background preloader

+

Facebook Twitter

Avec classe: Service de soutien à la formation. L’évaluation est certes une préoccupation prépondérante pour bon nombre d’enseignants, tout particulièrement en ce qui a trait à la pertinence des dispositifs d’évaluation. Il est parfois utile de se remémorer les règles de base qui gouvernent une évaluation cohérente et pertinente. Nous vous proposons donc quelques questions qui vous permettront de faire le point. Vos évaluations sont-elles en lien avec les objectifs du cours? Il arrive parfois que l’on prépare l’évaluation quelques jours seulement avant de l’administrer et que l’on perde de vue les objectifs ou les compétences de départ. Les activités d’évaluation devraient toujours être élaborées au tout début du cours, à partir des compétences ou des objectifs du cours. Ce n’est qu’une fois l’évaluation planifiée que l’on devrait s’attarder aux activités d’apprentissage qui mèneront les étudiantes et étudiants à l’atteinte des objectifs.

Évaluez-vous toujours ce qui a été appris dans le cours? À retenir Ressources Polytechnique Montréal. Le livre électronique : prêt pour la classe?: Service de soutien à la formation. Le grand dictionnaire terminologique définit ainsi le livre numérique :«Livre disponible en version numérique, sous forme de fichier, qui peut être téléchargé, stocké et lu sur tout appareil électronique qui en permet l'affichage et la lecture sur écran.» Selon Wikipédia : «Un livre électronique, e-book ou livrel est un fichier électronique contenant un texte sous forme numérique. Il ne doit pas être confondu avec la liseuse, l'appareil électronique spécialisé qui permet de le lire sans faire usage d'un ordinateur.»

Certains auteurs mentionnent que le sens donné au livre numérique peut porter à confusion, car il fait référence à la fois au support physique mais également à la version numérisée de ses contenus et du moyen utilisé pour y accéder. Alain Cordier, dans un rapport sur le livre numérique soumis au ministère de la Culture et de la Communication en France en 1999, souligne bien cette ambigüité : Saviez-vous que les livres numériques existent depuis près de 40 ans déjà? M. À propos: Service de soutien à la formation. Connaissez-vous les jeux sérieux? Il s’agit de jeux vidéo dont l’objectif n’est pas le divertissement mais la formation. Le côté ludique est un moyen de gagner l’intérêt de l’apprenant et de conserver sa motivation à apprendre. Avec les générations «Nintendo», gageons qu’ils ont un bel avenir. Déjà, ils ont pris une place d’importance dans le perfectionnement et le développement des compétences dans les entreprises et les organisations.

Citons L’Oréal avec Reveal by L’Oréal et Carrefour, en France, avec Positif Game, qui présentent les métiers de leurs entreprises et procèdent à la sélection de stagiaires de la génération Y grâce à ces logiciels. Les universités commencent elles aussi à utiliser ces jeux dans leur formation. Beaucoup de ces jeux sont en accès gratuit. Si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à consulter les sites suivants : Et vous, quand jouez-vous? Serge AllaryDirecteur généralService de soutien à la formation. Le fin mot : formation hybride: Service de soutien à la formation. On entend souvent parler de formation à distance et de sa contrepartie, la formation en présentiel, mais il existe une formule qui combine les deux : la formation dite hybride.

Dans une formation hybride, les étudiantes et étudiants ont des activités d'apprentissage à réaliser à distance, et d'autres activités qui se passent en présence de la personne enseignante. L'équivalent anglophone serait l'expression blended learning. Le terme francophone «formation hybride» semble davantage être une expression consacrée que l'expression semblable «formation mixte».

Cette dernière formule peut être utilisée pour désigner diverses situations où l'on combine différentes approches de formation, autres que la combinaison distance-présence. Le terme proche «formation bimodale» désigne des cours donnés simultanément à un groupe en présence et à des étudiants à distance grâce aux technologies de télécommunication modernes (Loisier et Marchand, 2003). Sources. Avec classe: Service de soutien à la formation. Le travail en équipe est une formule pédagogique adoptée par de nombreux membres du personnel enseignant.

Certains l’utilisent pour varier les modes d’évaluation ou pour permettre aux étudiantes et étudiants de partager une tâche de travail trop importante pour un seul individu. D’autres avoueront peut-être que c’est une façon de corriger moins de copies. Cependant, si l’une de ces raisons – toutes valables! – motive notre choix, c’est que nous nous intéressons surtout au travail à produire. Cette emphase sur le résultat amène divers désagréments : les étudiants se plaignent souvent du coéquipier qui ne fait rien et qui «vogue» sur le travail des autres ou des conflits qui surgissent au sein des équipes. Comment faire alors pour éviter de tels écueils ou, tout au moins, les minimiser? 5 défis Le travail d’équipe doit être structuré de façon à inciter les étudiantes et étudiants à la collaboration. 1er défi Tenir compte du rendement individuel de l’étudiant 2e défi 3e défi 4e défi 5e défi.

Le scholarship of teaching and learning : de quoi parle-t-on?: Service de soutien à la formation. Plusieurs institutions anglophones (anglaises, américaines, australiennes et canadiennes) ont développé une culture de valorisation de l’enseignement qu’elles traduisent par le scholarship of teaching and learning (SoTL). De nombreuses revues scientifiques portent sur ce sujet et différents évènements récents laissent croire que se réaffirme par ce biais l’importance d’une pédagogie de l’enseignement universitaire. Voici quelques éléments qui ont retenu notre attention. 200467 professeurs de diverses universités de divers pays fondent l’International Society for the Scholarship of Teaching & Learning (ISSOTL). 2005Premier symposium canadien sur le SoTL à l’Université de Toronto. Une centaine d’administrateurs académiques y participent. 16 août 2010Dans Affaires universitaires, un article de Léo Charbonneau sur «L’étude de la pédagogie de l’enseignement universitaire» au Canada. 4 mai 2011Laval lance un programme de chaires de leadership en enseignement (CLE).

De quoi parle-t-on? Sources. Contenus de cours ouverts : entre visibilité, reconnaissance et valeur ajoutée: Service de soutien à la formation. Du 4 au 6 mai 2011 s’est tenue à Cambridge au Massachussetts une conférence organisée par le Open CourseWare Consortium où l’on célébrait les dix ans du mouvement Open CourseWare (OCW). Au menu, des discussions autour de l’impact du mouvement et de la production de cours ouverts et une réflexion sur la prochaine génération de ces cours. Il y a donc déjà une dizaine d’années que l’on a vu apparaître sur le Web des contenus de formations universitaires tout à fait gratuits pour l’internaute. Dans un article du New York Times (section Europe) du 1er novembre 2010, le journaliste D.D. Guttenplan rappelait que le Massachusetts Institute of Technology (MIT), l'Université Harvard, celle de Yale, de même que l'Université du Michigan proposent des portions substantielles de leur formation universitaire en ligne.

De même, l'Open University en Angleterre offre gratuitement des cours dans diverses disciplines sur le site OpenLearn depuis 2006 et diffuse sur le Web des émissions de BBC depuis 1999. Les technologies incontournables en formation d’ici 2014: Service de soutien à la formation. Compte tenu de la multiplication vertigineuse des technologies de l’information en soutien à la formation, différents analystes proposent, bon an mal an, leurs prédictions concernant les tendances à surveiller. Dans notre contexte institutionnel, des priorités de développement doivent être identifiées et l’implantation de solutions sera planifiée en fonction des ressources disponibles pour en assurer la mise en route et le soutien.

Dès lors, il devient important de cibler des sources d’information fiables et d’arrimer les tendances émergentes avec nos objectifs pédagogiques. Dans un article publié sur le site Inside Higher Ed en avril 2011, le blogueur Joshua Kim – directeur de l’apprentissage et de la technologie au Darmouth College – commente le Horizon Report annuel du New Media Consortium (affilié à EDUCAUSE) en soulignant des technologies qui deviendront, à son avis, des incontournables dans les universités d’ici 2014. Les appareils mobiles Les livres électroniques Les médias sociaux. Le fin mot : ludification: Service de soutien à la formation. … Ou «rendre ludique». La ludification est la grande tendance en marketing Web et dans la création d’applications pour appareils mobiles. C’est l’intégration de mécanismes de jeu (points, niveaux, barres d’état, etc.; le fameux gameplay) issus des jeux vidéo pour rendre des sites web et applications mobiles plus intéressantes, «taking advantage of humans’ psychological predisposition to engage in gaming» (Wikipedia).

Ces plateformes logicielles sont en lien avec des secteurs où le jeu n’avait traditionnellement pas trouvé de place. On s’en sert pour rejoindre plus facilement les consommateurs, mais on souhaite aussi renouveler l’expérience de l’édition de livres, des journaux, de l’alimentation, de la protection environnementale, du monde du travail, du gouvernement, des transports, des services financiers, de la santé… et, bien sûr, de la formation. Sources. Devenir «coconspirateurs» des natifs du numérique: Service de soutien à la formation. Dès le tournant des années 2000, un certain nombre d’auteurs (notamment Don Tapscott, Mark Prensky, John Seelie Brown) ont affirmé que les étudiantes et étudiants présents et à venir (les digital natives) étaient radicalement différents de leurs prédécesseurs (les «immigrants») parce qu’ils avaient grandi avec la culture numérique (et y seraient donc «autochtones»).

Ces jeunes seraient multitâches, ludiques, réseautés, davantage intéressés par les images que par les textes, etc. Par conséquent, les méthodes d’enseignement traditionnelles et même les matières composant les cursus ne les rejoindraient plus. Une généralisation non fondée Néanmoins, la notion même de natif numérique (Prensky, 2001) ou de génération Net (Tapscott, 1997) est souvent critiquée parce qu’elle ne repose que sur relativement peu de recherche empirique (lire par exemple Net Gen Skeptic, le blogue de Mark Bullen, du British Columbia Institute of Technology). Dépendance aux médias électroniques. Avec classe: Service de soutien à la formation. «Les étudiants ne sont pas motivés… Ils ne travaillent que pour les notes…» Voilà quelques commentaires maintes fois entendus de la part de formateurs.

On sous-entend alors que la responsabilité en matière d’engagement et de motivation repose entièrement sur l’étudiante ou l’étudiant. Bien qu’il soit vrai que plusieurs facteurs liés à l’engagement et à la motivation proviennent de la perception qu’un étudiant a de lui-même, il n’en demeure pas moins que son environnement a aussi une bonne part d’influence sur l’engagement de l’étudiant. Rolland Viau, professeur associé à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke, rapporte d’ailleurs dans un article qui s’intitule La motivation des étudiants à l’université : mieux comprendre pour mieux agir : «Les étudiants universitaires […] entrent généralement à l’université avec une forte motivation. Or, celle-ci décroît au fil des ans.» Voici quelques pistes qui pourront vous aider à favoriser la motivation de vos étudiantes et étudiants.

Avec classe: Service de soutien à la formation. Pour créer un climat de classe harmonieux, l’enseignante ou l’enseignant doit minimiser toutes les barrières qui tendent à l’éloigner de ses étudiantes et étudiants. Par exemple, il importe de ne pas reléguer le formateur et les apprenants à des endroits trop spécifiques de la classe. Souvent, le professeur ou le chargé de cours reste confiné au devant de la classe et ne s’aventure pas beaucoup plus loin que la première rangée. Et que dire des classes où les étudiants s’assoient à partir de la deuxième ou troisième rangée?

De fait, la rangée de chaises vides crée une barrière physique entre le professeur et son groupe. Mais il y a pire encore… lorsque l’enseignante ou l’enseignant reste la main collée à la souris de l’ordinateur pour faire avancer ses diapositives. Une barrière psychologique risque alors de s’installer entre lui et son groupe. Qu’elles soient physiques ou psychologiques, ces barrières empêchent une gestion efficace de la classe.

Ressource utile. Les caractéristiques d’un programme innovant: Service de soutien à la formation. Dans le cadre d’une présentation offerte le 10 février 2010 à l’Université de Sherbrooke lors du colloque du Regroupement des étudiantes et étudiants de maîtrise, de diplôme et de doctorat (REMDUS) à propos de l’engagement et de la persévérance des étudiants inscrits dans les programmes innovants, le professeur Denis Bédard, du Département de pédagogie à la Faculté d’éducation de l’UdeS, a rappelé diverses caractéristiques de ce que son équipe entendait précisément par «programme innovant». Dans l’ouvrage qu’il a codirigé avec Jean-Pierre Béchard, paru en 2009, les deux auteurs circonscrivent ce champ d’investigation avant d’en décliner les caractéristiques : Bédard, Denis et Jean-Pierre Béchard.

«L’innovation pédagogique dans le supérieur : un vaste chantier» (chapitre 1) dans Innover dans l'enseignement supérieur, Paris, Presses universitaires de France, 2009,p. 38-39. 1. 2. 3. 4. 5. 6. Rappelons que Denis Bédard dirige le Centre d’études et de recherche en enseignement supérieur. Aux États-Unis, engouement pour la formation en ligne: Service de soutien à la formation. Selon le rapport Learning on Demand: Online Education in the United States, 2009 de la Sloan Foundation, les inscriptions aux cours en ligne ont augmenté de 17 % de 2007 à 2008. Cependant, alors que le nombre de programmes et de cours en ligne augmente, le niveau de crédibilité accordé à cette modalité d’enseignement par le corps professoral plafonne à 33 % depuis 2002. Désormais, un Américain sur quatre (4,6 millions) inscrit aux études supérieures (collèges et universités) suit au moins un cours en ligne.

Parallèlement, les inscriptions aux cours en présentiel n’ont augmenté que de 1,2 % dans les 2500 institutions postsecondaires recensées par l’étude. D’après Elaine Allen, l’une des auteures de Learning on Demand, le difficile contexte économique américain explique en partie ces augmentations, alors que les travailleurs cherchent à bonifier leurs compétences à la suite ou en prévision d’une perte d’emploi. Cinq grandes tendances technopédagogiques à surveiller en 2010: Service de soutien à la formation. Selon Campus Technology, voici les cinq grandes tendances technologiques que les institutions d'enseignement supérieur devraient surveiller en 2010. Des classes plus interactives : on peut s'attendre à voir de plus en plus d'outils facilitant les interactions médiatisées et une demande accrue pour l'exploitation de ressources multimédias en salle de classe.Davantage d'accès à l’information : livres électroniques, téléphones intelligents, engins de recherche de plus en plus sophistiqués commencent à modifier la dynamique de l'enseignement et de l'apprentissage.Des technologies composites : la combinaison de multiples applications disponibles sur le Web permet de produire des solutions sur mesure pour faciliter l'apprentissage.Des technologies qui rassemblent : … plutôt que d’isoler.

Divers chantiers en cours ou à l'étape de planification au Service de soutien à la formation s'inscrivent dans plusieurs de ces tendances. Des universités québécoises affichent leurs positions quant au plagiat: Service de soutien à la formation.