique. 1. L’ « avancée » relative aux diagnostics prénatal (DPN) et pré-implantatoire (DPI)Dans la première partie de son document, « La révolution génétique », l’AFM met en avant les progrès faits ces dernières années en matière de diagnostics prénatal et pré-implantatoire (avancée spectaculaire n°3 : « L’amélioration du diagnostic »).

Recherche sur l'embryon

Knoepfler Lab Stem Cell Blog. How embryonic stem cell lines are made. Des cellules fœtales de bébés avortés pour faire des édulcorants. Archives. Utiliser l'extraordinaire pouvoir régénérant des cellules de foetus humain pour lutter contre… les rides.

Archives

Fabriquée en Suisse et lancée il y a quelques mois en toute discrétion aux Etats-Unis, Neocutis, la première crème antirides à base de foetus humains, est depuis quelques jours au centre d'une grosse polémique. Les précieuses cellules ont en effet été obtenues à la suite d'un avortement, ce qui provoque les foudres des associations catholiques « pro life » américaines, mais aussi européennes. Car si ce produit n'est pas autorisé à la vente en Europe, on peut facilement se le procurer via le Web, moyennant 90 €. « Il se trouve qu'une patiente qui avait avorté nous a fait don de quelques cellules de peau de son foetus, explique Frédéric Koehn, le fabricant de Neocutis. Ensuite, nous avons reproduit ces cellules en laboratoire afin de faire nos crèmes. La justice européenne interdit de breveter la destruction d'embryons humains.

La Cour européenne de justice a interdit mardi de breveter à des fins de recherche scientifique un procédé utilisant un embryon humain et entraînant sa destruction, un arrêt appelé à avoir des conséquences pour l'industrie pharmaceutique et biotechnologique notamment.

La justice européenne interdit de breveter la destruction d'embryons humains

Bioéthique. Dans cette tribune publiée par Le Figaro (12 avril 2011), Mgr Pierre d'Ornellas, archevêque de Rennes, chargé de la bioéthique au sein de la Conférence des évêques de France, revient sur le projet de loi de bioéthique adopté par le Sénat le 8 avril 2011.

Bioéthique

Hier, un « sage » du Palais du Luxembourg m'a étiqueté d'un étrange nom : « bébé-thalys ». J'en suis tout remué ! Quel avenir me préparez-vous par vos noms ? Pour vous, qui suis-je ? En 1994 et 2004, j'étais le « grand absent » des lois de bioéthique qui, pourtant, statuaient sur les conditions de ma conception. Les grands, à New York, dans une belle Convention (1), ont estimé que mon « intérêt supérieur » devait être la « considération primordiale » de vos décisions d'adultes. Puis-je faire une remarque de bon sens ? De même, vous avez décidé sans moi de m'utiliser pour guérir. 05_3069.pdf (Objet application/pdf) Le Figaro - Santé : Du sang à partir de cellules souches.

C'est une étape décisive dans la recherche de substituts sanguins.

Le Figaro - Santé : Du sang à partir de cellules souches

Transfusés pour la première fois chez l'homme, des globules rouges fabriqués en laboratoire à partir de cellules souches se sont montrés aussi performants que des globules naturels. Ces résultats, obtenus par l'équipe du Pr Luc Douay (hôpital Saint-Antoine, Université Pierre et Marie Curie, Paris) dans le cadre d'un partenariat avec l'Établissement français du sang, sont publiés jeudi dans la revue spécialisée Blood, organe de la société américaine d'hématologie. Avec les progrès de la médecine et le vieillissement de la population, les besoins transfusionnels sont en constante augmentation dans la plupart des pays. Actuellement, chaque année, 90 millions de culots globulaires sont nécessaires dans le monde, et 500 000 personnes sont transfusées en France. Pour prévenir les inévitables pénuries des années à venir, de nombreux chercheurs se sont lancés dans le défi du sang artificiel. Cellules souches: idéologie et science parlementaires.