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PASS + Secours populaire

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Le Pass : l'option d'urgence face au grand froid. Le Pass, rue de Crimée, c'est l'adresse des gens à la rue. Ici, ils peuvent trouver un lit, prendre un café, une douche, laver leur linge, demander une aide administrative, sanitaire... Ou juste se poser. Ce matin-là, il est 8 h 30. « À cette heure, ils sont peu nombreux ici, car ils sont déjà en train de faire des démarches auprès des administrations », constate Gilles Sallé. La nuit dernière, le Samu est allé à la rencontre d'une vingtaine de personnes dormant dans la rue. Les autres ont fait le 115 qui offrait 111 places dans le département. Beaucoup se regroupent dans des squats. « Avec ce froid, nous ouvrons en ce moment 7 jours sur 7 », indique Gilles Sallé. Le 115 souvent occupé Les demandeurs d'asile forment la majorité de la population. Dans cette pièce unique, il y a beaucoup de monde, assis un peu partout. Les demandeurs d'asile ne se plaignent pas. Il est 10 h. Le PASS obligé de fermer ses portes.

Publié le 10 mars 2010 par Angers.Villactu.fr Le Point d'accueil santé solidarité créé par le maire d'Angers en 1995 a pour objectif d'accueillir de manière anonyme les personnes majeures sans-abri ou en grande difficulté comme les demandeurs d'asile. Les locaux de 35m² sont situés rue de Crimée dans un bungalow. L'équipe composée de sept personnes accompagne les personnes au quotidien en proposant différents services comme des douches, WC, collation alimentaire, lave-linge et permanences médicales.

Mercredi 3 mars, le personnel a exercé son droit de retrait. L'équipe refusait de continuer de travailler dans les conditions actuels. Les locaux trop petits et trop obsolètes ne garantissaient pas la sécurité nécessaire pour accueillir plus de 150 personnes par jour. En 2007, seulement 70 passages par matinée étaient comptabilisés. Jeudi dernier, le maire d'Angers Jean-Claude Antonini a décidé de fermer le local. Source : Courrier de l'Ouest 10 commentaires : Réouverture du Point Accueil Santé Solidarité. Sans-abri : le préfet sollicite les associations. «Quoi? On peut prendre une douche ici?

Et laver son linge?» Hier, midi. Ahmed vient de terminer son repas à l'association Aide Accueil, rue de Crimée. Demandeur d'asile originaire du Soudan, il vient y manger presque tous les jours, comme une trentaine d'autres sans-abri. « 35, c'est le maximum, on ne peut pas en accueillir davantage », justifie un bénévole d'Aide-Accueil. Ahmed connaît les lieux, mais ignore que l'accès à une douche lui est désormais ouvert, et qu'il peut aussi utiliser une machine à laver. Même constat dans les locaux de l'association Notre-Dame de l'Accueil, rue du Pré-Pigeon. « On n'a eu personne entre 8 h et 10 h. Il faut dire que les deux associations n'ont étendu leurs services que depuis hier. Situé dans la même rue que l'association Aide-Accueil, le Point accueil solidarité santé est fermé depuis le début du mois.

La ville, qui gère le Pass, mettait également à disposition un travailleur social et du personnel médical. Sans-abri : le préfet sollicite les associations. «Quoi? On peut prendre une douche ici? Et laver son linge?» Hier, midi. Ahmed vient de terminer son repas à l'association Aide Accueil, rue de Crimée. Demandeur d'asile originaire du Soudan, il vient y manger presque tous les jours, comme une trentaine d'autres sans-abri. « 35, c'est le maximum, on ne peut pas en accueillir davantage », justifie un bénévole d'Aide-Accueil. Ahmed connaît les lieux, mais ignore que l'accès à une douche lui est désormais ouvert, et qu'il peut aussi utiliser une machine à laver.

Même constat dans les locaux de l'association Notre-Dame de l'Accueil, rue du Pré-Pigeon. « On n'a eu personne entre 8 h et 10 h. Il faut dire que les deux associations n'ont étendu leurs services que depuis hier. Situé dans la même rue que l'association Aide-Accueil, le Point accueil solidarité santé est fermé depuis le début du mois. La ville, qui gère le Pass, mettait également à disposition un travailleur social et du personnel médical. Des demandeurs d’asile occupent la direction des affaires sociales, à Angers - Angers - Social. Des demandeurs d’asile occupent la direction des affaires sociales, à Angers.

Le Secours populaire obligé de fermer « pour une durée indéterminée. Le Secours populaire d'Angers ferme ses portes: "nous n'avons plus rien à distribuer" - tian sur LePost.fr (12:09) Conso 01/06/2010 à 09h17 - mis à jour le 01/06/2010 à 12h09 | vues | réactions Le Secours populaire d'Angers contraint de fermer ses portes. Le Secours Populaire Français d’Angers, dans le Maine-et-Loire ferme ses portes car l'association n'a plus de denrées à distribuer aux personnes en difficultés. C’est la première fois qu’une antenne locale de cette association caritative créée en 1945 se voit contrainte de fermer une permanence d’accueil, indique Le Parisien. Depuis une semaine, sur la porte de la permanence d’Angers, on peut lire cette affichette traduite en anglais, en russe et en arabe : "Faute de moyens suffisants, le Secours populaire est contraint de fermer ses permanences d’accueil pour une durée indéterminée". Stéphane Lepage, secrétaire départemental du Secours Populaire Français, confie dans Le Parisien : "Nous n’arrivons plus à faire face à la demande.

Pour Stéphane Lepage, il y a deux raisons à cette situation : Agrandir le plan. Faute de moyens, le Secours populaire d'Angers ferme ses portes. Plus rien à distribuer : le Secours populaire d'Angers ferme. Fermeture du Secours populaire d'Angers: Un raz-de-mar e de la mis re. Les stocks sont vides. Depuis une semaine, le Secours populaire d’Angers, dans le Maine-et-Loire, n’a plus rien à offrir aux personnes en difficulté venant chercher de l’aide.

En conséquence, l’association a fermé ses portes, pour une durée indéterminée. L’association, créée en 1945, rencontre pour la première fois une situation pareille. «Malheureusement, c’est le reflet de ce qui se passe dans tout le pays», déplore Julien Lauprêtre, président du Secours populaire joint par 20minutes.fr Il évoque «un raz-de-marée de la misère. Il y a une croissance des demandes sans précédent: on compte 20% de besoins en plus, tous nos comités sont sur la corde raide.» «Ils en pleurent mes amis là-bas» «Nous avons accueilli au premier trimestre 700 nouvelles demandes de plus qu'à la même période en 2009, soit un total de plus de 3.000 foyers», a expliqué de son côté Stéphane Lepage, le secrétaire départemental du Secours Populaire. Pour les bénévoles, c’est «désespérant, confie Julien Lauprêtre. Le Secours populaire d'Angers ferme ses portes. Le Secours populaire va rouvrir ses portes à Angers. Demandeurs d'asile : Une situation sous haute tension.

Publié le 28 mai 2010 par Angers.Villactu.fr Rose-Marie Véron, adjointe déléguée à l’Action et à l’Animation Sociales, à la Santé et au Handicap se dit très inquiète de l'afflux des demandeurs d'asile à Angers. La ville d'Angers a accueilli 909 demandeurs d'asiles en 2009 contre 600 en 2008 et 50 en 2 000. Une situation devenue intenable pour toutes les associations leur venant en aide. En mars dernier, le « Pass » avait dû fermer temporairement ses portes. Le Secours populaire a décidé de prendre la même décision la semaine dernière. Au mois de mars, l'Espace Accueil a vu défiler 120 ou 130 personnes, indique François Fribault, directeur de l'association de l'Abri de la Providence qui gère la plate-forme départementale. Cela représente un rythme annuel de 1 500 personnes. Une situation beaucoup trop difficile à gérer pour les associations et leurs bénévoles. . « Je suis très inquiète de la situation.

. « Nous assumons plus que nos responsabilités. Source : Courrier de l'Ouest Liens :