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Ecoutes sauvages

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Bernard Squarcini mis en cause dans un livre d'enquête. Pour l'ex-patron des RG, à la DCRI, "on fait des écoutes" comme on "mange des croissants" Un livre au vitriol accuse le N°1 du renseignement d'être "instrumentalisé" par l'Elysée - A la Une. Un livre consacré au puissant patron du renseignement intérieur français, Bernard Squarcini, l'accuse d'être "instrumentalisé" par l'Elysée, ce qu'il a contesté en affirmant n'être "l'espion de personne". Dans "L'espion du président" (Editions Robert Laffont), à paraître jeudi, les journalistes Olivia Recasens, Didier Hassoux et Christophe Labbé dressent un portrait au vitriol du numéro un de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), un proche de Nicolas Sarkozy, à partir de témoignages le plus souvent anonymes.

Ils lui reprochent d'avoir créé à la DCRI un groupe "d'opérations spéciales" capable de "rentrer n'importe où". "Je ne suis l'espion de personne", a réagi M. Squarcini dans un communiqué à l'AFP. Pour lui, parler +d'une dérive en police politique+ ou évoquer des +écoutes+ de personnalités politiques, forment "une présentation insultante pour tous les fonctionnaires de la DCRI". Pour les auteurs, M. M. Ce n'est pas la thèse des auteurs.

M. "Comédien" Les révélations de «L’espion du président»: Mediapart espionné sur ordre de l'Elysée - Commentaires. L’ancien patron des RG révèle l’existence d’un système d’écoutes sauvages - Page 3.