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Années de plomb

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Grup Yorum - Partizan. Les années de plomb belges. Au tout début des années 80, diverses opérations violentes eurent lieu en Belgique.

Les années de plomb belges

Les attaques « aveugles » de supermarchés par les dits « tueurs fous du Brabant wallon » (28 tués officiellement !) , les attentats des CCC (plusieurs actions terroristes), les manigances du groupe néonazi clandestin WNP (deux assassinats, le "suicide" de son führer, divers complots, différents projets d'élimination, dont celle du Ministre de la Justice de l'époque), les affaires qui éclaboussèrent la Sûreté de l’Etat (manipulation ou infiltration du WNP, par exemple) ainsi que la gendarmerie (présence d'un groupe clandestin d'extrême droite préparant un coup d'Etat !) , le noyautage systématique de plusieurs organes policiers belges par les services secrets nord-américains (come la CIA, le DEA et des agences militaires), les manœuvres de notables au sein d’une mouvance extrémiste (celles du CEPIC, l'aile d'ultradroite du PSC), etc. etc. furent des éléments profondément déstabilisateurs pour notre pays.

Www.bloggen.be/thomasdeflofran/archief.php?ID=4. Par Thomas Deflo, 16/05/2006, Anvers Sources O r i g i n e Après la deuxième guerre mondiale, la CIA (Central Intelligence Agency) activait des groupes soi-nommé 'stay behind', qui, sous l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique nord), devaient sauvegarder l'influence américaine en Europe, et contrer des groupes communistes/de gauches au cas où ceux-ci gagneraient trop de popularité.

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Ainsi, la dominion américaine sur le podium mondial -- après la victoire sur les Allemands, et surtout contre l'influence de la Russie -- devait rester intact. Ces groupes 'stay behind' furent construits au nord dans les pays scandinaves; au midi en Italie ; et, considérant son role pivotant, la Belgique ne pouvait pas manquer à l'appel. Peux dans le gouvernement belge étaient au courant de l'existence des réseaux Gladio. S t r a t é g i e En 1968, dans le capo Marrargiu en Sardine, une base de l'OTAN servira à l'entraînement des premiers groupes anti-communistes.

B e l g i q u e Sources: Www.bloggen.be/thomasdeflofran/archief.php?ID=7. Par Thomas Deflo, 21/05/2006, Anvers Dans l'art de guerre maritime, naviguer sous une autre drapeau était un moyen approuvé pour tromper l'ennemi.

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Des attaques portant un faux drapeau furent de telle sorte qu'ils semblaient venir d'un ennemi externe. (1) Les stratèges militaires du 20ième siècle repensent et raffinent davantage l'idée d'assumer les couleurs de l'ennemi. Dans des attaques clandestines, un ennemi est supposé avoir effectué le crime, ce qui ensuite donne la légitimité au gouvernement siégeant de partir en guerre contre cet ennemi.

Une campagne de terreur 'sous faux drapeau' ouvre le chemin à la dominion géopolitique. A condition que la vérité ne se révèle pas... Sous gérance de l'OTAN, Gladio était un réseau secret européen qui, après la deuxième guerre mondiale, pratiquait de telles opérations false flag. Lire plus dans mon article Les Tueurs du Brabant : le plus grand hit de la CIA. La chambre - 2. De timides réformes pour la justice belge, par Jean-Pierre Borloo. Un séisme a secoué la Belgique en 1996. « Le diable existe », a-t-on pu lire dans certains journaux de la presse internationale.

De timides réformes pour la justice belge, par Jean-Pierre Borloo

Et il sévissait sur le plat pays. Les abominations pédophiles de M. Marc Dutroux ont soulevé tout un peuple, Flamands, Wallons et Bruxellois, toutes confessions confondues. Les clivages caractéristiques de ce petit royaume se sont trouvés balayés par la grande « marche blanche ». Le 20 octobre, quelque 300 000 personnes défilaient dans les rues de Bruxelles pour provoquer une réaction. En cinq ans, que s’est-il passé ? Pourtant, en 1998 déjà, au moment où l’agitation consécutive à la « marche blanche » retombait, le monde politique a été rappelé à l’ordre. Sur le terrain politique, une initiative originale a bien vu le jour en mai 1998 : les partis de la (...) Taille de l’article complet : 2 012 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ? La chambre - 1. Les années de plomb belges. RésistanceS Hiver 1999.

L'armée, ce nid de choix pour l'extrême-droite. : H2SO4. Dans l'histoire de l'armée belge, il y a toujours eu des militaires d'extrême droite », constate Manuel Abramowicz, président de l'association RésistanceS et auteur de plusieurs ouvrages sur l'extrême droite belge.

L'armée, ce nid de choix pour l'extrême-droite. : H2SO4