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Omar Khayyam

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Robaiyat. Robaiyat Anonyme Tout le monde sait que je n’ai jamais murmuré la moindre prière.

Robaiyat

Tout le monde sait aussi que je n’ai jamais essayé de dissimuler mes défauts. J’ignore s’il existe une Justice et une Miséricorde... Cependant, j’ai confiance, car j’ai toujours été sincère. Que vaut-il mieux ? Considère avec indulgence les hommes qui s’enivrent. Fais en sorte que ton prochain n’ait pas à souffrir de ta sagesse. Puisque tu ignores ce que te réserve demain, efforce-toi d’être heureux aujourd’hui. Le Koran, ce Livre suprême, les hommes le lisent quelquefois, mais, qui s’en délecte chaque jour ? Notre trésor ? En ce monde, contente-toi d’avoir peu d’amis. Autrefois, ce vase était un pauvre amant qui gémissait de l’indifférence d’une femme. Qu’il est vil, ce cœur qui ne sait pas aimer, qui ne peut s’enivrer d’amour !

Toute ma jeunesse refleurit aujourd’hui ! Tu sais que tu n’as aucun pouvoir sur ta destinée. Au delà de la Terre, au delà de l’Infini, je cherchais à voir le Ciel et l’Enfer. Nuit. Omar Khayyam. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Omar Khayyam

Omar Khayyām Statue représentant Omar Khayyām. L’écrivain et savant persan connu en francophonie sous le nom d’Omar Khayyām[1] ou de Khayyām[2] (prononcé "omar khayam") serait né le 18 mai 1048 à Nichapur[Note 2] en Perse (actuel Iran) où il est mort le 4 décembre 1131[3]. On peut aussi trouver son nom orthographié Omar Khayam comme dans les traductions d'Armand Robin (1958) ou de M. F. Biographie[modifier | modifier le code] La vie de Khayyam est entourée de mystère, et peu de sources sont disponibles pour nous permettre de la retracer avec précision. La légende dit qu'Abou-Ali Hassan (Nizam al-Mulk) et Hassan Sabbah étudiaient alors également sous la direction de ce maître et qu'un pacte légendaire aurait été conclu entre les trois étudiants : « Celui d'entre nous qui atteindra la gloire ou la fortune devra partager à égalité avec les deux autres ».

Nizam al-Mulk devient cependant grand vizir de Perse et les deux autres se rendent à sa cour. Les quatrains d’Omar Khayyam et leurs traductions françaises. (Dernière mise à jour : 27 mai 2014) Je possède quelques traductions des robâiyât d’Omar Khayyam, le célèbre astronome, mathématicien et poète persan des confins des XIe et XIIe siècles, et cela faisait quelques temps que je souhaitais faire une chronique bibliographique à ce sujet.

Les quatrains d’Omar Khayyam et leurs traductions françaises

Or voici que le n° 59 de la Revue de Téhéhran consacre justement un dossier à Khayyam, avec notamment un article sur Sarah Mirdâmâdi sur « Les » lectures de Khayyâm en France.Outre ce dossier récent, la même revue a publiée par le passé des articles consacrés à des sujets proches, dont une biographie (une autre figure dans le dossier), un article sur la terre dans les quatrains d’Omar Khayyâm, et deux autres, plus généraux, sur les formes poétiques persanes et la dimension mystique de la poésie classique persane . Autres sources utilisées : L’article de Wikipedia et le site Omar Khayyam persan dont les contenus sont pratiquement identiques… Le blog Omar Khayyam Rubaiyat créé en avril 2012.. 1900 – Etty Couzyn.