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Travail

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Le nounours espionnait la nounou. Selon une décision du tribunal correctionnel de Lyon rendue le 28 février, il suffirait d’invoquer une supposée infraction pénale pour justifier des enregistrements clandestins qui constituent une violation de la vie privée. Le droit au respect de la vie privée serait ainsi écarté au profit de la recherche d’une infraction pénale hypothétique.Par Roseline Letteron. Le tribunal correctionnel de Lyon a rendu, le 28 février 2012, une décision qui peut susciter à la fois amusement et surprise. Le héros, sans doute involontaire, de l’histoire est un ours en peluche que des parents inquiets ont équipé d’un magnétophone. Devenu espion, le plantigrade devait leur apporter les preuves d’éventuels mauvais traitements infligés par la nounou à leur enfant âgé d’environ un an au moment des faits. Il a finalement échoué dans sa mission, la plainte déposée par les parents pour privation de soins envers l’enfant ayant été classée sans suite.

Un élément de preuve, seulement en matière pénale —-Sur le web. «Chaque année un emploi sur cinq est créé par les entreprises de l'economie sociale et solidaire» L’économie sociale et solidaire (ESS) s’est-elle beaucoup développée ces dernières années? Oui. Le nombre d’établissements (associations, mutuelles, coopératives, fondations) qui composent l’ESS a augmenté de 5 % entre 2000 et 2006 et s’élève désormais à 215 000. La masse salariale dans le secteur a aussi progressé de 24% entre 2000 et 2006. Et chaque année, près d'un emploi sur cinq est créé par les entreprises de l’ESS. Ce qui explique, qu’aujourd’hui plus de 10% des salariés en France travaillent dans l’ESS, soit 2,3 millions de personnes. Comment expliquez-vous que les entreprises de l’ESS aient bien résisté à la crise économique? Par le fait que ces structures n’ont pas d’obligations de rendement et consacrent leurs bénéfices à développer leur activité ou à améliorer le service fourni à leurs adhérents.

Ce secteur sera-t-il encore porteur en terme d’emplois dans les prochaines années? Oui car dans les dix prochaines années, 27% des actifs de l’ESS vont partir en retraite. La technologie la plus libérale peut-elle être mise au service des services publics. Par Hubert Guillaud le 20/10/11 | 2 commentaires | 2,155 lectures | Impression “Un site internet américain, une espèce d’eBay pour les courses, pourrait fournir une riche inspiration aux organismes d’entraides et entreprises sociales du Royaume-Uni, en les aidant à affronter les réductions drastiques des dépenses publiques”, estime Adil Abrar, directeur de Sidekick Studios, dans une tribune publiée sur le site du Guardian. “TaskRabbit, le service en question est assez simple. Les gens publient les petits boulots dont ils ont en fait besoin, mais pas le temps d’accomplir – de la lessive au soin des animaux – et d’autres internautes répondent pour remplir ces tâches contre rémunération.”

C’est une bourse aux petits boulots. Image : sur TaskRabbit, vous pouvez employer Chris contre 45 $ pour qu’il assemble votre matériel Ikea à votre place. “Le service est un réel succès. Tout d’abord, elle paraîtra pour beaucoup d’entre nous, choquante. Hubert Guillaud. Modulation du temps de travail : le salarié à la carte, un rêve de patron enfin exaucé. Jeudi, 13 Octobre 2011 16:25 Sous couvert de simplification du droit, sans aucune concertation avec les syndicats, les députés ont adopté hier une disposition qui autorise les employeurs à augmenter ou réduire le temps de travail de leurs salariés sans devoir modifier leur contrat.

Augmenter ou réduire la durée du travail d’un salarié sans lui demander son accord est un rêve de patron qui pourrait bien être exaucé. Sous couvert de simplifier le droit des entreprises, le député UMP Jean-Luc Warsmann creuse des brèches dans le Code du Travail. Au détour d’une proposition de loi relative «à la simplification du droit et à l’allégement des démarches administratives», l’auteur et député des Ardennes présente, dans l’exposé des motifs, la mesure suivante : permettre à un employeur «d’augmenter le nombre d’heures de travail sur une courte période sans que cette augmentation constitue une modification du contrat de travail». (Source : Miroir Social) Foxconn: le fabricant d'iPhone expérimente l'esclavage moderne en Chine. Fétichisme de la marchandise digitale et exploitation cachée : les cas Amazon et Apple. La semaine dernière1, The Morning Call, un quotidien de Pennsylvanie, a publié une enquête longue et détaillée, intitulée « Inside Amazon’s Warehouse », sur les terribles conditions de travail dans les entrepôts Amazon de la Lehigh Valley.

Le reportage, résultat de mois d’interviews et de vérifications, est en train de faire le tour du monde et il a été repris par le New York times et d’autres médias mainstream. À en juger par les commentaires en ligne, beaucoup tombent des nues, découvrant seulement maintenant qu’Amazon est une méga-corporation, et Jeff Bezos un patron qui – comme il est courant chez les patrons – veut réaliser des profits au mépris de toute autre considération sur la dignité, l’équité et la sécurité. Comme on aurait dû le soupçonner, le « miracle » Amazon (super-réductions, expéditions très rapides, « longue traîne »2, offre apparemment infinie) repose sur l’exploitation de la force de travail dans des conditions vexatoires, dangereuses, humiliantes. . [ N.B. Job alimentaire : comment bien présenter les choses pour épater la galerie. Si la vie était mieux faite, nous serions tous titulaires d'un job de rêve et notre métier serait aussi notre passion.

En ce qui me concerne, au lieu de vendre des t-shirts d'un goût douteux à des clients jamais contents, je serais éleveuse de poneys arc-en-ciel, femme à barbe dans un cirque itinérant ou goûteuse de crêpes au sucre. Mais la vie est ainsi faite que peu d'entre nous ont la chance de pouvoir vivre de leur passion, et la plupart d'entre nous se contente d'une profession pas forcément passionnante, l'essentiel étant de pouvoir payer les factures et remplir le caddie toutes les semaines. Est-ce pour autant une raison pour avoir honte de son job et envisager des parades visant à maquiller la réalité ?

Faut-il avoir honte de son travail au point de le reléguer à un simple détail tout en s'inventant, parallèlement, une vocation en attente ? "Il n'y a pas de sot métier", voilà ce que nous enseignent nos parents depuis notre plus jeune âge. 2 - Être évasif (ou "être dans... ") 1000€ pour chacun, du nourisson au vieillard. La grève sans fin des caissières du dimanche. Un air d’accordéon suinte d’une sono fatiguée. Sous un soleil de plomb, le curé entraîne une des filles pour quelques pas de danse sur le parking du supermarché. On rigole, on applaudit avec la cinquantaine de personnes réunies sous les quatre bâches tendues face à la station essence. Zone commerciale d’Albertville (Savoie), dimanche matin : le petit groupe - plutôt âgé - s’est donné rendez-vous ce 26 juin pour célébrer la date anniversaire d’un mouvement inédit : le 90e dimanche de grève des caissières d’ED-Dia contre le travail dominical.

Bientôt deux ans de lutte pour ces six femmes «têtues comme des Savoyardes», dixit un supporteur, devenues au fil des mois un symbole de résistance dans la région. Deux ans à se faire traiter de «feignasse», «pétasse» ou «petite pute» par de nombreux clients pour un combat qui a fini par dépasser le périmètre du parking commercial. La décision d’ouvrir le dimanche ? «Se protéger». Ange gardien. «Grain de sable». Photos Felix LEDRU. Souffrance au travail ou aliénation ?

Le respect de l'ouvrier. Le respect de l’ouvrier la maltraitance dans la grande distribution ou Gencode vous souhaite la bienvenue dans le monde de la GRANDE DISTRIBUTION lerespectdelouvrier.fr. Vidéo la mise a mort du travail B de un-collegue-de-travail-la (Actualité - un-collegue-de-travail-la. Qu'est-ce que le travail ? | Les dossiers. Un entretien lumineux et profond avec le philosophe André GORZ (1923-2007) sur l'emploi, le temps libre, et plus encore.

Indispensable ! Au sens anthropologique, on appelle habituellement «travail» l’activité par laquelle les humains façonnent et transforment leur milieu de vie. C’est d’abord la malédiction biblique : le monde n’est pas naturellement propice à la survie des humains, il n’est pas «un jardin planté pour eux», disait Hegel. La vie humaine est «improbable», écrivait Sartre, elle rencontre cette improbabilité comme un ensemble d’adversités, de maladies, de raretés. Au sens philosophique, le concept de «travail» englobe les dimensions multiples de l’activité humaine. La philosophie grecque distinguait le travail-corvée — ponos — qu’il faut accomplir jour après jour pour entretenir le milieu de vie et produire sa subsistance. Après le ponos, il y a la poiesis : le travail de l’artisan, de l’artiste, du «producteur». Le salariat, ou la dépossession du travail La peur du vide. Évolutions du contrat de travail : continuité de ruptures ? - No.

Évolutions du contrat de travail : continuité de ruptures ? [mercredi 28 avril 2010 - 16:00] Travail, emploi, relations sociales L'emploi en ruptures Éditeur : Dalloz 259 pages * Cet article est accompagné d'un disclaimer. Au moment où les enjeux sociaux font la une de l’actualité au travers des débats portant sur l’avenir des retraites, il est une autre question de société qui mérite qu’on y porte attention : il s’agit de la relation juridique qui lie un salarié à son employeur. Cet ouvrage a pour ambition de montrer comment le contrat de travail et les dispositions relatives à sa rupture constituent à la fois un sujet régulier d’intervention conventionnelle ou étatique et une marque des choix politiques effectués à un moment donné, traduisant l’évolution des formes productives et du débat économique.

La peur du déclassement. L’ouvrage de Eric Maurin qui porte ce titre montre que la peur du déclassement est beaucoup plus fréquente que le déclassement lui même. Cette peur s’explique par l’importance des statuts et de l’écart entre ceux qui en ont un et ceux qui n’en ont pas. Les statuts mis en place pour protéger génèrent paradoxalement de l’anxiété sociale. Il faut préciser une chose tout d’abord. Éric Maurin s’intéresse au fait d’avoir ou non un travail, d’avoir des perspectives d’en avoir un pérenne ou de perdre celui qu’on a. La question du niveau des salaires ne fait pas partie des sujets qu’il aborde quand il parle de déclassement. Seulement 1% des salariés environ chaque année se retrouvent au chômage suite à la perte d’un CDI (contrat à durée indéterminée), et pourtant la moitié de ceux qui ont un CDI craignent le déclassement.

Cette peur s’explique par les conséquences importantes que représente la perte du statut. . Reste que le changement pour passer d’un modèle à l’autre ne peut pas se décréter. . Retraite : la double peine des ouvriers | Scribd. La « double peine » des ouvriers : plus d’années d’incapacité au sein d’une vie plus courte Population & Sociétés n° 441, janvier 2008INED  (8  ’c) : à 35 ,   35 p  c p   c è  ’è ’à 27  (pc 70 % 55 %  ’pc   ).L’pc    cpc  yp II 40  chz  c p c 32  chz  (pc 85 %  78 %   pc  ).

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Mais les valeurs et les pratiques que vous associez au nouveau capitalisme séparent les individus, les isolent, corrompent les repères qui pourraient fournir un sentiment de continuité dans leur vie… C’est là justement le problème culturel du capitalisme contemporain. Celui-ci souffre d’un déficit de culture au sens que vous avez rappelé. Vous insistez sur l’évolution de la [ lire la suite... ] Article de 2233 mots.