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Articles de fond

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Outrageous HSBC Settlement Proves the Drug War is a Joke | Goldman Sachs, enquête sur une société secrète. L'histoire - et celle des entreprises n'y échappe pas - a souvent de mordantes ironies. En même temps que Goldman Sachs avait annoncé le 14 avril le doublement de ses bénéfices, au-delà de toute attente, on apprenait que 70 associés sur 400, les locomotives du business, avaient quitté l'établissement au cours des dix-huit derniers mois. A première vue, cette hémorragie de banquiers chevronnés aurait dû avoir un effet psychologique déplorable. Il n'en est rien. Car ces départs sont inhérents à laculture d'entreprise exceptionnelle de Goldman Sachs pour laquelle, à rester trop longtemps à leur poste, les banquiers s'engourdissent, se reposent sur leurs lauriers et commettent des erreurs.

Financièrement indépendants après avoirtrimé dur et bénéficié pendant huit ans en moyenne de ce statut privilégié, les ex-associés de la firme pourront enfin réaliser leurs ambitions personnelles. Mais au fait, quelles affaires ? Malgré ces aléas, la dévotion au secret reste intacte. Le « tourniquet » responsable de la crise des États-Unis. Le parcours de la crise économique des États-Unis et de l’Eurozone provoque une certaine incrédulité depuis le regard de l’expérience argentine pour être passé par un processus similaire.

La faiblesse du leadership politique ne tire pas son origine simplement des déficiences dans la gestion, dans l’ingénuité ou la négation des responsables de la gestion. Ils sont subordonnés aux intérêts des groupes financiers, ça ressemble à ici quand les gouvernements acquéraient les yeux fermés des plans économiques confiant le Ministère de l’Économie au Groupe Bunge&Born, à Domingo Cavallo avec la Fondation Méditerranéenne, à Roque Fernández avec le CEMA ou à Ricardo López Murphy avec FIEL. Le résultat fut la pire crise de l’histoire économique argentine. George W. Bush a eu pour un secrétaire du Trésor Henry Paulson, qui a travaillé chez Goldman Sachs dès 1974, et il était son directeur quand il est rentré au gouvernement.

Une distribution stable Página 12. Qui paie pour les notations des Etats. Le débat qui fait rage sur la nature, la responsabilité et l’opportunité des notations souveraines peut être avantageusement éclairé par une analyse réaliste du mode de rémunération de ces notations. Au départ, les notations visaient les obligations des entreprises et des banques. Dans les années 70, Moody’s en particulier a développé un activisme visant à étendre cette notation aux Etats souverains et aux nombreux émetteurs publics d’euro-obligations, tels la Banque Mondiale ou la Banque Européenne d’Investissement. J’étais à l’époque en charge du consortium des émetteurs des obligations du Royaume de Belgique. Je me souviens de la démarche, qui fut abondamment critiquée, et à laquelle bon nombre d’Etats ont hésité à souscrire. La théorie veut que cette notation était requise par les investisseurs. C’est compter sans les moyens de pression de ces banques. The problem with physics. What? You say. Why are we concerned with this?

Aaaah. There’s a story to be told. Ultimately it has to do with uncertainty, which as you know is near and dear to me. You see physics has a big problem. Physicists know this of course and are trying to bridge the gap. Superficially this sounds like the state of economics. Not so. Not so at all. That view holds for physics. Once upon a time, back in those days of Newtonian certainty, physicists strode the earth sure they had cracked the code of the universe. Whoops.

Not so much. This elegant and perfect picture started to fall apart as soon as irritating people mucked about with thermodynamics, relativity, and – gasp – quantum mechanics. We now know, although we don’t really experience it, that the world is decidedly odd. Personally I blame entropy for this nightmare. When Boltzmann wrote out his equation defining entropy he was greeted with howls of horror and disgust, it threw overboard the elegance of what was then so sure.

Let me go further. La financiarisation de l’accumulation, par John Bellamy Foster (1/4) Paul Baran, Paul Sweezy, Fidel Castro et Leo Huberman en 1960 source : Monthly Review Tarduit de l’anglais par Marc Harpon pour Changement de Société. John Bellamy Foster est professeur de sociologie à l’Université de l’Oregon. Il fait partie des éditeurs de la Monthly Review. Cet article est une version remaniée d’une conférence faite par l’auteur à la Quinzième Conférence Nationale sur l’Economie, organisée par la Société d’Economioe Politique Brésilienne à l’UNiversité de Maranhão, à São Luis le 3 Juin 2010. Changement de société publiera la traduction du texte en quatre livraisons. (Note de Marc Harpon) En 1997, dans son dernier article publié, Paul Sweezy faisait référence à « la financiarisation du processus d’accumulation du capital » qu’il présentait comme l’une des trois principales tendances économiques au tournant du siècle (les autres étant la croissance du pouvoir des monopoles et la stagnation). (2).

Keynes et Marx 1)Karl Marx, Le Capital 2)Paul M. 4)Joseph A. 8) Robert E. FAUDRA-T-IL ENCORE SAUVER LES BANQUES ?, par Charles Sannat. Billet invité Vous vous pensiez sortis de l’auberge ? Et si une nouvelle crise bancaire nous menaçait et qu’il fallait encore sauver les banques ? Quels sont les risques ? Peut-on en arriver là ? La France en chiffres Les chiffres sont souvent rébarbatifs, néanmoins ils permettent d’illustrer une réalité.

Le PIB de la France est d’environ 2000 milliards d’euros par an. Voilà les chiffres qui concernent notre pays dans ses grandes, très grandes masses. La crise financière Maintenant retournons en 2008-2009. L’argent ne circule plus, les cartes bleues s’arrêtent de fonctionner, les chèques sont rejetés, les distributeurs de billets vidés en moins de temps qu’il ne faut pour dire « ouf », les banques ferment et… les gens perdent leurs économies. Bien ou mal, pouvions-nous faire autrement dans l’intérêt de tous que d’intervenir massivement ? La question du « qu’est-ce qui nous a amenés là ? - « Vilain trader, tu toucheras moins de bonus cette année ». Nous en sommes donc là. Presentation: an outlook of economic trends post-GFC. Marx n’a jamais été aussi utile, par Samin Amin.

Source : Samir Amin est un éminent professeur d’économie politique du développement. Il est le directeur du Forum du Tiers-Monde. Samir Amin enseigne l’économie à l’Université de Poitiers, Paris et Dakar. Il a beaucoup publié sur le droit, la société civile, le socialisme, le colonialisme et le développement, particulièrement en Afrique et dans le monde arabe et islamique. Parmi ses nombreuses publications figurent Eurocentrisme (1988), L’empire du chaos (1991) et Au-delà du capitalisme (1998). Le capitalisme, une parenthèse dans l’histoire Le principe de l’accumulation sans fin qui définit le capitalisme est synonyme de croissance exponentielle, et celle-ci, comme le cancer, conduit à la mort. L’accumulation, synonyme également de paupérisation, dessine le cadre objectif des luttes contre le capitalisme.

D’une longue crise à l’autre Le monde contemporain est gouverné par des oligarchies. William Gibson and the Future of the Future - Douglas Gorney - Culture. Michael O'Shea Compared to the AI entities and digitally-enhanced hackers of his debut novel, Neuromancer, William Gibson's current cast of characters is remarkably dialed-down. But their quest is the same—to gain an edge by identifying critical, emerging patterns of data among the noise. In his new novel, Zero History, global marketing genius Hubertus Bigend and his team find themselves in less virtual though equally dangerous realms of military contracting and fashion, chasing the holy grail of post-modern marketing—the secret brand. Like Bigend, Gibson's ability to discern codes among the background noise of our culture has made him a larger-than-life figure in both science fiction and information technology. In your first novel, Neuromancer, you paint a very internal, hermetic vision of the future, which was at odds with the grand, "space opera" version of science fiction.

I think that our future has lost that capital F we used to spell it with. GEAB N°47 est disponible ! Crise systémique globale - Printemps 2011 : Welcome to the United States of Austerity / Vers la très grande panne du système économique et financier mondial. G20 : banques et bonus au G20 : des risques mal calcul. Avec la crise, les financiers ont montré qu'ils ont su développer des outils efficaces pour échapper aux régulations, mais totalement inopérants pour le contrôle des risques. C'est ce que montre l'histoire de la "VaR", la mesure miracle qui n'a pas tenu ses promesses. Ils notent des tableaux sur leurs papiers, ils remarquent des coups, ils comptent, calculent les pourcentages, dénombrent, puis ils finissent par miser - et ils perdent. Cette description de la stratégie des joueurs de casino du XIXe siècle par Dostoïevski (1) s'applique encore parfaitement aux banquiers et aux investisseurs d'aujourd'hui.

Certes, les tableaux Excel ont remplacé les tableaux de papier et les formules mathématiques compliquées les calculs de pourcentage. Crise systémique : le trou noir. Une crise qui ne règle pas les problèmes qui l'ont générée, par. GEAB N°36 est disponible! Crise systémique globale : Le choc cum. Goldman Sachs, la grande machine à bulles, par Mat. « Des actions internet à la hausse du pétrole, Goldman Sachs a organisé toutes les grandes manipulations des marchés depuis la Grande Dépression et s’apprête à recommencer, » écrit Matt Taibbi dans le magazine Rolling Stone.

Cette banque qui symbolise à elle-seule l’emprise de Wall Street sur la société et la vie politique américaine est une gigantesque machine extrêmement sophistiquée, dit-il, qui a largement concouru à diriger la richesse utile accumulée par la société vers une série de bulles spéculatives dont elle a favorisé l’apparition et qui ont provoqué la ruine de millions de foyers américains, au seul profit de quelques investisseurs fortunés. From tech stocks to high gas prices, Goldman Sachs has engineered every major market manipulation since the Great Depression - and they’re about to do it again. par Matt Taibbi, Rolling Stone, juillet 2008 The first thing you need to know about Goldman Sachs is that it’s everywhere. By now, most of us know the major players. Archives du blog » L’actualité de la crise. Billet invité. Si les enjeux n’étaient pas ce qu’ils sont, incommensurables, les atermoiements qui se multiplient actuellement en deviendraient presque risibles.

Dans l’actualité immédiate, on pense à la Grèce et l’inimaginable histoire qui nous est racontée, échappant des doigts de tous ceux qui auraient du la retenir. L’image même d’une période qui se termine, d’une construction amenée à se déliter. Sur tous les sujets essentiels, la même profond indécision prévaut, le même surplace se poursuit. Que ce soit à propos de la régulation financière, où rien de significatif n’est toujours réellement entamé, ou bien de la relance de l’économie et de l’emploi, à propos de laquelle les gouvernements oscillent entre incantations et résignation. Où allons-nous ? Une seule chose semble désormais leur importer, tel un dernier refuge qu’ils ne peuvent abandonner, l’expression d’une ultime cohérence : la traque impitoyable contre l’ennemi public n°1, le déficit du même nom.

La crise, moteur du capitalisme. L’histoire du capitalisme se confond avec l’histoire de ses crises. Sur la période 1970-2007, on ne compte pas moins de 124 crises bancaires, 208 crises de change et 63 crises de la dette souveraine ! Même si la plupart d’entre elles restent limitées à des pays périphériques, cela n’en demeure pas moins un constat très impressionnant. [print_link] Devant de tels chiffres, l’idée d’une autorégulation par les marchés apparaît comme insuffisante. Pour comprendre comment le capitalisme gère ses excès, il semble que l’hypothèse alternative d’une régulation par les crises ne manque pas d’arguments. Il s’agit de crises profondes, non seulement quantitativement par leur intensité, mais également qualitativement par l’ampleur des transformations institutionnelles qu’elles initient. Après avoir conduit à une exceptionnelle prospérité, connue sous le nom des « trente glorieuses » (1945-1973), le régime fordien entre, à son tour, en crise.

Troisième conséquence : une montée massive des inégalités. The Big Takeover : Rolling Stone. Goldman Sachs, la grande machine. « Des actions internet à la hausse du pétrole, Goldman Sachs a organisé toutes les grandes manipulations des marchés depuis la Grande Dépression et s’apprête à recommencer, » écrit Matt Taibbi dans le magazine Rolling Stone. Dans cette deuxième partie, il aborde le rôle de l’établissement dans la spéculation pétrolière et la mise en place du plan Paulson de sauvetage des banques. par Matt Taibbi, Rolling Stone, juillet 2008 By the beginning of 2008, the financial world was in turmoil. Wall Street had spent the past two and a half decades producing one scandal after another, which didn’t leave much to sell that wasn’t tainted.

The terms junk bond, IPO, subprime mortgage and other once-hot financial fare were now firmly associated in the public’s mind with scams ; the terms credit swaps and CDOs were about to join them. Where to go ? But it was all a lie. So what caused the huge spike in oil prices ? Two more numbers stand out from that stunning first-quarter turnaround. The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism | Naomi Klei. In THE SHOCK DOCTRINE, Naomi Klein explodes the myth that the global free market triumphed democratically. Exposing the thinking, the money trail and the puppet strings behind the world-changing crises and wars of the last four decades, The Shock Doctrine is the gripping story of how America’s “free market” policies have come to dominate the world-- through the exploitation of disaster-shocked people and countries. At the most chaotic juncture in Iraq’s civil war, a new law is unveiled that would allow Shell and BP to claim the country’s vast oil reserves….

Immediately following September 11, the Bush Administration quietly out-sources the running of the “War on Terror” to Halliburton and Blackwater…. After a tsunami wipes out the coasts of Southeast Asia, the pristine beaches are auctioned off to tourist resorts.... New Orleans’s residents, scattered from Hurricane Katrina, discover that their public housing, hospitals and schools will never be reopened…. Les leçons de la crise financière ou l’impossible statu quo euro. Goldman (and DeutscheBank) as Predator. One of the things that has been striking as revelation of bad behavior in the collateralized debt market has gotten more press is that a number of commentators who had taken the “nothing to see here, move on” stance have gotten religion. Even more dramatic has been the change in perception of Goldman. The firm has had its vocal critics (including yours truly) but they seemed an ineffective minority.

Goldman’s arrogance seemed only to confirm its “Government Sachs” connections, that it could do as it pleased and thumb its nose at the rest of us to boot. It compounded the public outrage over its record 2009 bonuses through its hamhanded, narcissistic rationalizations. Lloyd Blankfein’s “We’re doing God’s work” has come to epitomize what is wrong with the financial services industry post-crisis the same way Chuck Prince’s “We’re still dancing” did for the bubble era.

So the has been more that a little bit of schadenfreude at work. Yves here. As FireDogLake explained: Yves here. Yves here.