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Prisons

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Pour un député UMP, les places de prisons et d’hôpitaux font partie des logements sociaux. International : En Louisiane, des loups formés pour garder une prison d'Etat. Pour des raisons d'économies budgétaires, le plus grand centre de haute sécurité des États-Unis élève des chiens croisés avec des loups pour prévenir les évasions. Des loups pour remplacer des hommes. La dernière trouvaille aux États-Unis pour répondre aux problèmes budgétaires d'une prison est originale: former un groupe de chiens-loups hybrides pour les gardes de nuit.

Le centre pénitentiaire de l'État de Louisiane devait à tout prix réduire sa masse salariale. «Chaque prison essaye d'être la plus créative possible pour dépenser au mieux chaque dollar qu'elle a», explique George Camp, membre de l'association des administrations correctionnelles d'État au Wall Street Journal . La prison, qui est le plus grand centre de haute sécurité des États-Unis, s'étend sur une superficie de 73 km2. «Vous pouvez toujours courir…» Ces chiens-loups sont pour la plupart des croisements entre la race des malamutes de l'Alaska et des loups gris et pèsent plus de 55 kilos. Montebourg et Batho à la vérification. Soucieux de vanter leur démarche, le ministre du Redressement productif et la ministre déléguée à la Justice ont avancé quelques chiffres pour défendre leurs propositions ou leurs projets réformes... mais ont parfois négligé d’aller à la source des données en question.

Un pari risqué. Owni a vérifié leurs propos chiffrés. Owni s’est penché sur les déclarations chiffrées en cette période riche en annonces politiques. À la faveur de cette période électorale, les membres du gouvernement ont usé de statistiques pour appuyer leurs propositions. Coopératives Invité sur RTL mardi, le ministre du Redressement productif était venu vanter l’option défendue par le gouvernement d’une reprise de SeaFrance par ses salariés. Je voudrais signaler une grande entreprise, qui s’appelle Chèque déjeuner, qui est connue de beaucoup de salariés, c’est une Scop !

Non disponible sur le site de Chèque déjeuner, la rémunération de Jacques Landriot, PDG du groupe, n’est pas tenu secrète par la société. Grâce. 87 000 prisonniers perdus. Le Conseil constitutionnel vient de valider, le 22 mars, la loi sur l'exécution des peines prévoyant de confier aux géants du BTP la création de milliers de places de prison supplémentaires d'ici 2017. Principal argument avancé : 87 000 peines de prisons sont en attente d'exécution en France.

OWNI est parti à la recherche de ces prisonniers, pas perdus pour tout le monde. Maison d'arrêt de la Santé. Paris Surveillants fermant la grille d'accès à la cour de promenade © Olivier Aubert/Picture Tank C’est l’histoire d’un chiffre à succès. Répété à l’envi, du Front national à l’UMP, pour justifier la multiplication du nombre de prisons en France. 87 000, au 31 décembre dernier Donc 87 000 personnes en France dont la condamnation a été prononcée par un juge mais n’est pas encore appliquée.

Créer dans les plus brefs délais, 40 000 nouvelles places de prison. Mais la réalité des peines de prison en attente d’exécution est plus complexe. Petites peines 45 000 condamnations de plus. La France carcérale. La France condamnée pour traitement inhumain en prison. Deux ailes de la prison d'Andenne saccagées. Namur-Luxembourg Plusieurs détenus de la prison d'Andenne ont refusé mardi soir de réintégrer leurs cellules, et ce à la suite d'informations relayées par les médias plus tôt dans la journée faisant état de faits récents de violences de policiers à l'encontre d'autres détenus dans des établissements bruxellois.

Plusieurs patrouilles ont été dépêchées vers la prison, dont des renforts de la police de Namur, a-t-on appris auprès de cette dernière. La moitié des détenus (200 personnes) ont participé à ces émeutes. Deux ailes de la prison ont été complètement saccagées et le calme n'est revenu que vers 3 heures du matin. Selon le délégué syndical, il s'agissait au départ d'un mouvement de mauvaise humeur pacifique. Mais la situation a rapidement dégénéré et les agents pénitentiaires ont dû faire appel à la police fédérale pour calmer les détenus. Le délégué syndical, René Legros, précise que les détenus reprochaient essentiellement les insultes faites à l'égard de l'Islam. M.