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Outrageous HSBC Settlement Proves the Drug War is a Joke. Goldman Sachs, enquête sur une société secrète. L'histoire - et celle des entreprises n'y échappe pas - a souvent de mordantes ironies.

Goldman Sachs, enquête sur une société secrète

En même temps que Goldman Sachs avait annoncé le 14 avril le doublement de ses bénéfices, au-delà de toute attente, on apprenait que 70 associés sur 400, les locomotives du business, avaient quitté l'établissement au cours des dix-huit derniers mois. A première vue, cette hémorragie de banquiers chevronnés aurait dû avoir un effet psychologique déplorable. Le « tourniquet » responsable de la crise des États-Unis.

Le parcours de la crise économique des États-Unis et de l’Eurozone provoque une certaine incrédulité depuis le regard de l’expérience argentine pour être passé par un processus similaire.

Le « tourniquet » responsable de la crise des États-Unis

La faiblesse du leadership politique ne tire pas son origine simplement des déficiences dans la gestion, dans l’ingénuité ou la négation des responsables de la gestion. Ils sont subordonnés aux intérêts des groupes financiers, ça ressemble à ici quand les gouvernements acquéraient les yeux fermés des plans économiques confiant le Ministère de l’Économie au Groupe Bunge&Born, à Domingo Cavallo avec la Fondation Méditerranéenne, à Roque Fernández avec le CEMA ou à Ricardo López Murphy avec FIEL. Qui paie pour les notations des Etats. Le débat qui fait rage sur la nature, la responsabilité et l’opportunité des notations souveraines peut être avantageusement éclairé par une analyse réaliste du mode de rémunération de ces notations.

Qui paie pour les notations des Etats

Au départ, les notations visaient les obligations des entreprises et des banques. The problem with physics. What?

The problem with physics

You say. Why are we concerned with this? Aaaah. There’s a story to be told. Ultimately it has to do with uncertainty, which as you know is near and dear to me. You see physics has a big problem. Physicists know this of course and are trying to bridge the gap. La financiarisation de l’accumulation, par John Bellamy Foster (1/4) Paul Baran, Paul Sweezy, Fidel Castro et Leo Huberman en 1960 source : Monthly Review Tarduit de l’anglais par Marc Harpon pour Changement de Société.

La financiarisation de l’accumulation, par John Bellamy Foster (1/4)

John Bellamy Foster est professeur de sociologie à l’Université de l’Oregon. Il fait partie des éditeurs de la Monthly Review. Cet article est une version remaniée d’une conférence faite par l’auteur à la Quinzième Conférence Nationale sur l’Economie, organisée par la Société d’Economioe Politique Brésilienne à l’UNiversité de Maranhão, à São Luis le 3 Juin 2010. FAUDRA-T-IL ENCORE SAUVER LES BANQUES ?, par Charles Sannat. Billet invité Vous vous pensiez sortis de l’auberge ?

FAUDRA-T-IL ENCORE SAUVER LES BANQUES ?, par Charles Sannat

Et si une nouvelle crise bancaire nous menaçait et qu’il fallait encore sauver les banques ? Presentation: an outlook of economic trends post-GFC. Marx n’a jamais été aussi utile, par Samin Amin. Source : Samir Amin est un éminent professeur d’économie politique du développement.

Marx n’a jamais été aussi utile, par Samin Amin

Il est le directeur du Forum du Tiers-Monde. Samir Amin enseigne l’économie à l’Université de Poitiers, Paris et Dakar. Il a beaucoup publié sur le droit, la société civile, le socialisme, le colonialisme et le développement, particulièrement en Afrique et dans le monde arabe et islamique. William Gibson and the Future of the Future - Douglas Gorney - Culture. GEAB N°47 est disponible ! Crise systémique globale - Printemps 2011 : Welcome to the United States of Austerity / Vers la très grande panne du système économique et financier mondial.

G20 : banques et bonus au G20 : des risques mal calcul. Avec la crise, les financiers ont montré qu'ils ont su développer des outils efficaces pour échapper aux régulations, mais totalement inopérants pour le contrôle des risques. C'est ce que montre l'histoire de la "VaR", la mesure miracle qui n'a pas tenu ses promesses. Ils notent des tableaux sur leurs papiers, ils remarquent des coups, ils comptent, calculent les pourcentages, dénombrent, puis ils finissent par miser - et ils perdent. Crise systémique : le trou noir. Une crise qui ne règle pas les problèmes qui l'ont générée, par. GEAB N°36 est disponible! Crise systémique globale : Le choc cum. Goldman Sachs, la grande machine à bulles, par Mat. « Des actions internet à la hausse du pétrole, Goldman Sachs a organisé toutes les grandes manipulations des marchés depuis la Grande Dépression et s’apprête à recommencer, » écrit Matt Taibbi dans le magazine Rolling Stone.

Cette banque qui symbolise à elle-seule l’emprise de Wall Street sur la société et la vie politique américaine est une gigantesque machine extrêmement sophistiquée, dit-il, qui a largement concouru à diriger la richesse utile accumulée par la société vers une série de bulles spéculatives dont elle a favorisé l’apparition et qui ont provoqué la ruine de millions de foyers américains, au seul profit de quelques investisseurs fortunés.

From tech stocks to high gas prices, Goldman Sachs has engineered every major market manipulation since the Great Depression - and they’re about to do it again. par Matt Taibbi, Rolling Stone, juillet 2008 The first thing you need to know about Goldman Sachs is that it’s everywhere. By now, most of us know the major players. Archives du blog » L’actualité de la crise. Billet invité.

Archives du blog » L’actualité de la crise

Si les enjeux n’étaient pas ce qu’ils sont, incommensurables, les atermoiements qui se multiplient actuellement en deviendraient presque risibles. Dans l’actualité immédiate, on pense à la Grèce et l’inimaginable histoire qui nous est racontée, échappant des doigts de tous ceux qui auraient du la retenir. L’image même d’une période qui se termine, d’une construction amenée à se déliter. Sur tous les sujets essentiels, la même profond indécision prévaut, le même surplace se poursuit. Que ce soit à propos de la régulation financière, où rien de significatif n’est toujours réellement entamé, ou bien de la relance de l’économie et de l’emploi, à propos de laquelle les gouvernements oscillent entre incantations et résignation. Une seule chose semble désormais leur importer, tel un dernier refuge qu’ils ne peuvent abandonner, l’expression d’une ultime cohérence : la traque impitoyable contre l’ennemi public n°1, le déficit du même nom.

La crise, moteur du capitalisme. L’histoire du capitalisme se confond avec l’histoire de ses crises.

La crise, moteur du capitalisme

Sur la période 1970-2007, on ne compte pas moins de 124 crises bancaires, 208 crises de change et 63 crises de la dette souveraine ! Même si la plupart d’entre elles restent limitées à des pays périphériques, cela n’en demeure pas moins un constat très impressionnant. The Big Takeover : Rolling Stone. Goldman Sachs, la grande machine. The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism. In THE SHOCK DOCTRINE, Naomi Klein explodes the myth that the global free market triumphed democratically.

The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism

Les leçons de la crise financière ou l’impossible statu quo euro. Goldman (and DeutscheBank) as Predator. One of the things that has been striking as revelation of bad behavior in the collateralized debt market has gotten more press is that a number of commentators who had taken the “nothing to see here, move on” stance have gotten religion. Even more dramatic has been the change in perception of Goldman. The firm has had its vocal critics (including yours truly) but they seemed an ineffective minority. Goldman’s arrogance seemed only to confirm its “Government Sachs” connections, that it could do as it pleased and thumb its nose at the rest of us to boot. It compounded the public outrage over its record 2009 bonuses through its hamhanded, narcissistic rationalizations.

Lloyd Blankfein’s “We’re doing God’s work” has come to epitomize what is wrong with the financial services industry post-crisis the same way Chuck Prince’s “We’re still dancing” did for the bubble era. So the has been more that a little bit of schadenfreude at work.