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Global War

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(20+) Ventes d’armes : le grand boom des exportations françaises. Les exportations d'armement de la France entre 2010 et 2014 C’est un record que l’exécutif ne boude pas. Alors que François Hollande, avant de décoller pour l’Algérie, inaugure ce lundi le salon de l’aéronautique, civile et militaire, du Bourget, il pourra s’enorgueillir d’être le premier président à avoir exporté le Rafale. Doublant, au minimum, le montant annuel des commandes d’armement cette année. 2014 avait déjà été prospère pour les industriels de la défense, 2015 devrait battre tous les records : 15 milliards d’euros.

Hugo Meijer, chercheur au King’s College de Londres et rattaché à Sciences-Po, nuance un peu ce bilan : «Les exportations françaises d’armement sont 30 % plus basses en 2010-2014 que sur la période précédente, entre 2005 et 2009.» Plan B des pays arabes «Le Drian a pris le dessus» Les commandes annuelles d'armement français et les principaux pays vendeurs d'armes Mais les succès français s’expliquent aussi par des facteurs internes. Rafale : les dividendes de la guerre. Colonisation : le rapport explosif de l’ONU qui fâche Israël. Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone.

J'ai Un Doute Sur L'OTAN. Les armées secrètes de l’OTAN (VII) La guerre secrète en France par Daniele Ganser* S’il est un secret bien gardé en France, c’est celui de la sanglante guerre que les services secrets anglo-saxons ont conduit durant soixante ans à Paris pour maîtriser la vie politique nationale. En révélant les péripéties de cet affrontement historique, l’historien suisse Danièle Ganser souligne le rôle du gaullisme dans le projet national français : d’abord soutenu par la CIA pour revenir au pouvoir, Charles De Gaulle parvient à un consensus politique avec ses anciens camarades résistants communistes à propos de la décolonisation, puis chasse l’OTAN.

Il s’ensuit un conflit interne dans les structures secrètes de l’État ; conflit qui se poursuit encore. Cet article fait suite à : 1. « Quand le juge Felice Casson a dévoilé le Gladio… » 2. « Quand le Gladio fut découvert dans les États européens… » 3. « Gladio : Pourquoi l’OTAN, la CIA et le MI6 continuent de nier » 4.« Les égouts de Sa Majesté » 5.« La guerre secrète, activité centrale de la politique étrangère de Washington » Le Plan Bleu. Je suis quoi, qui suis je ? L’opium, la CIA et l’administration Karzai. En Afghanistan, l’OTAN lutte contre les champs de pavot cultivés par les insurgés et protège ceux de ses alliés L’important article d’Alfred McCoy paru sur TomDispatch, le 30 mars 2010 [1], aurait dû inciter le Congrès à se mobiliser pour procéder à une véritable réévaluation de l’aventure militaire états-unienne totalement inconsidérée en Afghanistan. La réponse à la question que pose son titre - « Quelqu’un est-il en mesure de pacifier le plus grand narco-État au monde ?

- trouve facilement sa réponse dans l’article : c’est un « Non ! » retentissant.... sauf à modifier fondamentalement les objectifs et les stratégies définis, aussi bien à Washington qu’à Kaboul. McCoy démontre clairement que : l’État Afghan de M. L’économie afghane est une narco-économie : en 2007, l’Afghanistan a produit 8 200 tonnes d’opium, représentant 53 % du PIB et 93 % du trafic d’héroïne mondial. Carte de l’Afghanistan montrant les plus grands champs de pavot, et l’intensité du conflit en 2007 et 2008. OPIUM CIA. PeterDaleScott-Diplomatie-Magazine-N51-WEB.pdf (Objet application/pdf)