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Controverse numérique vs écologie

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Guide pratique face cachee numerique. Au CES de Las Vegas, la sobriété numérique n'a pas fait vendre. 2018 11 12 EJC Lyon Ferreboeuf. Consommation numérique : la fabrique à CO2(.0) Nous parlions ici même, hier après-midi, du récent rapport du GIEC, qui met en garde contre un emballement du réchauffement à plus de 2 degrés. Vous nous écoutiez, pour la plupart, via votre téléphone ou votre ordinateur, bref, sur un équipement numérique en podcast or pour obtenir ce podcast, hébergé sur un serveur de Radio France, l’acheminer jusqu’à votre téléphone, le lire, nous suivre sur Twitter, cliquer sur un certain nombre de liens.

Imaginez-vous le montant de votre facture énergétique individuelle ? C’est bien tout le problème du numérique qui représente aujourd’hui une part exponentielle de la consommation énergétique mondiale. Energie numérique : la fabrique à CO2.0 : c’est le coûteux problème que La Méthode scientifique va décortiquer dans l’heure qui vient. Le reportage du jour Écouter 7 min LA_METHODE_SCIENTIFIQUE - Reportage Hugues Ferreboeuf "Pour une sobriété numérique" Le fil de l'émission Les références musicales Le titre du jour : « Pocket calculator » par Kraftwerk.

Les énergivores : Web-série d'éducation à la maîtrise de l'énergie. Les connectés – Serveurs, tablette, smartphone et nuage. Qu’est ce que le cloud computing ? Autrement dit, en français, « l’informatique en nuage ». Ce concept désigne l’externalisation dans des serveurs distants du stockage d’informations ou de certaines opérations informatiques. Accéder partout, gratuitement, à sa messagerie c’est déjà « faire du cloud ». Cette technique a séduit les entreprises : elle leur évite d’acheter des serveurs, leur permet de mutualiser des moyens informatiques et de sécuriser leurs données. Le développement de l’informatique en nuage a considérablement fait augmenter le flux de données sur Internet. Où sont mes données ? Les données qui transitent par Internet sont stockées et générées dans des centres de données, couramment appelés data center. Ces équipements génèrent de la chaleur, or, il faut impérativement éviter leur surchauffe.

Du fait de son pouvoir calorique élevé et de sa disponibilité, l’eau est couramment utilisée pour refroidir les data center. (source : www.greenit.fr) Efficience énergétique. Authentication CAS nécessaire ! La COP21 dans l'École. Changement climatique : ce qu’il faut savoir, une exposition Quatorze panneaux d’exposition illustrent – avec cartes, graphiques et autres illustrations à l’appui – le réchauffement climatique dans sa complexité du phénomène et la COP21 dans leur contexte international avec outils d’expertise (GIEC), modalités d’actions (atténuation/adaptation) face au constat des impacts du changement climatique (sur la biodiversité, les océans, les littoraux, etc.).

Une exposition proposée par le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. Exposition sur le changement climatique Une exposition pour une prise de conscience et un changement de comportement COP21 – Le climat change. Et nous ? Océan et climat, une exposition Nausicaa L’océan est au cœur de la machine climatique. De la COP21 à la solidarité internationale.

Présentation de l'EDD - Les grandes thématiques du développement durable. Historique de la notion La notion de développement durable est formalisée en 1987, par le rapport des Nations Unies " Notre avenir à tous " , présidé par Gro Harlem Brundtland. Il y est défini en tant que "... développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d'accorder la plus grande priorité, et l'idée des limitations que l'état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l'environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. Ainsi, les objectifs du développement économique et social sont définis en fonction de la durée, et ce dans tous les pays - développés ou en développement, à économie de marché ou à économie planifiée.

Le développement durable se fonde ainsi sur les notions d'interdépendance et de solidarité. CIRIDD | Le centre international de ressources et d'innovation pour un Développement Durable. Actualité environnement et information - Enviro2B. Médiaterre - toute l'actualité du développement durable en langue française. Accueil. eBooks.

T.I.C. et développement durable: Les conditions du succès - Sylvie Faucheux, Christelle Hue, Isabelle Nicolaï. Ecoconception des services numériques. Livre blanc ecoconception des services numeriques 0. COP21 : le numérique, l’allié incontournable du développement durable ? - Hop-Cube - groupe GreenFlex. Les enjeux de la transition énergétique à la lumière des nouvelles technologies Dimanche 29 novembre, la 21e conférence des Nations Unies pour le climat à ouvert ses portes à Paris. L’enjeu : aboutir à un nouvel accord international sur le climat, applicable aux 196 signataires, pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2°. Chez Hop-Cube, deux sujets nous tiennent particulièrement à coeur : L’affichage environnemental appliqué aux produits de grande consommation, Le renforcement de la relation entre numérique et écologie.

À l’heure où le numérique révolutionne nos usages, nos rapports sociaux, nous sommes persuadés qu’il a un rôle majeur à jouer dans la définition des nouvelles solutions durables qui devront être amorcées à l’issue de cette Conférence Climat. Pourquoi ? Nous serons particulièrement attentifs à la place qu’occupera la mobilisation numérique dans les négociations et espérons que la COP21 répondra aux questions :

Développement durable et numérique : un impact qui n’est pas virtuel. Un point commun entre le numérique et le développement durable : ils ne connaissent pas de frontières. Mais finalement, est-ce le numérique peut-être perçu comme un accélérateur de la transition écologique ? Un accès plus aisé aux informations environnementales facilite nettement l’appropriation du sujet par chacun et donc une sensibilisation certaine. L’incitation et la sensibilisation semblent être les outils principaux afin de lutter contre le réchauffement climatique et plus largement afin de conduire les individus et les entreprises à des comportements plus « verts ».

L'épineux sujet de la "techno" Les questions restantes en suspens et auxquelles les COP successives ont tenté maintes fois de répondre, sont celles notamment de savoir vers quelle technologie doit-on se tourner afin de favoriser la transition écologique et énergétique, ou bien encore, plus largement quel est le réel impact du numérique sur le développement durable. Le numérique, un faux-ami ? Me Arnaud TOUATI. Smartphones, tablettes, écrans plats : la planète bradée pour la high-tech ! - Les Amis de la Terre. Internet. On estime aujourd’hui qu’environ 54 % de la population mondiale est connectée à Internet, soit plus de 4 milliards d’individus, et que 88 % des Français le sont, soit 57 millions de personnes. Quel usage en faisons-nous ? En 2018, le visionnage de vidéos occupe 58 % du trafic mondial avec Netflix dans le top 3 des sites les plus fréquentés en Amérique, en Europe et en Asie. Le gaming monte également en puissance, avec des jeux en ligne de plus en plus performants et appréciés du grand public.

Oui, on parle aussi bien des ados qui jouent à Fortnite que des plus âgés qui jouent à la belote en ligne. Si le streaming a le vent en poupe, le téléchargement (souvent via Torrent) n’est pas mort pour autant, avec 31 % du trafic montant en Europe . Google, Facebook et Apple (qui forment avec Amazon les GAFA) en ressortent en très bonne position avec, notamment, Youtube, iMessages, WhatsApp, Facebook, Instagram et Google, leaders dans leurs catégories. Le Désastre de l'école numérique, Philippe Bihouix, Documents. Pendant que certains cadres de la Silicon Valley inscrivent leurs enfants dans des écoles sans écrans, la France s’est lancée, sous prétexte de « modernité », dans une numérisation de l’école à marche forcée – de la maternelle au lycée.

Un ordinateur ou une tablette par enfant : la panacée ? Parlons plutôt de désastre. L’école numérique, c’est un choix pédagogique irrationnel, car on n’apprend pas mieux – et souvent moins bien – par l’intermédiaire d’écrans. C’est le gaspillage de ressources rares et la mise en décharge sauvage de déchets dangereux à l’autre bout de la planète. C’est une étonnante prise de risque sanitaire quand les effets des objets connectés sur les cerveaux des jeunes demeurent mal connus.

C’est ignorer les risques psychosociaux qui pèsent sur des enfants déjà happés par le numérique. Cet essai s’adresse aux parents, enseignants, responsables politiques, citoyens qui s’interrogent sur la pertinence du « plan numérique pour l’école ». Philippe Bihouix, 44 ans. Ecologie : le numérique fait partie de la solution, pas du problème. La révolution numérique est-elle soutenable ? Pour Jean Zin, chantre de l’écologie révolutionnaire, « le bilan énergétique du numérique reste positif et il est illusoire de penser s’en passer désormais ni même de croire qu’on puisse y être contraints (…) Non seulement le numérique ne pose pas un problème aussi important qu’on le dit, devenant de moins en moins polluant, mais surtout il fait plutôt partie de la solution« . La convergence entre ordinateurs et téléphones, le fait que 60 % de l’humanité utilise d’ores et déjà un téléphone portable, et que les pays pauvres, bien que dépourvus d’infrastructures, connaissent une croissance exponentielle en ce domaine, constituent, pour Jean Zin, « un événement considérable, véritable basculement anthropologique vers un homo numericus devenu une part de notre humanité (…) ce qui ne veut pas dire que cette universalisation du numérique ne poserait pas de problèmes écologiques mais qu’il faut les résoudre« .

Le coût environnemental et social des tablettes électroniques et smartphones. iPad© C. Magdelaine / notre-planete.info La dématérialisation[1] est souvent présentée comme la solution à la déforestation, à la destruction des milieux, etc. parce qu'elle permet de remplacer le support papier par des supports numériques. Pourtant, ces supports numériques sont eux bien matériels, et leur fabrication entraîne souvent l'abattage d'arbres ou la dégradation des écosystèmes sur les lieux d'exploitation des matières premières.

Il apparaît donc comme légitime de s'interroger sur l'empreinte écologique du high-tech, ses modes de production et la manière dont on le consomme. L'exploitation d'étain à Bangka : une activité désastreuse pour l'homme et l'environnement L'ONG de défense de l'environnement Les Amis de la Terre a enquêté durant plusieurs mois sur l'île de Bangka en Indonésie où se trouvent des exploitations de mines d'étain. Multiplication des produits high-tech et raccourcissement de leur durée de vie : une mauvaise configuration pour l'avenir Publicité ▴ Notes. Le désastre écologique de l'école numérique. Temps de lecture : 7 minutes La mise en place du plan en faveur de l’école numérique a entrainé de nombreux débats.

Nous republions ici un extrait du livre Le désastre de l’école numérique qui rappelle que la high-tech est loin d’être une industrie verte. La production d’équipements informatiques nécessite d’importantes ressources minières, leur usage consomme de l’électricité, ils n’ont pas permis de réduire la consommation de papier, et leur fin de vie pose des problèmes de retraitement pour les déchets d’équipements électriques et électroniques. Mais le numérique à l’école soulève aussi d’autres questions éthiques. Un désastre écologique Presque depuis son origine, et plus encore depuis qu’il a commencé à toucher tous les domaines de l’existence, le numérique est porteur d’un grand espoir quant à ses effets environnementaux bénéfiques.

Quelle responsabilité de l’école ? Mais pourquoi faire ce procès à l’école numérique ? Si, justement. Immatérialité et gratuité, une double illusion. Ordinateurs et téléviseurs, des énergivores qui pourraient faire mieux. Le numérique et le papier : le bilan écologique de nos supports de lecture. Center-pivot irrigation, NASA/Landstat,photo prise le 3 août 2011, CC. Un devoir d’agir Presque deux siècles et demi après la mise au point de la machine à vapeur, en 1776 – date qui, selon la convention, marque le début de l’ère industriel – nous assistons aujourd’hui à divers déséquilibres du biosystème planétaire : pollution de l’air, de l’eau et des sols ; destruction des habitats ; amoindrissement de la biodiversité ; épuisement des « ressources » naturelles ; accumulation de déchets non biodégradables ou toxiques ; dérapage du climat ; fréquence accrue d’événements météorologiques extrêmes.

Devant ce « cortège inouï[1] » de crises interspécifiques et environ­nementales, s’intéresser à son bilan écologique devient le devoir minimum de chaque individu, entreprise et collectivité. Ce constat s’applique bien évidemment au monde de l’édition ainsi qu’aux acteurs qui y sont associés (imprimeurs, distributeurs, libraires, bibliothécaires). Quelques précisions s’imposent. Matières premières.