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Actualité articles 1 Absolu et relatif philosophie

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L'absolu. Fichte et le premier Schelling identifient l'absolu au moi transcendantal kantien poussé dans ses derniers retranchements.

L'absolu

Pour Fichte « le savoir est lui-même absolu comme savoir [...], dans notre conscience uniquement comme forme du savoir et non pas du tout en soi et pour soi ». L'absolu est moi, ou plutôt je suis l'absolu parce qu'« en dehors du Moi l'absolu n'est rien » (, 1794). Je suis moi-même le principe absolu ou séparé à partir duquel le monde apparaît. Lui emboîtant le pas, Schelling étend l'absoluité de l'ego à l'ensemble de la nature et à l'histoire tout entière (, 1797). Hegel marque le point d'aboutissement de ces philosophies de l'absolu.

Absolu et sens de la vie. Faut-il toujours chercher l'absolu ? Vaut-il mieux être passionné ou modéré ? Une telle interrogation dénote de la sagacité, pour celui ou celle qui fonde son questionnement sur l’infinie en soi. Pourtant , chose peut commune pour un individu lambda, qui vit au monde et vit le monde. En effet il est convenable de se demander comment un corps humain fini, pourrait avoir la conscience de chose absolue - infinie, puisque notre genre humain, est indubitablement la résultante d’effets relié à une cause : la vie. « La conscience de l’absolu est en philosophie, un concept désignant un être qui ne dépend d'aucun autre et qui a en lui-même sa raison d'être (par exemple le devoir, Dieu) » ; Disons- nous n’empêche ceci : « le vent se lève !...

Propos extrait de petite philosophie du surf, 2005 éditions Milan, ISBN : 2-7459-1680-7, de (Frédéric Schiffter, professeur en philosophie à Biarritz). Absolu et Relatif. Absolu/relatif. On appelle relatives ces choses dont tout l'être consiste en ce qu'elles sont dites dépendre d'autres choses, ou se rapporter de quelque façon à autre chose : par exemple, le plus grand est ce dont tout l'être consiste à être dit d'une autre chose, car c'est de quelque chose qu'il est dit plus grand ; et le double est ce dont tout l'être est d'être dit d'une autre chose, car c'est de quelque chose qu'il est dit le double ; et il en est de même pour toutes les autres relations de ce genre.

Absolu/relatif

Catégories, Organon I, trad. J. Tricot, Paris, Vrin, 2004, p.43-44. Emmanuel KANT C'est dans cette acception élargie que je me servirai donc du terme d'absolu et que je l'opposerai à ce qui ne possède une valeur que comparativement ou à un égard particulier ; car ce qui possède une telle valeur voit sa valeur restreinte à des conditions, alors que ce qui vaut absolument vaut sans restriction. Absolu / Relatif - Fiche repère de philosophie. D’après le dictionnaire Trésor de la langue française informatisé (TLFI) L’absolu, c’est ce dont l’existence ou la réalisation ou la valeur est indépendante de toute condition de temps, d’espace, de connaissance.

Absolu / Relatif - Fiche repère de philosophie

Le relatif, c’est au contraire, ce qui devrait être comparé avec la moyenne des notions, des choses ou des êtres de même espèce, et ne peut être évalué en soi, d’une façon indépendante. Sens philosophique L’absolu philosophique a très souvent désigné l’être qui, conformément au sens donné ci-dessus, a une existence indépendante de tous les autres êtres, qui est inconditionnel, et qui de plus, possède en lui-même sa propre « raison d’être » ainsi que toutes les perfections ou propriétés. En ce sens, l’absolu, c’est Dieu. Développement d’un exemple Einstein : « le mouvement, du point de vue de l’expérience possible, apparaît toujours comme le mouvement relatif d’un objet par rapport à un autre ».

Pour aller plus loin. Présentation d'un concept philosophique : absolu - relatif. Mercredi 26 mai 3 26 /05 /Mai 10:02 L’absolu est ce qui ne se rapporte à rien, tout en existant, contrairement au néant qui est un rien absolu.

Présentation d'un concept philosophique : absolu - relatif

Sur le plan étymologique, absolu provient du latin absolutus, mot composé du préfixe « ab » signifiant « loin de » et du terme « solutus », participe passé du verbe solvere, qui veut dire « délier ». Ce qui est absolu n’a donc aucun lien, ni dépendance, avec quiconque, ou quoique ce soit. L’absolu est ainsi totalement inconditionné, aucune cause extérieure ne le justifiant. Il existe en-soi et pour-soi, comme le bonheur par exemple, que l’on peut considérer absolu car il est une valeur en lui-même (en-soi), et il constitue pour l’homme la fin ultime, il le désire pour ce qu’il est et rien d’autre (pour-soi), rien ne pouvant le dépasser. Les concepts d’absolu et de relatif se retrouvent généralement dans le domaine de la connaissance, au niveau des rapports entre le réel et la raison.

Le relatif et l'absolu. Le frémissement de l'absolu. Finitude et Absolu. Remarques sur Hegel et Heidegger, interprètes de Kant.