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Design et libre

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École nationale supérieure de création industrielle. BTS Design de mode, textile et environnement option textile, matériaux et surface. BTS Design graphique option communication et médias imprimés. BTS Design de produits. BTS Design d'espace. DSAA Design - mention mode. Diplôme Supérieur d’Arts Appliqués spécialité Design - mention Mode et environnement Former des créateurs-concepteurs Depuis la rentrée 2011, le DSAA est reconnu par l’état au niveau I contre le niveau II jusqu’à présent.

DSAA Design - mention mode

BTS textile - matériaux - surface. BTS design de mode & environnement option textile - matériaux - surface Une approche sensible et prospective Cette formation en deux ans cultive une approche sensible et réflexive des matières et des matériaux en envisageant toutes leurs applications: vêtements, accessoires, maison, espace public, transports, alimentaire, cosmétique, événementiel, spectacles, communication, etc.

BTS textile - matériaux - surface

Au travers de projets l’étudiant apprend à penser le matériau dans son aspect, ses performances et ses usages, tout en développant une démarche créative et prospective qui prend en compte aussi bien les évolutions sociologiques et technologiques qu’esthétiques (couleur, texture, toucher, motif). Ce cursus ouvre naturellement à des poursuites d’étude en DSAA, Licences professionnelles et grandes écoles internationales, ou à une spécialisation en métier d’arts textiles. Les ateliers. Design et contrefaçon : démêler le vrai du faux. La chaise "DSW" de Charles et Ray Eames à 69euro, qui dit mieux ?

Design et contrefaçon : démêler le vrai du faux

Tentant - la version originale éditée par Vitra coûte 350euro - mais trompeur. Hébergé en Angleterre, où la loi est plus souple*, le site Internet qui vend cette copie a encore de beaux jours devant lui. Il y a aussi le site eBay où, pour écouler leurs stocks, les faussaires se font passer sans trop de difficultés pour des particuliers. Que font les éditeurs ? "On ne peut pas se battre sur tous les fronts, sinon on passerait notre temps à ça", reconnaît l'un d'eux, dépité. Les receleurs brouillent les pistes Alors que dans la mode la lutte contre la contrefaçon est organisée depuis longtemps, dans le secteur du meuble, on commence tout juste à s'agiter.

Un cas de contrefaçon porte atteinte à toute la profession de designer. Quelle différence entre ces deux lits ?

Un cas de contrefaçon porte atteinte à toute la profession de designer

L’un est une œuvre originale du designer Thomas de Lussac et fabriqué en France (en haut de l’image ci-dessus), l’autre est une copie conforme réalisée en Chine par la société Mobilier Moss (en bas). Le designer Thomas de Lussac vient d’être débouté en appel lors d’une action intentée pour contrefaçon de droits d’auteur et concurrence déloyale. 501bd9045616f_SyntheseFinaleEtudeEconomieDesignVF2logo. Définiton. Designer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Designer

Un designer[1], ou styliste[2], est une personne qui conçoit un produit en harmonisant les critères esthétiques et fonctionnels[3],[4]. Il est ainsi l'interface entre les services commerciaux qui déterminent les besoins des clients et les services de fabrication. Il réunit les impératifs des uns et des autres pour les formaliser en un produit « intelligent ». En anglais, le terme designer signifie simplement « concepteur », au sens large. Différents domaines[modifier | modifier le code] Les associations entre le terme « design » et une certaine démarche marketing nuisent à une bonne compréhension de ces métiers et peuvent mener à la confusion la plus complète. Branches du design. Le droit du "design" 1.1 - Aspects historiques et économiques.

Le droit du "design"

Jusqu'au début du XXème siècle, les préoccupations esthétiques en matière commerciale étaient assez rares. Seul l'aspect fonctionnel guidait l'apparence d'un produit ou de son conditionnement. La révolution industrielle allait changer la donne. Le design thinking au service de la qualité de vie au travail et de la performance économique. Encore trop peu connu en France, mais déjà très prisé dans le monde anglo-saxon, le design thinking est une méthodologie participative de recherche de solutions dérivée de la manière de concevoir des designers.

Le design thinking au service de la qualité de vie au travail et de la performance économique

Elle a pour spécificité de placer l'humain au cœur de la réflexion tout en se nourrissant des contraintes économiques et des opportunités technologiques. Les principaux atouts du design thinking sont : l’analyse approfondie des usages, des besoins, des émotions ; la recherche de sens ; le questionnement et la reformulation de la problématique donnée ; la conception participative et itérative (essais/erreurs/essais/…/réussite) ; la mise en forme. Le "Human-Centric Design", une éthique industrielle. Théorisé au début des années 2000 par le designer américain David Kelley, sous le nom de "Human-Centered Design", cette approche consiste à s’inspirer des habitudes humaines lors de la conception de produits, d’espaces ou d’interfaces.

Le "Human-Centric Design", une éthique industrielle

Ce recentrage de la création autour de l’individu a profondément révolutionné l’industrie du design. La création devient alors le reflet de l’utilisateur final et non plus celui, exclusif, du créateur. Cette prise en compte de l’utilisateur final fut si radicale que très rapidement l’expression même de "Human-Centered Design" se vit remplacée par "User-Centered Design", l’utilisateur et ses habitudes venant symboliquement se substituer à l’humain. Plaisir, instinct, récompense et appropriation devinrent par là même le credo des nouveaux experts de l’expérience utilisateur. Transformer l’utilisateur en collaborateur C’est cette méthodologie qui, en 10 ans, a révolutionné l’informatique en soutenant les innovations techniques.

Manifeste du design libre. Un article repris du siteNod-A et publié sour une licence cc by sa nc Dans La culture de marché d’aujourd’hui, les designers doivent s’en remettent aux éditeurs pour exprimer leur créativité.

Manifeste du design libre

Les éditeurs, qui ont le pouvoir de controler tous les aspects du produit sont les geoliers de la créativité, décidant ce qui devrait offert aux consommateurs et de quelle manière. Cette situation trouve ses racines dans le système éducatif ou l’on apprend aux designers à canaliser leur créativité dans des scénarios de production industrielle et à accepter que les éditeurs aient le droit de réguler le design et de l’endoctriner par leurs valeurs et finalités. Les approches nouvelles et les points de vues alternatifs sont marginalisés car ils ne se conforment pas aux dogmes de l’église du design industriel. L’open design ou design libre est une proposition répondre à ce défi. Fab lab. Un fab lab (contraction de l'anglais fabrication laboratory, litt. « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[1] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[2] en proposant un inventaire minimal[3] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[4], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[5].

Fab lab

Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[6] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[7]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[8]. Historique[modifier | modifier le code] Fab Lab. Vers un design libre. Christophe André est designer militant. Au cours de ses études en école d’ingénieur, on lui demande un jour de concevoir un objet ayant une durée de vie limitée.

Cette confrontation à l’obsolescence programmée, au cœur du système de production, axera par la suite sa recherche artistique. Il quitte le monde des ingénieurs pour celui des Beaux-Arts, où il entame une réflexion sur l’autoproduction et ce nouveau mode de diffusion des objets : le “design libre”. Conférence sur le "design libre" Division du travail. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Genèse du concept[modifier | modifier le code] De la division du travail social. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De la division du travail social a été écrit en 1893 par Émile Durkheim, sociologue français, considéré comme le père fondateur de la sociologie française.

Cet ouvrage, issu de son travail de thèse, est encore aujourd’hui une référence dans le champ de la sociologie. À l’origine de ce texte, une inquiétude – qui parcourra l'ensemble de l’œuvre de Durkheim – sur la cohésion sociale dans nos sociétés modernes en cette période d’industrialisation et d’urbanisation. Durkheim constate, fin XIXe siècle, que les individus sont de plus en plus différenciés, que les consciences individuelles s’autonomisent de façon croissante. Communisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le communisme (du Latin communis – commun, universel) est, dans son sens théorique initial, l'idéal d'une société sans classes et d'une organisation sociale sans État ni monnaie, où la propriété privée serait abolie au profit de la communauté des biens matériels.

Plus largement, le terme recouvre, dans son sens contemporain, l'ensemble des mouvances politiques ayant proclamé vouloir réaliser cette société égalitaire, y compris, sur le plan concret, les régimes communistes dictatoriaux ou totalitaires, qui se sont présentés comme « démocratiques »,« populaires » et « socialistes ».