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Analyses

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Anonymous soutient Gaza et dénonce 3000 donateurs à Israël. Eva Joly parle des Anonymous et d'ACTA, invitée du Dimanche + 29/01/2012. Faut-il se féliciter que des Anonymous traquent les pédophiles ? Un groupe se revendiquant du mouvement des Anonymous a réalisé, via une action baptisée "DarKnet", une opération de démasquage d'un groupe de 1626 membres du site Hidden Wiki, décrit par Zataz comme "un espace dédié aux documents mettant en scène des enfants lors d'actes sexuels". Selon le site spécialisé dans la sécurité informatique, le groupe d'Anonymous aurait "fait sauter un cercle de pédophiles", et publié la liste des 1 626 membres. "Pseudo, nombres d'images mises en ligne, logs iRC... et beaucoup d'autres données sont dans les mains des Anonymous.

Hidden Wiki était caché dans le "Darknet", un sous espace du "Deep Net", lieu numérique accessible en utilisant le logiciel d'anonymat Tor", raconte Zataz. Il estime "qu'une action Anonymous de ce type s'applaudit des deux mains", et prévient que l'opération Darknet se poursuit avec une dizaine de volontaires. C'est à la police de mener de telles opérations de démasquage, pas à la population civile. Anonymous : derrière le masque, une révolution de l’hacktivisme. Les Anonymous sont-ils des terroristes? (LOL) Suspectés d'avoir piraté des millions de numéros de carte bancaire sur le PlayStation Network de Sony, les Anonymous continuent d'alimenter certains fantasmes. Mais sont-ils vraiment dangereux? Invité sur LCI pour évoquer le piratage du PlayStation Network (PSN), une question a failli me faire tomber de mon tabouret: Les Anonymous peuvent-ils commettre des actes terroristes, en piratant des centrales nucléaires par exemple?

Les “sans-nom d’Internet” ont beau être issus de la “culture du trolling” - cette taxie du Net qui génère à la chaîne des hordes de commentateurs dont le but ultime est de parler très fort – je ne m’attendais pas à un tel déploiement de moyens sur le plateau d’une chaîne de télévision. L’agitation autour du piratage du PSN a mis en évidence la faille structurelle des Anonymous, qui est aussi leur atout maître: l’anonymat.

Les Anonymous ne se sont jamais distingués en volant des numéros de carte de crédit. Les Anonymous se font pirater Au seuil de la légitimité. Is Anonymous a threat to national security, or just trolling? With mounting concerns over computer security after a rash of high-profile hacks last year, governments around the world have been increasingly quick to condemn and punish the actions of the nebulous "hacktivist" collective Anonymous and its associated groups. The United States has been particularly bullish in the affair; in January, NSA Director General Keith Alexander attempted to frame Anonymous as a national security threat, warning that they might soon have the will and the ability to shut down national power grids.

But Wealth of Networks author and Harvard Law professor Yochai Benkler says that the current attitude toward Anonymous stands only to incriminate relatively innocuous and in some cases valorous acts of online dissent. In his opinion piece, "Hacks of Valor," Benkler last week described the United States' efforts to thwart Anonymous as needlessly aggressive and short-sighted. "Anonymous is not an organization," he writes. Anonymous : “Nous ne sommes pas un groupe de hackers” La fermeture de Megaupload, les projets de loi SOPA, ACTA, ou encore Hadopi en France : les actualités n’ont pas manqué pour les “hacktivistes” d’Anonymous. Rencontre avec un membre d’Anonymous Belgique Les derniers évènements qui ont secoué récemment le web, comme la fermeture de MegaUpload ou les projets de loi SOPA et ACTA ont eu un effet à double tranchant pour les Anonymous. D’une part, le groupe défendant les libertés sur Internet a vu sa popularité exploser ces derniers temps, mais son manque de crédibilité dû à une absence de leader lui a causé quelques soucis.

Notamment au niveau de la couverture médiatique des attaques, provenant ou non des vrais Anonymous. Quelles sont les réelles intentions de ce mouvement ? Sur le Net, il se fait appeler HighBoy. Quel a été le rôle d’Anonymous en Belgique depuis sa création ? “Le but premier d’Anonymous est de promouvoir les libertés d’expression, de rassemblement et de manifestation dans le monde réel comme sur Internet. Anonymous... ou anonymes contre L'Express. Or donc, les anonymous. Anonymes, comme leur nom l'indique. Et informels. Pour être anonymous, il suffit de s'en réclamer. Un crétin les a comparés quelque part à Al-Qaïda - ce qui est à la fois une somptueuse ânerie (les familles des victimes du 11 septembre pourront lui expliquer pourquoi) et pas absolument faux (l'organisation en "nébuleuse" a-organisée est l'une des marques de fabrique des adeptes de Ben Laden; c'est leur seul et unique point commun).

Quelques "anonymous", ou s'en réclamant, a priori réunis derrière deux ou trois ordinateurs, pas plus, ont décidé de venger leur honneur, perdu après un éditorial très critique à leur propos de Christophe Barbier sur i>Télé. A L'Express, les opinions sont partagées sur la question du téléchargement et des droits d'auteur. A travers leurs canaux de communication, les anonymous, dans leur majorité, ont condamné, entre eux, cette action imbécile. Les anonymous ont-ils forcément raison? Qui sème le vent récolte la tempête... Christophe Barbier devrait méditer ce proverbe.

Le degré zéro de la rhétorique: je te tiens, tu me tiens par la barbichette, le dernier qui rira aura un bonbec. Christophe Barbier a lancé un hameçon, deux ou trois imbéciles se réclamant d'anonymous y ont mordu: qui devrait "méditer le proverbe"? Qui, aujourd'hui, est fondé à se dire qu'il n'avait pas tort en critiquant vertement le mouvement, alors que dans les quelques minutes qui ont suivi la diffusion de son éditorial sur les réseaux sociaux, le site dont il est le patron, LEXPRESS.fr, a été attaqué? Qu'il a été empêché d'informer, pour la simple raison que son directeur de la rédaction a émis une opinion que quelques bidouilleurs informatiques n'ont pas jugé à leur goût?

Comment expliquer, ensuite, que la liberté est indivisible, que la défendre pour Internet, c'est la défendre tout court? Anonymous défend la liberté, pourquoi s'en prend-il à eux? 1. 2. Lettre aux anonymous. "Anonymous est en train de changer le monde" - Hacker ouvert - Le Nouvel Observateur. Anonymous. Après la lutte contre la Scientologie et les détracteurs de WikiLeaks, après le Printemps arabe, la masse d'internautes anonymes s'est étendue, amplifiée, renforcée. Le phénomène descend aujourd'hui dans les rues avec les indignés pour "Occupy Wall Street". Dans un ouvrage sobrement intitulé "Anonymous" à paraître ce lundi 21 novembre, Frédéric Bardeau et Nicolas Danet, deux communicants spécialisés dans les ONG, se placent "en observateurs d'un nouveau mouvement qui modifie les rapports de force au sein de la société".

Alors, les anonymes sont-ils "pirates informatiques ou altermondialistes numériques ? " D'où viennent les Anonymous ? - Anonymous est un phénomène qui prend racine dans l'ADN contestataire du web, dans cette contre-culture américaine des années 1970 représentée par Stephen Wozniak [co-fondateur d'Apple] ou Richard Stallman [à l'origine du projet GNU]. La mobilisation contre l'Eglise de Scientologie en 2008 a été l'évènement fondateur. (vendredi 18 novembre) Sur Atlantico, Anonymous, c’est Al Qaida. « World War Web :Anonymous, c’est l’e-Al Qaïda ! » (regardez votre url dans la barre d’adresse, c’est très drôle)… rien que ça ! Quel sensationnalisme, quel sens de la formule, quelle habile comparaison. Théorie du complot, terrorisme, zoophilie, on se demande à côté de quel cliché éculé Matthieu Creux, prêtant sa plume à Atlantico, a pu passer. C’est mignon tout plein de désinformation et c’est surtout factuellement assez contestable.

Mais lisons la suite, des fois que… « Organisation secrète, elle rappelle par son mode opératoire une autre « base » célèbre… » Dés le début, on a donc droit à un combo. . « Si Tom Cruise n’avait pas été scientologue, le site de la Hadopi n’aurait probablement pas été piraté vendredi soir. » Et paff première phrase, première connerie. D’Anonymous, on passe assez naturellement à 4chan. . « On y trouve donc de tout : photos humoristiques, zoophilie, tortionnaire de chats, etc… » Le mot est ensuite lâché, Anonymous est une « organisation terroriste« . La cyber guéguerre des hackers. Après avoir humilié Visa.com et Mastercard.com, la mouvance hacktiviste Anonymous fut érigée en incarnation du mal absolu par maintes huiles de la cybersécurité qui n'avaient encore rien vu. Peu après, LulzSec ridiculisa Playstation.com et CIA.gov avant d'annoncer sa fusion-absorption avec Anonymous... effectuée sans la moindre offre publique d'achat.

N'est-ce pas une preuve supplémentaire que les valeurs se perdent ? Sous la pression enflammée de cette mouvance sans foi ni loi et de ses prochaines émules, la Matrice était vouée à un inéluctable effondrement. La chasse à l'Anonymous était ouverte. Si vous organisez une ennuyeuse conférence en cybersécurité, promettez à vos invités qu'un membre d'Anonymous interviendra en direct de Gotham City. Un bonheur n'arrivant jamais seul, survint un énième collectif hacktiviste nommé Voxel et armé d'un logo digne des services secrets de Groland. La course à l'Elysée en est-elle pour autant relancée ?

Cyber-anarchistes romantiques. Anonymous : gamins bricoleurs contre lesquels l'Etat ne peut guère lutter. A lire également sur ce sujet : La fermeture de Megaupload va entrainer la radicalisation des hackers Atlantico m'a demandé, suite à l'arrêt de MegaUpload, et à la réaction des Anonymous, si je voulais bien écrire une chronique avec un angle précis : les gouvernements sont-ils démunis face aux hackers ? Bien que j'ai proposé d'attaquer la question sous un angle très différent, Atlantico a souhaité maintenir son invitation. La question posée ainsi reposait sur un nombre assez élevé de sous-entendus. Par gouvernement, on entend facilement pouvoir en place, voire pouvoir légitime, voire en démocratie, représentants légitimes et élus du peuple. Par hackers, on sous-entend toujours dans la presse une forme de violence, forcément illégitime, puisque la seule violence légitime est celle du gouvernement.

La question posée était donc, en filigrane, de savoir si le gentil gouvernement pouvait se défendre face à la menace presque terroriste que représentent ces hackers. Intéressé par cet auteur ? Zemmour et Naulleau : Un Anonymous s’explique à la télévision.