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Stupéfiants

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Dépistage de Drogue : L’employeur peut-il utiliser le test salivaire dans l’entreprise ? La question du dépistage de stupéfiants en entreprise est particulièrement épineuse.

Dépistage de Drogue : L’employeur peut-il utiliser le test salivaire dans l’entreprise ?

Elle rend perméable la frontière entre le droit au respect de la vie privée et la bonne conduite dans le milieu de l’entreprise. Pourtant, ce dépistage permet de lutter efficacement contre les risques d’accident au travail notamment puisqu’il concerne plus d’une entreprise sur dix. De surcroît, les employeurs sont tenus, en matière de protection de la santé et de la sécurité de leurs salariés, d’une obligation de résultat dont ils doivent assurer l'effectivité. Pour l’heure, il n’existe aucune disposition dans le Code du Travail relative à l’usage de stupéfiant, c’est donc les Juges qui se sont penchés sur la question.

Santé au travail : « Ces ouvriers qui sniffent de la coke » Ouvriers qui sniffent, traders qui boivent pour tenir la barre ou encore journalistes au bout du rouleau : les risques psychosociaux au travail font des ravages.

Santé au travail : « Ces ouvriers qui sniffent de la coke »

La Chambre des salariés tire la sonnette d’alarme. La CSL repasse à l’attaque. Après son colloque de lundi dernier au cours duquel son président, Jean-Claude Reding, a plaidé pour un instrument légal destiné à lutter contre le stress au travail, l’institution persiste et signe. Elle édicte, en effet, un cahier de doléances à l’intention des autorités, à qui elle enjoint de légiférer sur la question du stress, mais aussi plus globalement sur ce que l’on dénomme les risques psychosociaux au travail (RPS). La CSL a constaté que les risques psychosociaux font l’objet d’une évaluation obligatoire dans la plupart des pays européens. Comment le cannabis altère la mémoire de travail.

Crédits photo : © Inserm / Disc, F.

Comment le cannabis altère la mémoire de travail

Koulikoff La détérioration de la mémoire de travail est observée chez les personnes ayant consommé des drogues à base de cannabinoïdes, ces composés que l’on retrouve dans la feuille et la fleur de cannabis. L’équipe de Giovanni Marsicano, chargé de recherche Inserm à l’unité Inserm 862 « Neurocentre Magendie » à l’université Bordeaux Segalen en collaboration avec l’equipe de Xia Zhang à l’université de Ottawa (Canada), vient de découvrir par quel mécanisme ces substances agissent sur la mémoire de travail.

Les chercheurs ont montré pour la première fois que l’effet délétère des cannabinoïdes sur la mémoire de travail s’exerce via leurs récepteurs localisés sur les cellules gliales, des cellules du cerveau très nombreuses mais peu étudiées. Concours Vidéo INRS ... et le vainqueur ... La France au travail : tous flippés, tous drogués ? C’est dingue le nombre de gens qui souffrent d’une addiction ou d’une autre, dans notre pays de flippés.

La France au travail : tous flippés, tous drogués ?

Et je ne parle pas des antidépresseurs dont nous sommes les champions incontestés de la consommation avec autorisation médicale (et bénédiction du trou de la Sécu) mais bien d’accoutumance pathologique à une « substance psychoactive » ― comme on dit dans le jargon des épidémiologistes. L’INPS (Institut National de Prévention et d’Éducation à la Santé), parce que c’est sa mission mais aussi parce que ça donne matière à des chroniques désabusées dans les journaux, évalue d'ailleurs à 19% la proportion des Gaulois « actifs » ayant du mal à se passer d’un petit remontant liquide pour supporter la vie au boulot (six verres ou plus en une seule occasion) !

Et ça n’est pas une estimation au doigt mouillé mais le fruit d’une étude portant sur 27 654 personnes (autant dire tout le monde à l’heure où le chômage est au plus haut). Drogues au travail : Les salariés du bâtiment, gros consommateurs. C'est en tout cas ce que révèle un baromètre de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) publié ce lundi concernant la consommation d'alcool, de tabac et divers drogues pendant les heures de travail.

Drogues au travail : Les salariés du bâtiment, gros consommateurs

En matière d'alcool, le secteur de la construction arrive en tête avec 32,7% des salariés interrogés rapportant une consommation ponctuelle importante par mois (6 verres ou plus, au moins une fois par mois), selon ces données rendues publiques au cours d'une conférence de presse organisée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt). Pour l'alcool, la construction devance le secteur de l'agriculture et de la pêche (30,7%), l'hôtellerie-restauration (26,9%), mais aussi le transport (24,2%). A titre de comparaison, le taux de consommation pour l'ensemble des actifs s'établit à 19,2%.

La drogue envahit le monde du travail. Europe 1Europe1.fr avec Aude Leroy ENQUETE - Certaines entreprises sont obligées de recourir à des dépistages réguliers.

La drogue envahit le monde du travail

Un Français sur dix consommerait de la drogue au travail. L’INPES, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé, a publié lundi son baromètre santé qui confirme cette tendance : une part importante de salariés se drogue au travail, parfois même sous les yeux de leurs collègues et les dépistages des entreprises restent encore peu nombreux. Tour d’horizon de ce phénomène. >> Qui sont ces consommateurs ?

La drogue au travail n’épargne plus aucun secteur d’activité, plus aucune couche sociale. On peut pourtant distinguer plusieurs types de consommateurs. Drogues au travail : ces secteurs qui en abusent. L’Institut national de prévention et d’éducation à la santé (INPES) publie ce lundi les premiers résultats de son baromètre santé 2010 consacré à la consommation de substances psychoactives en milieu professionnel.

Drogues au travail : ces secteurs qui en abusent

La Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) a présenté à cette occasion son nouveau guide de prévention des risques liés à l’usage de drogues au travail. Pour la première fois, un volet du baromètre santé de l’INPES intègre la question de la consommation de substances psychoactives en milieu professionnel. Drogue la plus consommée et responsable de 10 à 20 % des accidents du travail déclarés, l’alcool touche particulièrement les secteurs de l’agriculture, de la pêche et de la construction.

Plus de 16,5 % des agriculteurs et pêcheurs, ainsi que 13,4 % des professionnels du bâtiment en font un usage quotidien contre 7,7 % de l’ensemble des actifs âgés de 16 à 64 ans. Différences hommes-femmes. Drogues et dépendances. Drogues et travail. Drogue au travail : des chiffres alarmants. Un article vient de paraître dans le Figaro sur le problème très actuel de la drogue au travail.

Drogue au travail : des chiffres alarmants

On y trouve notamment des chiffres assez spectaculaires : 20% des accidents du travail sont liés aux addictions.10% des salariés consommeraient des substances illicites.60% des DRH français seraient favorables au dépistage en entreprises.8,5% des chauffeurs routier seraient positifs au cannabis (échantillonnage sur un département)31% des intérimaires du bâtiment consommeraient du cannabis. France : La drogue envahit le monde du travail. Un grutier qui sous l'emprise du cannabis manipule sans précaution des tonnes de béton au-dessus de la tête de ses collègues de chantier.

France : La drogue envahit le monde du travail

Un trader qui prend des positions délirantes sur le marché boursier, parce que, venant de sniffer un rail de coke, il se croit subitement hyperlucide… La drogue au travail n'épargne plus aucun secteur d'activité, aucune couche sociale. C'est en tout cas le message délivré par Étienne Apaire, président de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt). À l'occasion d'un important colloque à Paris, vendredi dernier, ce magistrat, proche de Nicolas Sarkozy, vient de révéler que «20% des accidents du travail, de l'absentéisme ou des conduites inappropriées, comme des bagarres» sur les lieux professionnels, sont «liés à des addictions». L'alcool fait certes partie du lot. Les entreprises y sont confrontées depuis longtemps.

Prévention du cannabis en entreprise. Test de dépistage de cannabis et marijuana Le chef d’entreprise est responsable de la sécurité de ses employés sur le lieu de travail Au sens de la loi, un chef d’entreprise est responsable de la sécurité de ses employés au travail.

Prévention du cannabis en entreprise

En effet, un employé sous l’emprise de stupéfiants sur le lieu de travail peut mettre en danger sa propre sécurité mais aussi celle de son entourage. Le cannabis provoque, entre autres, une altération de la vigilance ainsi qu’une modification de la perception du risque ce qui conduit le consommateur à sous-estimer le danger. 15 à 20% des accidents professionnels ont pour origine le cannabis, l’alcool et les médicaments Toutes les entreprises sont concernées par la drogues et les addictions. Les professions à risque pour les usagers de cannabis Professions à risque: chauffeur, transporteur, conducteur de machines outil, agent de sécurité, personne en contact avec une arme, pompier. La prévention des addictions aux drogues au travail. Drogue au travail : "Je fume des joints pour ne pas étrangler mon patron" Drogues au travail : un sujet tabou en France ?

Drogues au travail: l’épineuse question du dépistage. Cannabis La consommation de drogues au travail préoccupe de plus en plus les entreprises mais aussi les pouvoirs publics. La question du dépistage et d’une éventuelle modification de la réglementation s’est trouvée au cœur des débats lors du forum régional sur le sujet, le 2 juillet, à Angers; avant des Etats généraux, en 2010. Plus de 65% des chefs d’entreprise et 50% des salariés considéraient en 2006 que les questions de toxicomanie au travail étaient de plus en plus préoccupantes, d’après une enquête de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). L’alcool demeure le problème le plus fréquemment rencontré. Néanmoins, 11% des entreprises ont déjà été confrontées à des problèmes avec des usagers de cannabis et 2% avec des usagers d’autres drogues (cocaïne, ectasie, etc.).

Cette situation explique pourquoi le dépistage est au cœur des débats et suscite la controverse. Aucune option ne semble pour l’instant privilégiée. Drogue au travail : la fausse bonne idée du dépistage. Capture de « 99 francs » de Jan Kounen (2007), où Octave (Dujardin) et Charlie (Quivrin) s’échangent un joint (Vodkaster). Vous ne conduisez pas de poids lourd, ne surveillez aucune piste d’atterrissage, ni ne risquez de blesser quelqu’un avec vos écrans puisque vous êtes trader. Pourtant, bientôt, si vous arrivez en salle de marché le nez bouché et les gestes agités, votre manager pourra vous envoyer au médecin du travail, déposer votre salive sur un bâtonnet.

C’est en tout cas le vœu de la Mildt, la Mission interministérielle de la lutte contre la drogue et la toxicomanie. Etienne Apaire, son président, explique : « Le médecin pourra dire si le salarié est apte à occuper son poste, prévenir l’employeur, et orienter le cas échéant vers une désintoxication. Bigre. 10% des actifs boivent de l’alcool tous les jours Le dépistage systématique d’usage de stupéfiants ne peut en aucun cas se justifier.

. « L’utilité des tests n’est pas prouvée » Banaliser l’usage des tests pour les drogues illicites.