Responsive Design ou Adaptive Design ? Le monde mobile est en pleine mutation. Dans quelques années, tout se fera sur mobile. Les développeurs l’ont déjà compris, proposer un rendu adapté aux visiteurs est devenu une nécessité. Les contraintes pour adresser les nouveaux écrans de types Smartphone ou tablette sont multiples. Il y a tout d’abord une fragmentation en termes de taille et de densité d’écrans. L’une des réponses, dont on parle beaucoup maintenant depuis quelques mois, est le « Responsive Web Design » (RWD). Cependant, le Responsive Web Design se repose sur le terminal pour afficher du contenu, c’est-à-dire que c’est le téléphone, la tablette, ou la cible, qui, en fonction de ses caractéristiques affichera un rendu spécifique.
Cette méthode induit donc qu’un volume de code important soit envoyé au terminal quand bien même toutes les lignes de code ne seraient pas indispensables au rendu. Cette approche aura donc pour effet dans l’immense majorité des cas d’allonger le temps de chargement inutilement. Le métier qui manque le plus au e-commerce : Responsable Interfaces. C’est sous le soleil de Monaco que les transporteurs ont présenté leurs actualités, dans le cadre du salon Ecommerce OneToOne 2015.
Tout comme le e-commerce en général, les transporteurs semblent vouloir se rapprocher des attentes des consommateurs. De nombreuses innovations sont en effet déployées pour améliorer la prestation, offrir de nouveaux services, mais aussi mesurer la satisfaction client. D’un service plutôt basique : transporter un colis d’un point A à un point B, les transporteurs sont donc en train de recourir au marketing pour rapprocher leurs offres du consommateur.
La meilleure preuve en est que l’organisation des nouveaux acteurs fait qu’ils ne touchent jamais aucun colis ! Délais de livraison accélérés et amélioration continue Il est le seul avec Coliposte à disposer d’une licence postale : Colis Privé a donc accès à toutes nos boîtes aux lettres au même titre que son confrère. L’opérateur a également annoncé lors du salon accord stratégique avec Kiala, sur deux axes : Is social commerce worth the investment? There’s a useful post over at econsultancy by Eric Abensur of cloud-based commerce company Venda, that asks a simple, but very pertinent question, is social commerce worth the investment? The short answer – according to the post – is a qualified yes, if retailers adopt the right approach and tone. For the e-consultancy post, social commerce is not about turning social media into a marketplace, but using social media to promote the marketplace/site you’re selling on – essentially through social sharing.
For instance, Etsy sellers use Pinterest for free advertising, and 20% of buyers come to the craft marketplace from seeing shared pics on Pinterest. Use e-commerce software to sell, and social software to share. Simple, right? But is that it? But there’s more to social commerce than a plugin. Tuangou (team buying) – selling to groups, not individuals (e.g. Social plugins are a good way to start with social commerce, they are worth the investment. Les magasins veulent leur place chez les géants de l’#ecommerce ! PriceMinister en France, inspiré des success stories de Rakuten au Japon, permet de plus en plus à des enseignes de trouver un complément de marché e-commerce, qu’elles soient ou non déjà directement présentes sur le Web.
Plusieurs “SuperBoutiques Rakuten PriceMinister” sont ouvertes directement par des grandes marques disposant de leur propre réseau physique, ou par des grandes enseignes de la distribution traditionnelle. En ajoutant une nouvelle (Super)boutique à leur réseau, elles trouvent ainsi un trafic commercial supplémentaire instantanément ! Une tendance qui illustre la lame de fond d’un nouveau “clic and mortar” qui se double d’un “mortar and clic” : Tour à tour le même client recherche sur le Net et achète en magasin, ou bien il essaye en magasin puis il achète sur le Net. Un réflexe du consommateur de ne plus considérer ces deux formes de commerce comme opposées, mais plutôt comme complémentaires. Pouvez-vous vous présenter et présenter Rakuten et priceminister ? Rakuten : The Social Retailer: what ‘social’ means for the future of commerce. Télévision connectée : le 'petit écran' est mort. Vive le multi-écran ! Quels sont les facteurs qui influencent un achat en ligne ?
Bon, l’article d’aujourd’hui n’en ai pas vraiment un, vu que pour la première fois je vais presque faire un copier/coller d’un communiqué mais il y a au moins quatre bonnes raisons à ça : La loi Hamon va profondément modifier les obligations des e-commerçants et il est donc indispensable de diffuser au maximum ces nouvelles obligationsOn parle de points juridiques relativement précis, autant faire appel à un spécialiste pour ne pas diffuser de bêtisesLe communiqué de TrustedShops est super précis et très factuelLa loi Hamon va rentrer en application dès le 13 juin ! Soit dans 2 mois seulement Donc les infos ci dessous sont extraites d’un communiqué de presse envoyé par Trusted Shops, qui certifie des boutiques en ligne et qui grosso modo leur donne un « label » si elles respectent leurs obligations. Le but est évidement d’augmenter la confiance des clients envers la boutique. Bref, voici les principaux changements à venir dans la logistique e-commerce dès le 13 juin : 1) Délai de livraison.
Des commerces en ligne plus interactifs grâce au social shopping | ESCadrille. La multiplication du nombre de réseaux sociaux et de points de contacts sur internet peut déstabiliser les enseignes qui engagent parfois des actions coûteuses et peu efficaces pour occuper ces espaces. Comment aborder la question du social shopping ?
Comment en tirer une réelle plus-value ? Facebook, Twitter, Pinterest, Google+… Autant de réseaux sociaux que les e-commerces s’efforcent d’utiliser pour entrer en relation avec leurs clients. Cette profusion de nouveaux canaux de communication et leur évolution rapide peut déstabiliser les enseignes qui peinent à construire une stratégie efficace de relation client. Social shopping : de quoi parle-t-on ? Le social shopping, ce n’est pas faire directement du commerce sur les réseaux sociaux. Les réseaux sociaux jouent pourtant bien un rôle crucial dans le processus d’achat. Rendre son e-commerce plus social La dimension sociale doit être directement intégrée aux e-commerce pour pouvoir accompagner l’achat.
Une nouvelle relation client. Les mobinautes déplorent la rareté des sites en responsive design. Selon une réalisée par Experian et cabinet indépendant Research Now sur les usages du mobile et de la tablette, les tablonautes achètent dans davantage de catégories que les mobinautes. Mais malgré la forte progression des ventes de tablette et du nombre croissant de possesseurs de smartphones (60,2% des répondants sont équipés de smartphones et 32,3% sont possesseurs de tablettes), la diversité des supports n’influence pas les besoins des consommateurs. Bien que 43% des possesseurs de Smartphone ont déjà acheté via mobile contre seulement 31% des possesseurs de tablettes, les tablonautes ont acheté dans davantage de catégories. Ces derniers achètent dans les secteurs de l’habillement (81%), de la maison (73%) et des loisirs (78%).
Alors que les possesseurs de smartphone sont attirés par les sites de loisirs. Pourtant, les chiffres pourraient être plus élevés si davantage de sites étaient réalisés en responsive design. La tablette reste un outil de confort, pour surfer longtemps.
E-commerce : faut-il fabriquer ses propres produits pour survivre ? : E-marchands : Pourquoi miser sur l'intégration verticale ? Envie de Fraises, Warby Parker, Shoedazzle, Archiduchesse, Tikamoon, Gemmyo, Saint-Sens, Made, Bonobos, Frank&Oak, Everlane, Beachmint... Qu'ont en commun ces e-commerçants américains, britanniques et ? Ce sont des marques 100% Web, qui ont intégré toutes les étapes de la chaîne de valeur, au premier rang desquelles la fabrication, le branding et la distribution. En se dispensant de magasins physiques, ils apportent directement leurs produits aux consommateurs dès la sortie de l'usine. Un modèle économique produisant des articles de bonne qualité à des prix très accessibles, séduisant pour le consommateur et rémunérateur pour l'e-marchand. Une offre unique En France, l'e-marchand de meubles en bois massif Tikamoon s'est organisé ainsi dès sa création en 2007 et dessine toujours les articles qu'il commercialise. "A l'arrivée, nous bénéficions d'un triplé produit-photo-prix unique sur le marché.
Des marges plus importantes Un sourcing plus souple. E-topia lance la plateforme Retiin pour personnaliser les actions marketing. Nouvelle venue dans le paysage de l’e-commerce, la société bordelaise E-topia vient de lancer sa solution Retiin pour doper le taux de conversion des sites marchands. Cette jeune start-up exploite l’intelligence artificielle et l’analyse du comportement du consommateur au cours de sa navigation pour personnaliser les campagnes marketing. Une technologie qui vient compléter la panoplie d’outils e-crm. Avec un taux de conversion qui n’excède généralement pas les 2,5% sur un site marchand, la problématique liée au taux de transformation ressemble de plus en plus à la quête du graal. La société E-topia, fondée par Sébastien Bruhat, ex-directeur des systèmes informatiques de C-discount, a mis au point la solution Retiin. Après plus d’un an d’existence, E-topia collabore avec des PME dans la mode, la décoration et les cosmétiques.
Dans les prochains mois, la société compte proposer sa technologie en marque blanche aux agences de marketing. Le SoLoMo. 24janv. Le SoLoMo pour les nuls Aujourd’hui, technologie et Marketing font bon ménage avec le SoLoMo (Social, Local, Mobile) ! Pour faire simple, le SoLoMo combine 3 formes du commerce actuel : Le Social : C’est l’utilisation toujours grandissante des réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et ses frères…afin d’échanger sur tous les sujets possibles (shopping, news, etc.)Le Local : C’est le retour en grâce du commerce de proximité, ou l’intérêt porté par le consommateur sur ce qui se passe près de chez lui.Le Mobile : C’est l’outil technique, le vecteur d’informations. Aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain, telle est la devise des internautes qui se connectent au web en dehors de chez eux via leurs outils Mobiles comme les tablettes et les Smartphone.
Un exemple concret : Vous scannez un QR lu dans une pub de magazine concernant une chaine de restaurant, et vous êtes alors invité à télécharger une application en provenance de la marque en question. Comment générer du CA ? [E-commerce] La dimension essentielle du marketplace dans la stratégie cross-canal. Alors que les Galeries Lafayette s’apprêtent à lancer en septembre prochain leur propre marketplace sur leur site internet, les enjeux de l’ouverture d’une galerie marchande virtuelle sont de plus en plus grands pour les enseignes physiques. La part croissante des places de marché sur le net contribue à doper les chiffres de l’e-commerce et révèle à quel point la mise en place d’une stratégie cross-canal devient primordiale notamment dans le secteur de la grande distribution. Focus sur ces Amazon, Fnac.com ou encore AirBnB, les places de marché numériques d’aujourd’hui et de demain.
Derrière le terme de marketplace se cache l’idée d’une galerie marchande virtuelle, place de marché numérique. Celle-ci met en relation un vendeur et un acheteur afin de faciliter des transactions de biens ou de services. Trois types de marketplace cohabitent : B2B, B2C, et C2C. Le business model des marketplaces repose à la fois sur les commissions des ventes, la publicité, et les abonnements.
M COMMERCE (& tablettes) RS. TV COMMERCE.