background preloader

Société Générale

Facebook Twitter

Comment Société Générale a basculé sa téléphonie sur Teams. Société Générale a lancé en 2018 un vaste projet de migration de son infrastructure de messagerie Exchange Online 2010 vers Office 365.

Comment Société Générale a basculé sa téléphonie sur Teams

Le projet, mené avec Avanade, avait alors pour but de migrer 110 000 boîtes e-mail en France et dans 21 pays européens. En parallèle, un projet de massification des moyens de téléphonie a été lancé. La banque comptait alors une forte population d’utilisateurs qui étaient en téléphonie IP, avec des systèmes Alcatel et Cisco, et certaines populations qui utilisaient alors Skype. « Il s’agissait d’une infrastructure on-premise, car le milieu bancaire était encore assez fermé au cloud public à l’époque de la mise en place de ces solutions », explique Michael Binet, ancien responsable adjoint des communications unifiées chez Société Générale, en charge de cette refonte de la téléphonique. Microsoft Teams est l’outil collaboratif développé par Microsoft pour les équipes d’entreprise et qui permet de communiquer facilement. La Société générale écope d'une amende de 1,6 million d'euros infligée par la DGCCRF. La Société Générale s'attaque aux ransomwares pour défendre ses actifs.

Présent à la fois dans la banque de détail et la banque d'investissement, le groupe français entend renforcer la protection de ses actifs numériques contre les cybercriminels.

La Société Générale s'attaque aux ransomwares pour défendre ses actifs

Lors de son précédent plan stratégique de trois ans lancé fin 2017, la Société Générale avait concentré ses investissements numériques sur la création des socles technologiques de ses futurs services digitaux. Avec la numérisation croissante du groupe, la cybersécurité fait alors déjà partie des sujets sur la table. Au programme : la traditionnelle chasse aux failles, la prévention d'intrusions ou encore la lutte contre les campagnes d'arçonnage (qui explosent désormais avec la crise du Covid). Durant ces trois années, les équipes IT s'attellent à mettre sur pied des modèles d'IA pour détecter les fraudes à la carte bleue. En se basant sur l'historique des clients et leurs habitudes, ils identifient les origines et localisations suspectes des transactions en vue de les bloquer au plus tôt.

Société Générale: amende aux Etats-Unis de 1,34 milliard de dollars. La Société générale va payer plus d’un milliard d’euros pour solder deux litiges de longue date. La banque française était visée par des enquêtes concernant le fonds souverain libyen et les manipulations du taux interbancaire Libor.

La Société générale va payer plus d’un milliard d’euros pour solder deux litiges de longue date

Soulagement pour les actionnaires de la Société générale : pour 1,15 milliard d’euros, la banque solde deux litiges qui l’empoisonnaient depuis des années. Le groupe français a annoncé, lundi 4 juin, avoir conclu « des accords de principe » avec les autorités concernées aux Etats-Unis et en France pour mettre fin à des enquêtes sur deux dossiers : des soupçons de corruption avec le fonds souverain libyen (LIA) et les manipulations du taux interbancaire Libor. Ces règlements sont conclus avec les autorités françaises et américaines : le parquet national financier (PNF) sur la Libye, le département de la justice (DOJ) dans les deux cas et la CFTC, le régulateur des marchés de matières premières et de produits dérivés aux Etats-Unis, pour le Libor. 500 millions d’euros pour solder le dossier libyen : Société Générale: repli du bénéfice 2T sous l'effet du litige libyen.

Société Générale a enregistré un bénéfice net au deuxième trimestre en recul de 27,6% à 1,05 milliard d'euros, essentiellement en raison du règlement du litige avec le fonds souverain libyen d'un montant de 963 millions d'euros.

Société Générale: repli du bénéfice 2T sous l'effet du litige libyen

Les analystes tablaient en moyenne sur un bénéfice net à 940 millions d'euros, selon un consensus établi par le fournisseur de données Factset. La banque française avait conclu en mai dernier avec la Libyan Investment Authority (LIA) un accord transactionnel mettant fin au litige les opposant au sujet de transactions financières, opérées entre 2007 et 2009, qui avaient donné lieu à une procédure devant une juridiction civile anglaise. Ce net repli du bénéfice s'explique également par l'impact d'une provision supplémentaire pour litiges de 300 millions d'euros et par une base de comparaison défavorable, le groupe ayant engrangé l'an dernier à la même période une plus-value de 725 millions d'euros avec la vente de ses titres Visa Europe.