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De -40 000 à 400 : Avec l'invention de l'écriture

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L'art romain

L'art celte. L'art grec. L'art égyptien. L'art sumérien. Frise des archers. Temple de Salomon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Temple de Salomon

Cet article ou une de ses sections doit être recyclé (indiquez la date de pose grâce au paramètre date). Une réorganisation et une clarification du contenu paraissent nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion ou précisez les sections à recycler en utilisant {{section à recycler}}. Temple de SalomonPremier Temple de Jérusalemבית המקדש Sa construction fait l'objet, dans la Bible hébraïque, des chapitres 6 à 8 du premier livre des Rois et des chapitres 3 à 5 du deuxième livre des Chroniques. Le compagnonnage et la franc-maçonnerie intègrent dans leurs rituels de nombreuses références au Temple de Salomon : le temple maçonnique en est parfois vu comme une reproduction symbolique. Dans la Bible[modifier | modifier le code] Avant le Temple[modifier | modifier le code] Le premier acte du Roi David en tant que roi d'Israël est de conquérir Jérusalem (alors appelée « Jébus ») et de la déclarer capitale de son royaume.

Palais royal de Mari. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Palais royal de Mari

Palais royal de MariPalais de Zimri-Lim Couloir à l'intérieur des ruines du palais royal de Mari Le palais mesure 200 mètres de longueur pour 120 de large. Il couvre un espace de 2,5 hectares, découpé en près de 300 pièces. Il disposait d'un étage, voire deux. Le découpage de l'espace intérieur est très bien connu, notamment grâce aux archives livrées par ce palais : plus de 15 000 documents, dont des milliers de tablettes sur la vie quotidienne du palais, avec notamment la liste des repas servis, avec des indications sur les ingrédients utilisés, témoignant du savoir-faire des cuisiniers de l'époque, et des tablettes sur les relations du roi avec son administration et les royaumes voisins.

On accède au palais par une porte située au nord de l'édifice. Cette construction est d'une grande qualité, pas seulement par son plan et sa remarquable organisation de l'espace. Palais de Mari. Mégalithe. Si le terme de « mégalithe » peut être utilisé pour décrire des monuments érigés partout sur la planète à différentes époques, l'attention des chercheurs se concentre sur les monuments les plus anciens correspondant au Mésolithique, au Néolithique, au Chalcolithique ou même à l'âge du bronze, suivant les régions.

Mégalithe

Pour certains chercheurs, il existe au Néolithique à côté de ces mégalithes, leurs équivalents en bois appelés, faute de terme créé pour les désigner, dolmens et menhirs en bois[1]. Extension du mégalithisme en jaune Origine géologique des mégalithes[modifier | modifier le code] Types de mégalithes[modifier | modifier le code] Le terme « mégalithe » recouvre différentes structures. Ces mégalithes peuvent être solitaires ou constituer des structures plus larges, comme des alignements, des cercles, des cairns, des galgals, etc. Dolmen de Monte Bubbonía (tombeau chambre), Sicile[6] Art rupestre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Art rupestre

Abri de Chimiachas, Espagne. R'cheg Dirhem, Algérie, bubale et personnage (L : 180 cm) L'expression « art rupestre » (du latin rupes, « roche ») désigne l'ensemble des œuvres d'art au sens large (sans appréciation esthétique) réalisées par l'Homme sur des rochers, le plus souvent en plein air. La plupart des auteurs l'opposent aujourd'hui à l'art pariétal (du latin parietalis, « relatif aux murs », art sur parois de grottes en intérieur), mais aussi à l'art mobilier (que l'on peut déplacer) et à l'art sur bloc[1].

Cette forme d'art occupe une part majeure dans l'art préhistorique. Selon le préhistorien Emmanuel Anati, il existerait 45 millions de peintures rupestres sur des rochers et dans des grottes, sur 170 000 sites de 160 pays[2]. Tablette d'ecriture (basse-mesopotamie) Dame de Brassempouy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dame de Brassempouy

La Dame de Brassempouy, appelée aussi Dame à la Capuche, est un fragment de statuette en ivoire. Datant du Paléolithique supérieur (Gravettien, 29 à 22 000 ans AP), elle constitue l’une des plus anciennes représentations réalistes de visage humain, et sans doute même, la plus ancienne mise au jour. Découverte[modifier | modifier le code] Cette dernière fut explorée dès 1881 par Pierre-Eudoxe Dubalen puis par Joseph de Laporterie et Édouard Piette à partir de 1894. La date des premières fouilles explique le peu d’attention porté initialement à la stratigraphie du site. Édouard Piette rapprocha ces statuettes des représentations animales du Magdalénien des Pyrénées et échafauda une chronologie théorique qui fut contredite par Henri Breuil.

Description[modifier | modifier le code]