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Check for Plagiarism On the Web For Free - PlagiarismChecker.com. Think Commons. La raison du commun : pour une politique de l'inappropriable. « Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l’État et le marché. La notion de « biens communs » attire de plus en plus l’attention et l’intérêt de divers acteurs du changement social.

« Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l’État et le marché

Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de culture ou de technologie, les biens communs – ou, plus simplement, les « communs » – ont pour principal attrait de dessiner une alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de l’autonomie aux simples citoyens. FLOK Society, la société pour la connaissance libre et ouverte. FLOK est l’acronyme de Free/Libre Open Knowledge Society, la société pour la connaissance libre et ouverte.

FLOK Society, la société pour la connaissance libre et ouverte.

Parmi les actions prévues, il y a la mise en place d’un réseau mondial de chercheurs sur la transition, emmené par Michel Bauwens dont le point d’orgue devrait être une grande conférence internationale organisée sous peu (Jérémie Zimmerman et Bernard Stiegler sont par exemple dans la boucle, parmi les Français). Nous avons voulu en savoir plus en traduisant cette interview de quelques-uns des ses acteurs. Remarque : Les vieux lecteurs du Framablog se souviendront peut-être de cette vibrante allocution de président Correa en faveur du logiciel libre (2007 déjà). Planning a commons-based, peer production future for Ecuador. In 2013, the Government of Ecuador launched a major strategic research project to “fundamentally re-imagine Ecuador” based on the principles of open networks, peer production and commoning.

Planning a commons-based, peer production future for Ecuador

Recognizing Each Other in the Commons: The Basis for an Alternative Political Philosophy of Systemic Change? By Helene Finidori Time is running short for a paradigm shift.

Recognizing Each Other in the Commons: The Basis for an Alternative Political Philosophy of Systemic Change?

When it comes to our individual and collective engagement in making the world a better place, we often talk about uniting in diversity: uniting in harmony to multiply outcomes and uniting in diversity for multiple focus and resilience. But how can this concretely be achieved? We all acknowledge the critical need for systemic change and for collective intelligence, but we all have different opinions about the challenges our world is facing and the ways to address these challenges. We each try to convince others that we hold the best solutions and methodologies, which often prevents us from coordinating or communing in effective ways.

As agents of change, we gather around the social objects that our engagement and action logics attract us to, those that resonate the most with the way we see the world and that determine our priorities and the pathways we envision. We are facing a paradox. Flore BERLINGEN- Economie collaborative et biens communs- Auteur : Flore BERLINGEN, Directrice du Cniid (Centre national d’information indépendante sur les déchets).

Flore BERLINGEN- Economie collaborative et biens communs-

Co-fondatrice de OuiShare. Entretien avec Flore Berlingen, Directrice du Cniid (Centre national d’information indépendante sur les déchets).Co-fondatrice de OuiShare, la communauté des acteurs de l’économie collaborative. « Les biens communs nous offrent davantage de liberté et de pouvoir que ne le font l’État et le marché » Iceland’s boom and bust: a valuable environmental lesson. Photo by Tristan Ferne (tristanf on Flickr CC) Starting in the mid 1990s, economic liberalization, rampant privatization and a radical neoliberal agenda transformed Iceland from a nation of fishing to a wealthy finance center built on credit.

Iceland’s boom and bust: a valuable environmental lesson

Iceland became somewhere for foreigners to put their money and collect high rates of interest. Until the bubble burst in 2008. I will not pretend I have any in-depth understanding of economics (it’s too bloody confusing) but one thing seems clear: When Iceland was riding the bubble its natural environment suffered. Since Iceland defaulted and its nouveau riche found itself ‘nouveau in debt’, people have driven less, produced less waste and elected a greener government. Iceland’s program of privatization meant the government was willing to sell off public goods, including areas of unspoiled nature, to make a buck. Read more on signandsight.com. Dreamland has also been made into a feature length documentary film.

Share. Quelles différences entre les biens communs et le communisme ? » Article » OWNI, Digital Journalism. Le paradigme communautaire. La mutation de civilisation Les crises des dernières décennies sont autant de pas déstabilisants mais marquant une progression pour franchir un seuil, un passage entre deux stades de civilisation.

Le paradigme communautaire

Ce passage est alimenté de troubles. Ils marquent la fin, la défaillance ou l’insuffisance des modes antérieurs de compréhension, d’orientation et d’action qui se crispent sur leurs vertus supposées. Audition de Lionel Maurel et Silvère Mercier, co-fondateurs du collectif SavoirsCom1 - Politiques des biens communs de la connaissance / Audio / Actualités / Culture-acte 2. Les Français ont une bonne opinion des fonctionnaires. Veblen Institute. Nouvelles approche de la confiance numérique. Summer School 2013. Autour de la gratuité : biens communs, biens collectifs… » Montreuil en Transition.

Dans un intéressant article, Alain Beitone, de la revue du Mouvement Anti-Utilitariste en Sciences Sociales, s’interrogeait sur différentes définitions de la notion de biens, dont on peut dire qu’il forment le support de la gratuité, et participent donc de sa propre définition.

Autour de la gratuité : biens communs, biens collectifs… » Montreuil en Transition

Celui-ci distingue non seulement les biens collectifs (qui peuvent être privés ou publics) et les biens publics, mais aussi les biens tutélaires, privatifs, privés, Alain Beitone, « Biens publics, biens collectifs, Pour tenter d’en finir avec une confusion de vocabulaire », Revue du MAUSS permanente, 27 mai 2010 [en ligne].

Extraits choisis : L’usage de l’expression « biens publics » Cette définition nous semble problématique dans la mesure où elle assimile bien public et bien collectif. London: The End of Ownership — Serendipity Lab. And as humans they share, exchange, encounter each other in such a way that the stuff out of which innovation is made emerges: Serendipity.

London: The End of Ownership — Serendipity Lab

And this is exactly the reason why innovation experts get so excited about it. Because water coolers are veritable serendipity machines. The question though is: When it comes to innovation policy, should organizations rely on a kitchen appliance? Of course not. This is why they embrace open innovation. The problem with open innovation is that it is emphatically not open. Biens_communs_fr_web-2.pdf. Communs / Commons / Comuns / Comunes » Journée Mondiale des Biens Communs, c’est parti ! Les biens communs sont au coeur de la démarche de millier d’initiatives qui visent à permettre l’accès à la santé, le partage les connaissances et l’éducation, la création et l’innovation, la souveraineté alimentaire, le partage de l’espace public, ou encore celui des ressources naturelles.

Communs / Commons / Comuns / Comunes » Journée Mondiale des Biens Communs, c’est parti !

Mais les biens communs font l’objet d’une tentative d’accaparement chaque jour plus puissante par les forces du marché. C’est pour montrer une voie alternative, qu’à la suite du Manifeste pour la récupération des Biens Communs, se prépare la première journée des biens communs, le 15 octobre 2010. Cette journée sera l’écho et l’amplificateur de ces milliers d’initiatives basées sur le partage et la coopération dans tous les domaines de la vie.

L’idée est née lors des réunions sur le Manifeste, qui ont eu lieu en France. Nos débats ont révélé le besoin urgent de nourrir la réflexion collective et relier entre elles les expériences. Distinguer bien commun et bien(s) commun(s) Bien commun et bien(s) commun(s) C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis. L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1].

La note tourne autour de la distinction nécessaire entre « Bien commun » et « biens communs ». Un peu d’étymologie. [ roadmap ] Biens communs. Pr Alain CAILLE, MAUSS, Bien commun et anthropologie du don, Common Good Forum, par Violaine Hacker. Préface à "La renaissance des communs" de David Bollier. Pour une société de coopération et de partage Ce texte écrit par Hervé le Crosnier est la préface du livre "la renaissance des communs, pour une société de coopération et de partage", écrit par David Bollier et paru aux éditions Charles Léopold Mayer. La lecture du livre que vous avez entre les mains provoque un profond sentiment de joie, on y sent quelque chose qui pétille et qui rend l’espoir.

Open Door Development Group. Move Commons. Bien commun, écologie sociale et pluralisme. Bien commun et sciences sociales. Le web, les associations et les communs. Conférence du Master Management des associations à l’IAE de Paris le samedi 25 janvier 2014 de 9h à 12h Le Master Management des associations de l’IAE de Paris organise une table-ronde le samedi 25 janvier de 9h à 12h sur le thème «Le web, les associations et les communs». Cette manifestation est co-organisée par Philippe Eynaud, maître de conférences à l’IAE de Paris, et Frédéric Sultan, membre de l'association Vecam, en partenariat avec la revue Juris Associations. Elle entre dans le cadre d’une unité d’enseignement du master sur le management des systèmes d’information dans le secteur associatif. La table ronde a pour objectif de rendre compte au travers des témoignages de la façon dont les associations s’emparent, via le web de la question des communs.

Les biens communs : un outil politique pour repenser notre rapport à la technologie. “On a tous tendance à dire que le numérique change nos manières de produire, de nous déplacer, d’imaginer… Mais nous devons rester prudent quand nous convoquons cet imaginaire de la révolution”, estime Valérie Peugeot (@valeriepeugeot), chercheur à Orange Labs, présidente de l’association Vecam, membre du Conseil national du numérique et rapporteuse du remarqué rapport sur l’inclusion numérique, sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel où elle était invitée à intervenir (voir sa présentation).

Or, on ne peut pas en rester à ce constat. “Nous avons besoin de repenser la technique comme un objet politique à part entière, et ce d’autant que nous sommes dans une période où les mêmes outils peuvent nous amener vers des modèles de société très différents, à l’image des Big Data”. Les biens communs : une notion au service des projets de l’ESS ? Une très intéressante journée sur l’économie sociale et solidaire a été organisée à Lille le 21 novembre dernier, avec des chercheurs, des étudiants, des élus et des acteurs régionaux et nationaux de l’ESS.

Une table ronde portait sur l’éventualité de mettre la notion de biens communs au service de l’ESS et de ses réflexions sur sa propre « utilité sociale ». Voici une version résumée de ce que j’ai raconté au cours de cette table ronde. On peut d’accéder au fichier pdf d’une version plus longue via ce lien :versionlongue.pdf Je pense en effet que cette notion de biens communs, encore peu connue en dehors de certains réseaux militants, peut « servir » l’ESS, en me gardant toutefois d’en faire la panacée. PDF Les biens communs : une notion au service des projets de l’ESS ? Bernard Friot : « Le management capitaliste entrave notre désir de participer au bien commun » Basta ! : On parle désormais davantage de « pouvoir d’achat » que de salaires. En quoi est-ce différent ? Open experience : pour débattre des modèles économiques de l'open. De janvier à juin 2014, Without Model organise avec Mutinerie Open experience, une série d’articles, interviews et événement autour des modèles économiques de l’open, vous en êtes ?

L’open se diffuse, comment le pérenniser ? L’open se diffuse et s’applique à des terrains nouveaux : open manufacturing, open data, open science, open access, …, . De nombreux individus choisissent de contribuer à des initiatives ouvertes, de construire ensemble un bien commun et de le mettre à disposition de la communauté. Dans le même temps, des organisations se structurent autour de ces logiques ouvertes : entreprises, associations, organisation informelles.

C’est tant mieux. Cependant de nombreuses questions de modèles économique sont associées aux modèles ouverts : Comment concilier la construction d’un bien commun et un équilibre économique permettant aux contributeurs de subvenir à leurs besoins ? On a trois hypothèses au moment de commencer ce travail : #C3S : Un concurrent européen à la #SACEM… respectueux des droits des auteurs, des auditeurs et des biens communs ? L’anti-recette des biens communs. Les biens communs sont une émulsion qui prend à feu doux. Sa réussite n’est ni nécessaire ni scientifique. Le pire du Copyright Madness 2013 : une année de propriété intellectuelle en délire ! Bauwens, Kleiner, Restakis on Cooperative, Commons-based venture funding. VillageLab. Currency as a commons - currencies that work! At the moment of this writing, timebanking in Finland is awaiting new guidelines from Finnish Tax Administration which is coming out tomorrow 5.11. Commonopoly: Redesigning Monopoly for the Sharing Economy.

Working together to bring the principles and practices of the commons to the world.