Bilan 4 ans de Sarkozy (3/7) - La tentation de l'extrême - Esprit vif. Quatre ans de Sarkozy à l'Élysée.
Une politique peu adroite mais très à droite. Sommaire La tentation de l'extrême La chasse aux immigrés Dès le début de son mandat, Nicolas Sarkozy déclare vouloir lutter contre l'immigration clandestine et procéder à une immigration choisie, ce qui n'est pas forcément une mauvaise idée. À droite, toute ! Depuis son élection en 2007, le gouvernement français n'a cessé de se droitiser, pour finalement presque flirter avec l'extrême-droite. Le président - rejoint par les élus UMP - en fait des tonnes pour attirer les électeurs du Front National. Certaines sorties de cadres de l'UMP assurent le spectacle. L'UMP martèle tant un discours sécuritaire et anti-immigration que des candidats frontistes arrivent au 2e tour des Régionales 2011 sans faire campagne. Starve the beast. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Starve the beast (que l'on pourrait traduire en français par « affamer la bête »), ou choke the beast, est une expression politique et une théorie conservatrice américaine visant à créer volontairement un déficit public, au moyen d'allègements fiscaux et de politiques de réductions d'impôts, afin de forcer ensuite l'État à faire des coupes budgétaires, réduire ses engagements dans certains secteurs tels que l'assurance-santé, la sécurité sociale ou l'éducation. Origines[modifier | modifier le code] La politique d'allègements d'impôts mise en place en 2001 et en 2003 par le président américain George W. Bush, connue sous le nom de Bush tax cuts (en), en est également un exemple.
Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Starve the beast » (voir la liste des auteurs) Voir aussi[modifier | modifier le code] Affamer le contribuable « L'Argent des autres. Vous connaissez l'expression « Starve the beast », ou « affamer la bête »?
C'est une théorie politique, prônée par les néoconservateurs américains, pour réduire la taille de l'État. Ça se déroule ainsi : on baisse les impôts des citoyens, pour créer un déficit budgétaire au gouvernement. Ensuite on dit : « on n'a plus d'argent, faut couper! », et on force l'État à réduire ses dépenses. À maigrir. Ronald Reagan aimait bien l'idée. Plus je lis les nouvelles, plus j'ai l'impression que nos politiciens ont embrassé la philosophie inverse. Où sont les priorités? On subventionne à coups centaines de millions des Banques françaises, IBM ou Warner Bros. On encourage les fonctionnaires à aller en République dominicaine, à faire du yoga, des thérapies du silence (!?) Jusqu'à ce que les coffres de l'État se vident. La solution? Que font alors nos politiciens? Et l'État va grossir. Jean Charest a diminué les impôts au début de son règne, mais a égaré les plans de sa « réingénierie de l'État ».