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Archives de la vie littéraire sous l’Occupation. Universités au Moyen Âge. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Universités au Moyen Âge

La naissance des universités médiévales s'inscrit dans la suite de la Renaissance du XIIe siècle. Historiographie[modifier | modifier le code] Désireux de marquer leur indépendance à l’égard des évêques qui à travers les écoles capitulaires dirigeaient et contrôlaient l’enseignement, les clercs dès le XIIe siècle se sont groupés en corporations (universitates) afin de pouvoir se livrer librement à la recherche du savoir et à l’enseignement. L’on vit ainsi, parallèlement à la création de nouveaux monastères et d’ordres religieux et à la renaissance des villes, du commerce et de la propagation du style international français dit plus tard gothique (opus francigenum) en architecture, une efflorescence à travers l’Europe de ces Universitates studiorum qui s’installèrent dans les villes ouvertes au renouveau et aux avantages économiques que la présence d’ « escholiers » ne pouvait manquer de leur apporter.

Le beau Moyen Age : "Des intellectuels très émancipés" - L'Histoire : Actualité de L'Histoire. Où sont les intellectuels ? Avant même de se demander où ils sont, il faudrait s’interroger pour savoir non pas qui ils sont mais de quoi ils sont faits, ce qui les définit.

Où sont les intellectuels ?

Ce n’est pas un débat vain puisqu’à l’évidence, même si ici ou là on déplore leur moindre importance, voire leur effacement, leur rôle toujours questionné manifeste le souci de leur présence et l’angoisse de leur disparition. Parce que la société sans eux ne serait plus qu’une terre brûlée vide de sens. Les intellectuels et la politique 4/5 - Misère des intellectuels français. Quel est aujourd’hui le visage du monde intellectuel français ?

Misère des intellectuels français

Une caricature, tant il est défiguré ; ce monde est sans visage. Il tourne ad nauseam, tout autour d’un axe dont les deux pôles exercent sans relâche sur les esprits, par la force de leur opposition, une pénible attraction. Tout doit s’y ramener. Intellectuel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Intellectuel

Selon les historiens Pascal Ory et Jean-François Sirinelli, un intellectuel est « un homme du culturel, créateur ou médiateur, mis en situation d’homme du politique, producteur ou consommateur d’idéologie[2] ». Origines[modifier | modifier le code] Le terme « intellectuel » est considéré comme d'apparition récente ; il serait directement lié à l'Affaire Dreyfus en France. Toutefois le Trésor de la Langue Française suggère l'existence d'occurences antérieures : " FIELD (T.). "Vers une nouvelle datation du substantif intellectuel", Trav. Dossier : La fin des intellectuels français. C'est fini!

Dossier : La fin des intellectuels français

Nous annonce Régis Debray. La comédie a assez duré. Dans I.F. [Intellectuel Français] suite et fin (Gallimard), il crache le morceau: après avoir commencé dans le panache au début du siècle, l'épopée intellectuelle française a sombré dans l'erreur, le délire, et s'achève aujourd'hui dans le ridicule. Cela ne rime plus à rien, il vaut mieux arrêter le spectacle et quitter la scène. Contrairement à La Trahison des clercs (1927), de Julien Benda, qui exhortait les intellectuels à rompre leurs complicités avec les passions politiques, ou à L'Opium des intellectuels (1955), de Raymond Aron, qui les invitait à ouvrir les yeux sur les réalités de leur religion marxiste, Régis Debray estime qu'il n'y a plus rien à faire.

I.F. suite et fin est en partie autobiographique. De qui parle-t-on avec tant de déception? Le bilan de cet "engagement", caractéristique de l'intellectuel, n'est pas fameux. Les intellectuels et l'Europe. Le pouvoir intellectuel en France - Essais. LE « MANIFESTE DES 121 ». ETUDE D'UNE SOURCE D'HISTOIRE CULTURELLE - Lumieres du monde.

Autre dossier effectué dans un cadre universitaire par un ancien étudiant à Sciences Po.

LE « MANIFESTE DES 121 ». ETUDE D'UNE SOURCE D'HISTOIRE CULTURELLE - Lumieres du monde

Le dossier se compose de l'étude du Manifeste et de la publication du Manifeste. Bonne lecture. 1e partie : Pourquoi cette source ? ISIDORE - Accès aux données et services numériques de SHS. Raul Hilberg « Norwich. Avant-propos de la revue Ecrire l’histoire :«Ecrire l’histoire, la raconter, la peindre, la filmer, la jouer, la chanter, ou encore la figurer, défigurer, reconfigurer – et ainsi toujours la penser, la repenser dans la manière dont elle s’écrit.

Raul Hilberg « Norwich

S’écrivant, elle réengage à chaque fois la question de son sens, mais aussi de ses domaines. Soit ce qui est avéré, ce qui est « effectivement arrivé », comme disent avec Ranke les historiens positivistes, mais encore ce que les représentations du passé intègrent, reconnaissent comme des objets possibles, légitimes, découpant ainsi dans le champ infini de la réalité les frontières, à chaque moment réinterrogées, de ce qu’on nomme l’histoire » Le premier numéro de la revue a été publié au printemps 2008, sous les bons auspices d’un comité d’honneur où apparaissent entre autres Stéphane Audoin-Rouzeau, Arlette Farge, Pascal Ory, Krzysztof Pomian, Anne-Marie Thiesse, Jay Winter.

La Guerre des écrivains. Gisèle Sapiro. NI PILORI NI PANTHEON.

La Guerre des écrivains. Gisèle Sapiro.

Propos recueillis par Alain NICOLAS Les écrivains et la guerre : un débat qui n'est pas près de s'éteindre. Histoire des idées. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire des idées

L'histoire des idées est un domaine de recherche en histoire qui s'intéresse à l'expression et l'évolution des idées humaines. C'est une science interdisciplinaire, à l'intersection de l'histoire de la philosophie, l'histoire des sciences et l'histoire de la littérature. L'histoire des idées a été remplacée, dans les préoccupations historiennes, par l'histoire intellectuelle, mais certains chercheurs persistent à se revendiquer de cette branche de l'histoire, en particulier les historiens des idées politiques. Repères[modifier | modifier le code]

Pour une histoire des intellectuels européens. Une Europe des espritsUne première série de travaux a porté sur l'entre-deux-guerres, notamment sur les « revues européennes » de cette période, conçues comme la base d'un véritable comité de rédaction supranational et servant de vecteurs pour analyser la circulation internationale des idées et des hommes.

Pour une histoire des intellectuels européens

Livres XIXe-XXIe siècle : "L'effet de génération. Une brève histoire des intellectuels français" - L'Histoire : Actualité de L'Histoire. Pourquoi les Anglais n'aiment-ils pas leurs intellectuels ? Les Britanniques méprisent-ils les intellectuels ? The Guardian lance une opération de réhabilitation de l’intellectuel dans un pays où ce mot a toujours eu une connotation péjorative. En effet, outre-manche, la figure de l’intellectuel est au mieux assimilée à une sorte d’élitisme snob d’une catégorie d’énergumènes enfermés dans leur tour d’ivoire, au pire, considérée avec mépris comme le fossoyeur du peuple quasi exclusivement intéressé par la défense de sa domination culturelle.

Ce déni du réel paraît étrange à John Naughton, dans un pays d’une grande richesse créative, artistique et intellectuelle. Pour l’expliquer, le journaliste emprunte à l’historien des idées Stefan Collini sa thèse de l’absence ("absence thesis"). Cette thèse a deux dimensions : - Une dimension temporelle dans laquelle des intellectuels contemporains sont perçus comme des avatars rabougris des grandes figures du passé : Christopher Hitchens ou Martin Amis feraient pâle figure à côté de George Orwell ou Aldous Huxley. Lire : Histoire intellectuelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Enjeux[modifier | modifier le code] Dans les années 1960 et 1970 en France, l’histoire de la longue durée et l’histoire quantitative, dans la tradition de l’école des Annales, dominaient la production historique.

Cela ne laissait que peu de place à l’histoire intellectuelle, considérée comme trop proche du biographique et du politique et donc dévalorisée aux yeux de la plupart des historiens. Il faut donc attendre les années 1980 pour voir émerger un domaine d’étude spécifique sur l’histoire des intellectuels qui, depuis, rencontre un certain succès auprès des historiens et du grand public[1].

Considérant ces débats comme « sans issue », Roger Chartier s’inspirait du sociologue Pierre Bourdieu pour définir l’histoire intellectuelle. François Dosse présente Louis Bodin comme un historien « très à distance du modèle bourdieusien »[8]. Méthodes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]