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« Journée sans Facebook » : peut on parler d’addiction aux nouvelles technologies. L’initiative de la « journée sans Facebook » est un indice, parmi d’autres, d’une préoccupation grandissante autour des effets de l’usage abondant de certains services ou outils numériques.

« Journée sans Facebook » : peut on parler d’addiction aux nouvelles technologies

Le succès actuel de la notion de « binge watching » qui indexe la visualisation de séries télévisées sur la consommation excessive et répétée d’alcool en est un autre signe. La terminologie psychopathologique de l’addiction est aujourd'hui dans toutes les bouches : dans une enquête récente, nos interviewés se disent volontiers « addict » (à leur téléphone, à Facebook, à Twitter, aux séries TV…), de nombreux articles de presse fleurissent sur le sujet, des robinsonnades qui vantent les mérites de quelques mois « sans » ( internet, mobile, …) paraissent dans plusieurs pays (dont « J’ai débranché, Comment revivre sans Internet après une overdose », de Thierry Crouzet), et des études quantitatives mesurent désormais combien de français se déclarent « dépendants ».

Agir contre soi. Cyberdependance.ca - Quand l'utilisation d'Internet devient un problème. La cyberdépendance. Centres de désintoxication et nouvelles technologies. Les jeunes de plus en plus impliqués dans les nouvelles technologies Les addictions ne sont pas limités aux dépendances générées par les produits chimiques.

Centres de désintoxication et nouvelles technologies

Dans un centre de désintoxications comme CITA nous savons bien que les comportements peuvent aussi générer des comportements addictifs. Certains comportements, comme l'utilisation compulsive de nouvelles technologies (Internet, téléphones portables, jeux vidéo, réseaux de télévision, audio et vidéo portable), peuvent sérieusement interférer avec la vie quotidienne des personnes touchées. Par exemple, les adolescents et les jeunes espagnoles dédient aux nouvelles technologies (TV, Internet et mobile) 6 heures par jour, soit un quart de la journée, ce qui réduit le dévouement absolu à d'autres activités importantes (travail, études, relations ). Nomophobie.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nomophobie

La nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot a été inventé au cours d'une étude menée en février 2008 par la UK Post Office qui accrédita YouGov, une organisation de recherche basée au Royaume-Uni, pour observer les angoisses subies par les utilisateurs de téléphones mobiles[1]. Le terme est un mot-valise construit par contraction de l'expression anglaise « no mobile-phone phobia »[2] et désigne alors la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile[3],[4],[5].

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo. Fear of missing out. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fear of missing out

Les téléphones mobiles permettent aux gens de demeurer en contact constant avec leur réseau social et professionnel. Cela peut engendrer une consultation compulsive de peur de manquer quelque chose[1]. La peur de manquer quelque chose (FOMO, acronyme de l'anglais fear of missing out) est une sorte d'anxiété sociale caractérisée par la peur constante de manquer une nouvelle importante ou un autre événement quelconque donnant une occasion d'interagir socialement[2]. Cette peur est particulièrement nourrie par certains aspects de la technologie moderne, tels les téléphones mobiles et le réseautage social à l'aide de sites tels Facebook et Twitter, où l'utilisateur peut continuellement comparer son profil à celui d'autres utilisateurs[3].

Cyberdépendance. Bien qu'on puisse voir de temps à autres dans des reportages télé à la limite du voyeurisme, des cas pathologiques de personnes complètement accros à leur ordinateur au point de passer leurs journées entières devant la machine sans se laver pendant des semaines, on a tendance a beaucoup sous-estimer la dépendance à l'ordinateur en France et à penser que ce n'est le problème que de quelques adolescents dépressifs jouant à des jeux massivement multijoueurs (le plus connu étant world of warcraft).

Cyberdépendance

Or, comme pour d'autres dépendances, par exemple le café, l'alcool ou la cigarette, la cyberdépendance peut s'avérer plus ou moins envahissante selon les personnes. Notons qu'il existe une grande part de subjectivité dans l'appréciation de celle-ci. Certaines personnes passeront cinq heures par jour devant leur PC et ne considéreront pas cela comme un problème, alors que d'autres, passant deux heures par jour devant la machine penseront perdre trop de temps avec elle. Aide supplémentaire. Traitement des addictions comportementales. Le traitement des troubles provoqués par l’addiction aux nouvelles technologies commence par la reconnaissance du problème.

Traitement des addictions comportementales

Étant donné la nouveauté de ce problème, le diagnostic de cette pathologie est bien souvent complexe. Les personnes addictives ainsi que leur entourage se résistent à admettre la dépendance même quand le sujet présente clairement de l’anxiété lorsque l’accès à son activité lui est interdit. Il est nécessaire de clarifier la nature spécifique du problème ainsi que les autres difficultés associées. L’addiction aux nouvelles technologies, bien que récente, est un problème complexe qui est de plus en plus alarmant. L’addiction aux nouvelles technologies commence généralement avec l’adolescence. Certains comportements, surtout chez les adolescents, peuvent révéler une possible dépendance aux nouvelles technologies, comportements qui peuvent se transformer en une addiction, ce sont les suivants: