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La société de la requête (4/4) : Comprendre Google « InternetAct. Par Hubert Guillaud le 17/12/09 | 7 commentaires | 1,599 lectures | Impression La machine à globaliser : réinterpréter les résultats des machines Pour la chercheuse Esther Weltevrede, membre de GovCom.org, une association hollandaise dédiée à la création d’outils politique en ligne, et de l’Initiative Méthodes numériques (Digital methods initiative), la question clef à se poser est “quel type de machine à globaliser est Google ?”

La société de la requête (4/4) : Comprendre Google « InternetAct

Image : Esther Weltevrede photographiée par Anne Helmond. Si le PageRank est considéré comme un système de classement mondial de toutes les pages web, conçu pour toutes les informations du monde, que se passe-t-il quand Google passe à l’échelle locale ? Qu’arrive-t-il aux résultats locaux ? Elle a ainsi comparé les 10 premiers résultats à la requête “droits de l’homme” dans chacun des Google nationaux. En exécutant une requête sur le terme “droits” Esther montre que ceux qui arrivent en tête de résultats sont assez différents d’un domaine local à l’autre. Une société de la requête (1/4) : De la Googlisation de nos vies. En 2008, Geert Lovink, animateur de NetworkCultures, l’Institut des cultures en réseau, a publié, un intéressant essai sur la Société de la requête et la Googlisation de nos vies.

Une société de la requête (1/4) : De la Googlisation de nos vies

Dans cet article, il adressait de pertinentes question à notre dépendance à Google et tentait de faire le point sur les rares critiques à l’encontre de l’Ogre de Mountain View. En ouverture d’un dossier sur Google et les moteurs de recherche, la traduction de cette article nous a semblé une première adresse importante. Traduction. La société de la requête et la Googlisation de nos vies Un hommage à Joseph Weizenbaum. Un spectre hante les élites intellectuelles du monde : la surcharge d’information. Avec l’augmentation spectaculaire des informations accessibles, nous sommes devenus accros aux outils de recherche.

Image : Geert Lovink introduisant le colloque sur la Société de la requête, en nombre dernier, photographié par Anne Helmond. L’art de poser la bonne question Ne cherchons plus, interrogeons. Une société de la requête (3/4) : Subvertir Google « InternetAct. Par Hubert Guillaud le 16/12/09 | 6 commentaires | 1,523 lectures | Impression “Pourquoi sommes-nous si passifs à faire respecter nos droits ?”

Une société de la requête (3/4) : Subvertir Google « InternetAct

“Dans une société de la requête, il est intéressant de se demander ce qu’il advient de toutes ces requêtes : quelles normes juridiques s’appliquent aux enregistrements, aux traitements et à l’accès de ces requêtes et si ces normes sauvegardent avec succès les intérêts les plus fondamentaux des utilisateurs des moteurs de recherche”, explique Joris van Hoboken, de l’Institut pour le droit de l’information d’Amsterdam, qui a publié une thèse sur les moteurs de recherche et la liberté d’expression. La vie privée existe-t-elle encore dans un environnement où tout devient cherchable ?

Image : Joris van Hoboken photographié par Anne Helmond. Construire des alternatives Michael Stevenson, étudiant au Département d’études des médias de l’université d’Amsterdam, a présenté une sélection de projets artistiques et activistes liés à la recherche sur le web.