background preloader

Applications et expérimentation

Facebook Twitter

Bienvenue à la version 4.0 des licences Creative Commons. Sortie d’une nouvelle version majeure des fameuses licences Creative Commons, assouplissant le droit d’auteur et mieux adaptées au partage de la culture sur Internet. Pour célébrer l’événement comme il se doit nous ne vous proposons pas une mais deux traductions issues du site officiel des Creative Commons. Dans la mesure où le sujet et les notions sont fortement juridiques, il est possible que notre traduction soit parfois sujette à caution. Nous vous invitons à signaler les potentielles améliorations dans les commentaires. PS1 : On notera que la question du droit moral, chère à la législation française, est évoquée mais nous n’arrivons pas à voir si cette nouvelle version l’impacte réellement chez nous. Un expert pour nous éclairer ? PS2 : Que ceci ne nous fasse pas oublier la Licence Art Libre (d’ailleurs Antoine Moreau nous annonce une excellent nouvelle sur Twitter : la compatibilité en vue entre la LAL et la CC By-Sa 4.0 !)

CC’s Next Generation Licenses — Welcome Version 4.0! Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 non transposé — CC BY-SA 3.0. La Norvège offre l'accès gratuit à sa littérature publiée avant 2001. Afin de réconcilier créateurs et Internet, rapporte l'AFP, la Norvège a pris l'initiative d'offrir en ligne un accès gratuit à presque tous les livres publiés dans le pays avant 2001. Un catalogue qui comprend notamment les chefs-d'oeuvre du Nobel de littérature 1920, Knut Hamsun, ou encore les premiers romans du roi du polar scandinave, Jo Nesboe. Des dizaines de milliers de titres, toujours sous copyright, font néanmoins chauffer les scanners de la Bibliothèque nationale norvégienne avec la bénédiction des ayants droit. CC by 2.0 par jayneandd Quelque 135.000 ouvrages sont d'ores et déjà disponibles via l'étagère à livres, tandis que ce chiffre devrait grimper à terme jusqu'à 250.000. On y retrouve de la littérature en langue norvégienne, mais aussi des traductions d'ouvrages étrangers.

Comme le précise Yngve Slettholm, directeur de Kopinor, « un best-seller est traité sur un pied d'égalité avec un almanach régional des années 1930 ». Espace Loggia se lance dans les meubles open-source. L'avenir du meuble est-il dans l'open-source ? Après la société britannique OpenDesk, qui a lancé une plateforme de mise à disposition de plans de meubles sous licences libres, avec la possibilité de réaliser soi-même les découpes et les assemblages ou de les faire réaliser dans un atelier ou par des artisans partenaires, c'est la société française Espace Loggia qui essuie les plâtres (ou plutôt la sciure) des meubles open-source.

Spécialisée dans la conception de meubles sur-mesure, fabriqués en France dans des bois nobles — un schéma radicalement opposé à la fabrication standardisée de masse d'un Ikea, Espace Loggia a lancé son projet open-source baptisé Open Loggia, qui vise à partager librement les plans de certains des meubles qu'il fabrique. Pour débuter, la société française a repris des plans de meubles conçus pour Mozilla par l'entreprise de design japonaise NODESIGNER.

Mais "il ne s'agit pas de tout mettre en open-source", prévient M. Malignac. CC Search. Wikidata, le Wikipédia que vous utiliserez bientôt tous | Hotel Wikipedia. Code source de nos innovations : Brest en biens communs. Reprise du début de l’ écrituresur le wiki des codes sources de nos innovations lire la suite Résumé Les années impaires, en alternance avec le Forum des usages coopératifs, la ville de Brest propose aux acteur-ice-s soucieu-x-ses de faire connaître et d’élargir les biens communs numériques d’organiser au mois d’octobre des rencontres, débats, initiatives. En 2011 pour la seconde édition un millier de personnes ont participé à l’une des trente initiatives. Au fur et à mesure de la diffusion des idées de partage et de coopération les propositions s’élargissent et touchent un public plus large au delà de la seules question du numérique.

Et en 2013, de nouveaux collectifs se crée tels ceux de Paris, Nantes et Lyon pour l’organisation d’autres "ma-ville-en-biens-communs". Pourquoi Brest en biens communs ? Cette initiative en faveur des biens communs numériques a été initiée à Brest en 2009 dans la suite des projets autour du libre et de la coopération. L’origine du projet : Le comment faire ?