Chantons sous la pluie Ac de Rennes. AI, Intelligence Artificielle. Steven Spielberg. Stanley Kubrick, aux croisements d'une œuvre. » Shining, Stanley KUBRICK, 1980. Introduction : séquence de montage alterné : le père (Jack Torrance, incarné par Jack Nicholson) dans l’hôtel, est littéralement désœuvré, tandis que la mère (Wendy, jouée par Shelley Duvall) et son fils Danny parcourent le labyrinthe à l’extérieur.
Les deux ensembles de plans ainsi définis finissent par converger, en un centre mystérieux et inquiétant, habité par un être hors norme. Cette séquence, composée d’un nombre réduit de plans (9, le carton “Tuesday” qui la clôture constituant le début de la séquence suivante), est structurée comme une poursuite. Une alternance ABAB, avec un fondu enchaîné en plein centre, sur lequel nous reviendrons. La durée des plans vient en particulier du choix d’un dispositif bien connu : l’utilisation de la steadycam, système de caméra portée avec contrepoids qui semble flotter sans à-coups, créant des mouvements comme libérés de la pesanteur, les mouvements d’un corps de fantôme, d’une certaine façon. Le décor joue ici un rôle primordial. Citizen Kane de Orson Welles.
Résumé de Jacques Lourcelles : " Sur la grille entourant le domaine de Xanadu un panneau porte l'inscription "no trespassing" (défense d'entrer).
A l'intérieur du château, meurt un homme solitaire. Il laisse tomber une boule de verre contenant une maisonnette enneigée et prononce le mot "Rosebud " (bouton de rose). Une infirmière recouvre son corps. Une bande d'actualités cinématographiques résume la vie et la carrière de cet homme, Charles Foster Kane en quelques séquences. AnalysefilmiquedeFenetresurcourHitchcock. » Fenêtre sur cour, Alfred HITCHCOCK, 1954. Introduction : séquence initiale en extérieur jour ou séquence d’ouverture : ce dernier mot résonne directement avec le premier mouvement de caméra, un travelling avant avançant dans l’axe d’une fenêtre ouverte sur une cour (cf. titre du film).
Analyse de film : Rebecca. Titre original : Rebecca Réalisateur : Alfred Hitchcock D’après le roman de Daphné Du Maurier 1940, USA L’histoire : Mr de Winter rencontre une jeune femme alors qu’il est en vacances à Monte-Carlo, et la demande rapidement en mariage.
Celle-ci s’installe alors chez lui, dans la célèbre demeure de Manderley. Elle y rencontre les domestiques, et notamment Mrs Danvers, la gouvernante, encore très attachée à l’ancienne Mrs de Winter, morte noyée il y a peu. Le nom de la défunte, Rebecca, est encore sur toutes les lèvres et son souvenir hante la maison comme un fantôme. Analyse du film : Le film commence par un paysage sous la brume où vient s’inscrire le titre , Rebecca. Si l’élément feu est important, on retrouve également l’eau tout au long du film, ce qui pourrait être anodin si cet élément n’était pas associé à Rebecca puisque celle-ci est morte noyée dans la mer près de Manderley.
Fiche M le maudit. » M Le Maudit, Fritz LANG, 1931. L’analyse porte sur la séquence débutant à 57:30 et terminant à 1:01:11.
Introduction : cette séquence se situe très exactement au milieu de ce premier film parlant de Fritz Lang. Metropolis de Fritz Lang (1927) - Analyse et critique du film. Qu’ont en commun le film Metropolis de Fritz Lang, la Neuvième Symphonie de Beethoven, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen et la Bible de Gutenberg ?
Tous font partie de patrimoine documentaire de l’Humanité et figurent parmi les 91 collections inscrites au registre "Mémoire du monde"’ de l’Unesco. Ce programme, lancé en 1992, se donne pour mission de sauvegarder le patrimoine de l’Humanité. Dans le cas du cinéma, des milliers de kilomètres de pellicule risquent de s’effacer si leur restauration n’est pas rapidement entreprise. Le Metropolis qui nous est offert aujourd’hui, a été amputé d’un quart de sa durée originelle. Plusieurs minutes de celluloïd perdues à jamais. Métropolis. » Nosferatu, Friedrich Wilhelm MURNAU, 1922. Choisissez la qualité 240 sur ce fichier; la qualité 360 offre quant à elle une version colorisée et plutôt psychédélique Introduction : cette séquence du fameux film de Murnau met en scène l’arrivée de Nosferatu à Wisborg.
Le bateau fantôme dont il est à présent l’unique occupant s’approche des côtes. Mais, dans cet extrait, Nosferatu demeure invisible. Et pourtant, nous allons le voir, il est présent dans chaque plan. Hors-champ : les modes de représentations indirectes d’un sujet absent du cadre sont dans cet extrait nombreux, et de natures très variées. L’adverbe « imaginairement » est essentiel. Le nom de Nosferatu : il y a d’abord les éléments, présents à l’image, qui renvoient directement au personnage absent. Nosferatu. Pulp Fiction (Quentin Tarantino, 1994) - Critique & Analyse.
La Cérémonie. A bout de souffle de Jean-Luc Godard (1960) - Analyse et critique du film. Fragments-collages : « Après tout, j’suis con !
» - Michel Poiccard, chapeau penché, cigarette au coin du bec, dans une imitation de Bogart et sa façon de se passer le doigt sur les lèvres - « Fonce Alphonse ! » - Des paysages de campagne française qui défilent, vus de l’intérieur d’une voiture - « Si vous n’aimez pas la mer, si vous n’aimez pas la montagne, si vous n’aimez pas l ville... Allez vous faire foutre ! » - Meurtre filmé avec cadrages instables et faux raccords elliptiques - Musique jazzy et entêtante de Martial Solal - Poésie d’un Paris filmé en longs et fluides travellings ; impression de documentaire - « New York Herald Tribune » scandé par Jean Seberg avec son séduisant accent américain - Séquence de 25 minutes dans une chambre d’hôtel entre les deux protagonistes principaux discutant de tout et de rien, Michel n’ayant qu’une idée fixe en tête, recoucher avec Patricia - P : « Connaissez-vous William Faulkner ?
» M : « Non. Alors quoi ? Film réédité en salle par Carlotta. Ausser atem fh2.