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Datak : un jeu pour apprendre l'enjeu de la protection des données personnelles - Politique. À l'issue d'un long travail d'enquête sur la protection des données personnelles, la Radio Télévision Suisse a concocté un jeu vidéo baptisé Datak. Le but ? Sensibiliser sur cet enjeu tout en s'amusant. Vous ne le savez peut-être pas, mais le 28 janvier est la journée internationale de la protection des données. Aussi, pourquoi ne pas en profiter pour bénéficier d’un cours sur cette problématique tout en s’amusant ?

Justement, joindre l’utile à l’agréable, c’est ce que propose Datak, un jeu pour navigateur développé par la Radio Télévision Suisse (RTS) et disponible depuis décembre. Le principe de Datak est le suivant : « Fraîchement engagé en tant que stagiaire par le maire d’une ville pour gérer les réseaux sociaux, vous êtes confronté à plusieurs dilemmes au quotidien. D’importantes décisions sont à prendre (de votre vie privée aux choix pour la collectivité), rythmées par un redoutable chrono et ponctuées de vidéos de youtubers ». Quelles informations transmettez-vous à Facebook en partageant vos photos ? Nous avons déjà rédigé plusieurs articles sur Siècle Digital concernant les informations personnelles que nous pouvions transmettre en étant utilisateurs des plateformes sociales. C’est le cas notamment avec Facebook qui récolte énormément d’informations à propos de ses membres.

À travers l’ensemble des interactions des utilisateurs sur les plateformes : Facebook et Instagram. Ces données permette à la plateforme sociale de « catégoriser les utilisateurs » selon ses centres d’intérêts. C’est d’ailleurs le sujet d’un précèdent article sur une extension Google Chrome permettant de voir dans quelles catégories Facebook vous a mis. Comme nous l’avons dit plus haut, ce sont nos interactions sur Facebook (et Instagram) qui nous font rentrer dans telles ou telles catégories / centres d’intérêt. En effet, depuis le mois d’avril 2016, Facebook utilise une IA permettant d’écrire automatiquement une description de vos photos partagées sur la plateforme. Les nouvelles frontières de la social data - ZDNet. En 2010, Sitaram Asur et Bernardo A.

Huberman, deux chercheurs du Social Computing Lab d’HP, écrivent un article de recherche au titre volontairement provocateur : prévoir le futur avec les réseaux sociaux. En analysant l’empreinte de 24 sorties de films sur Twitter, ils parviennent à montrer que les données issues des réseaux sociaux sont plus efficaces que les données de bases du marketing pour prévoir le succès commercial d’un film. En clair, ils parviennent à corréler mathématiquement l’attention que reçoit un film sur Twitter avec son succès en salle. Leur conclusion est sans appel : « même si nous avons concentré notre analyse sur la prédiction des revenus du cinéma pour cet article, la méthode que nous avons mise au point peut être utilisée pour tout autre produit de consommation. » L’impact de cet article est colossal.

Prévoir l’avenir ? Quel est alors leur domaine de pertinence ? « On a vu que la social data servait à quelque chose » « J’essaie de modéliser le sarcasme » L’ère des images invisibles. Pour l’artiste Trevor Paglen (@trevorpaglen, Wikipédia), qui s’intéresse depuis longtemps à la surveillance de masse (voir le portrait de lui que réalisait la Gaîté Lyrique), la culture visuelle, radicalement transformée par le numérique, est pourtant en grande partie devenue invisible. « Une majorité écrasante d’images sont désormais faites par des machines pour d’autres machines, mettant rarement des humains dans la boucle », explique-t-il dans le New Inquiry. Nous entrons dans l’ère des images invisibles !

L’image n’est plus produite pour être regardée par des humains Les spécialistes de la culture visuelle pensent que la relation entre les humains et les images a changé avec l’arrivée du numérique, c’est certainement vrai reconnaît Paglen, mais la révolution n’est peut-être pas où l’on pense. « Ce qui est vraiment révolutionnaire dans l’avènement des images numériques, c’est qu’elles sont fondamentalement lisibles par des machines », indépendamment du sujet humain. Hubert Guillaud. Infobésité et big data : faites parler les données! – Ludovia Magazine. Share Tweet Email Stéphane Chauvin dirigeant de la société R2C System et de mydataball.com est venu témoigner de son point de vue en tant que représentant de la filière numérique, sur la thématique de cette année à savoir le big data.

En effet, le c2E, au-delà des chercheurs, fait venir de nombreux intervenants extérieurs pour ouvrir les points de vue sur la thématique. « Nous sommes des industriels de l’analyse et nous avons une mécanique qui va prendre depuis les données jusqu’aux besoins des décideurs à transformer la donnée en connaissance utilisable et pertinente« . Exemples de ce travail et utilisation concrète de la data illustrés par le propos de Stéphane Chauvin dans la vidéo ci-contre. Tous les sujets, articles et vidéos réalisés sur le C2E 2016 sont à retrouver dans notre dossier spécial ici. A propos de mydatball.com : mydataball.com lu : 727 fois.