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Des éditeurs scientifiques trop gourmands. Des éditeurs scientifiques trop gourmands n cnflt prfnd pps lsvr, l’n ds pls grnds dtrs scntfqs, n rgrpmnt d pls d 200 nvrsts llmnds, lsqlls xgnt n bss ds cûts d’bnnmnt t l pssblt d dffsr grttmnt n prt ds rtcls crts pr ds nvrstrs llmnds t pbls dns n ds rvs d’lsvr. C cnflt n’st ps prpr l’llmgn : ns, n Frnc, ls ngctns s tndnt ntr ls bblthèqs d mthmtqs t Sprngr, n ds trs très grnds dtrs scntfqs, tr ds mêms qstns. Rpplns q cs dtrs n snt ps ds phlnthrps : l tx d mrg rls pr l brnch scntfq d’lsvr tt, n 2016, d 36 %, pls lv q cl d’ppl, Ggl, mzn… Cs cnflts llstrnt ql pnt l mdèl cnmq ds rvs cdmqs n’st pls vbl. C mdèl prtnt t, t cntn ncr êtr, n src d prfts cnsdrbls pr ls dtrs. t cmmnt s’n tnnr ?

Ls trs snt ds chrchrs, l pls svnt pys pr l’tt ; lrsq’ls pblnt n rtcl dns n rv, ctt drnèr n ls rmnèr ps ; pr, c’st prfs mêm l’nvrs, crtns rvs xgnt n cntrbtn x frs d’dtn d l prt ds trs ; n rvnch, ls bblthèqs dvnt pyr ds bnnmnts très cûtx pr prmttr x chrchrs d’ccdr x rtcls pbls dns cs rvs. Privés de savoir #DATAGUEULE 63.

PublierLaScienceN08. 1 - Qu’est-ce qu’un éditeur prédateur ? / Eviter les éditeurs prédateurs / Publier et diffuser / Aide à la publication. Sur le web, les éditeurs de pseudo-revues scientifiques, ou éditeurs prédateurs (predatory scholarly open-access publishers, predatory publishers, predatory journals), profitent du modèle auteur-payeur de la publication en libre accès (open access – sur le libre accès (voir les fiches CoopIST : Les revues en libre accès et Archive ouverte). Le but de ces sites web est de gagner de l’argent sans se soucier de promouvoir ni de pérenniser les résultats de la recherche scientifique.

Leurs processus éditorial, gestion financière et fonctionnement sont opaques. Ils ne répondent pas aux recommandations éthiques et professionnelles de la publication scientifique (voir les recommandations du COPE et de l’ICMJE). Ces revues publient couramment des articles déjà publiés ailleurs (plagiat), de la pseudoscience, de faux résultats, des conclusions éthiquement inacceptables. DISTetude3.pdf. Papiers Dorés. Du-rififi-dans-l-edition.pdf. Bibliométrie. Les services de conservation et d’exposition de données : un guide pour les chercheurs SHS. Où en est-on des réseaux sociaux académiques ? Alors que l’utilisation des réseaux sociaux de chercheurs est toujours croissante, que les éditeurs s’y intéressent de plus en plus près et que les formations se développent, il nous semblait intéressant de refaire un point sur la question, un peu plus d’un an après un premier article « Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques ».

Où l’on parlera de réseaux sociaux académiques bien sûr, mais aussi de pratiques d’information des chercheurs, de publication scientifique et de repositionnement des éditeurs, d’archives ouvertes ou encore des professionnels de l’information… Etat des lieux Comme l’an dernier, ce sont toujours Academia et ResearchGate qui dominent largement le paysage : Academia a dépassé les 21,5 millions d’inscrits, soit un triplement depuis février 2014[1], et ResearchGate dépasse les 6 millions d’inscrits, soit un doublement sur la même période, laissant loin derrière leurs concurrents (70 000 comptes pour MyScienceWork).