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Nouveau bonheur et bonheur collectif

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Le bonheur n'est pas au bout du chemin, le bonheur est le chemin. Et si un proverbe tibétain devenait la base de toute vision d'entreprise ?

Le bonheur n'est pas au bout du chemin, le bonheur est le chemin

Produire du bonheur, parce que le bonheur selon Joseph Stiglitz doit devenir un indicateur macroéconomique, et si nous en faisions déjà une norme ISO pour toutes les entreprises ? Produire du bonheur, ce n'est pas seulement ouvrir un cadeau, faire plaisir à ses proches. "Marketingment" parlant, c'est imaginer, étudier, concevoir puis tester et lancer... Le marketing doit aujourd'hui être plus que cela, être plus holistique, plus global. Un marketing du bonheur, qui aide à construire des marques qui aideront et apporteront services au quotidien à leurs consommateurs. 1) Le "préalable" L'objectif de toute entreprise pour durer et se développer est de devenir une marque, une référence, incontournable. Daniel Kahneman: The riddle of experience vs. memory. MMI : L'innovation, la technologie et le bonheur: Andreù Solé et la conception du bonheur.

Revenons sur cette notion de monde.

MMI : L'innovation, la technologie et le bonheur: Andreù Solé et la conception du bonheur

Qu’est ce qu’un monde ? Introduire la nouvelle stratégie du bonheur des consommateurs en marketing. Les consommateurs ne veulent plus juste être satisfaits, mais être plus heureux.

Introduire la nouvelle stratégie du bonheur des consommateurs en marketing

Aujourd’hui, concevoir la raison d’être et la raison de vivre orchestre la nouvelle stratégie du bonheur-consommateur. Le succès de votre produit à long terme dépend des expériences-client et est l’alternateur de sa fidélisation. Des millions de dollars ont été dépensés pour des initiatives de type satisfaction de la clientèle, et des innovations de marque ont été créées au fil des décennies, mais les consommateurs ne sont pas plus heureux aujourd'hui qu’il ya 50 ans. Il est possible d'aller au-delà de la satisfaction pour concevoir le bonheur-client. Les marques peuvent-elles nous apporter du bonheur ? Thèmes et marques abordés Marques, bonheur, bien-être, stratégie, marché, clients, consommateurs, crise, prix, distribution, moral, Résumé du document Avant d'étudier la question du bonheur de façon plus précise, il convient d'observer le mot de façon globale, bien que "sur la nature même du bonheur, on ne s'entend pas" (Aristote, Ethique à Nicomaque).

Les marques peuvent-elles nous apporter du bonheur ?

Pour cela, une analyse étymologique permet de véritablement comprendre la portée de ce terme, et de mieux appréhender les deux sens déjà évoqués dans l'introduction quant à la définition du bonheur. L'idée de bonheur associe deux éléments essentiels : Bonheur et croissance économique - Economiedubonheur.com, le site francophone de référence sur l'économie du bonheur. Dans la théorie économique traditionnelle, davantage de croissance, c’est davantage de bien-être matériel et donc davantage de bonheur.

Bonheur et croissance économique - Economiedubonheur.com, le site francophone de référence sur l'économie du bonheur.

Or, les recherches sur le relation entre revenu et bonheur montrent que ce n’est pas forcément vrai. D’abord, que ce soit entre pays ou à l’intérieur des pays, la relation entre bonheur et revenu paraît curvilinéaire : l’augmentation du revenu, lorsque le revenu est faible, aide à l’amélioration du bonheur, puis, à partir d’un seuil qui varie selon les études, l’augmentation du revenu n’a plus d’incidence sur le bonheur. Ensuite, dans les pays riches, la croissance économique n’a pas permis une augmentation du bonheur. Pour expliquer ce phénomène, les économistes du bonheur utilisent les arguments de la comparaison sociale et de l’adaptation.

La comparaison sociale est ici le fait de comparer ses revenus aux revenus des autres. Les psychologues mettent en avant d’autres raisons. Il est possible de neutraliser la perte de bonheur des chômeurs. La vision philosophique du Bonheur. A l’origine du questionnement sur le bonheur, il y a les réflexions des philosophes de l’Antiquité.

La vision philosophique du Bonheur

Chez les Grecs, Aristote (382-322 av. J. -C.) fait le double constat que tous les hommes veulent être heureux, mais que tous ne sont pas d’accord sur les moyens d’y parvenir et sur les approches qu’il conviendrait de suivre pour cela. On retrouve ailleurs, en Chine notamment, des réflexions assez proches chez des penseurs comme Mencius (Meng Zi, 371-289 av. J. Face à cette aspiration humaine au bonheur, considérée comme universelle, deux écoles de pensée se sont rapidement opposées, proposant des définitions différentes de ce que devrait être le bonheur. La première, dite «école hédoniste», met l’accent sur la recherche du plaisir comme source de bonheur. Une telle doctrine a été reprise sur une base économique par Stuart Mill (1806-1873) qui en a fait une philosophie capable d’évaluer, en termes d’utilité, les conséquences des actions entreprises sur le bien-être.

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