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Apprentissage

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Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene) La Théorie Anthropologique du Didactique et la Théorie des Situations Didactiques - Ecole Normale Supérieure de Lyon. Cette cinquième session se déroule en deux temps. La journée du 10 avril est consacrée aux travaux d'Alain Mercier, professeur émérite à l'ENS de Lyon depuis le 1er septembre dernier. Les 11 et 12 avril, elle poursuit les travaux engagés lors des quatre précédentes sessions. Un fil rouge assure une continuité entre ces deux moments : le questionnement des méthodologies de recherche en éducation.

Une nouvelle session dans la continuité des quatre sessions précédentes En novembre dernier, la quatrième session du séminaire a traité deux thématiques (les "sciences de l'apprendre" et les relations entre politiques, recherches et pratiques). L'enquête en méthode La session d’avril 2013 vise à interroger les méthodologies dans leurs usages pratiques : autrement dit, comment "monter en généralité" les données produites par ces différentes méthodes de recherche, de telle sorte qu’elles puissent contribuer à l’amélioration de la compréhension des situations d’enseignement et d’apprentissage ? [Yves Chevallard - Textes et publications] Passé et présent de la théorie anthropologique du didactique. Learning Theories Main Map. Introduction à la pensée systémique. 201709. Est-ce que les circonstances de vie dans l’adolescence prédisent la capacité de résilience des individus ?

Lien court vers cet article : La résilience désigne en psychologie la capacité d’un individu à faire face à un événement générateur de stress, comme un divorce, un licenciement ou un accident. Un individu résilient sera mieux armé pour naviguer dans un environnement économique et social incertain et fluctuant, générateur de ruptures, marqué par la nécessité de « rebondir » plusieurs fois au cours de sa vie professionnelle ou affective. Il est donc important de connaître les facteurs qui peuvent déterminer la capacité de résilience des individus. Si la résilience est une compétence qui se forme durant l’enfance et l’adolescence, en relation avec le milieu social, familial et l’école, alors elle pourrait être l’objet de politiques publiques visant à corriger les inégalités de résilience entre enfants. ......................

La recherche, une question de stratégie. Taxonomie de Bloom révisée (Anderson et al.) — ted6210. Appellation en anglais Bloom's Taxonomy revised by Lori Anderson and David R. Krathwohl in 2001. Stratégies apparentées La Taxonomie de Benjamin S.

Type de stratégie La Taxonomie de Bloom révisée par Lori Anderson et David R. Types des connaissances Les quatre types de connaissances (factuelles, conceptuelles, métacognitives, procédurales) peuvent s'appliquer dans la Taxonomie de Bloom révisée, dépendamment des connaissances visées par la tâche dans les activités pédagogiques. Ceci étant, il faut souligner que les connaissances sont souvent reliées "indirectement" ou "directement" entre elles. Selon Cantin et Frigon (2010), plus un élève maîtrise un concept, une notion, mieux il pourra l'appliquer, puis s'en servir pour analyser une situation, évaluer un problème, choisir une solution et être créatif (ve). La taxonomie de Bloom révisée et les TIC, Judith Cantin (CSSMI) et Nathalie Frigon (CSMB) Description Section à compléter Conditions favorisant l’apprentissage Technologies éducatives.

NEUROSCIENCES, NEUROMYTHES et science de l'éducation E; Tardif. Neurosciences, neuromythes et sciences de l'éducation. Éric Tardif et Pierre-André Doudin Prismes - Revue pédagogique HEPL, n° 12, pp 11-14, 05.2010 Télécharger l'article Certaines méthodes, programmes et activités éducatives sont présentés aux enseignants comme étant le fruit de recherches scientifiques sur le cerveau. Les créateurs de ces méthodes prétendent qu’elles favorisent un meilleur apprentissage. Pourtant, ces méthodes ne sont ni basées sur des évidences empiriques ni supportées par la communauté scientifique. Les neurosciences cognitives et les sciences de l’éducation partagent des intérêts communs : l’apprentissage, la mémoire, le langage, les émo­tions, le comportement, etc. Brain Gym® Brain Gym® est un programme commercial d’entraînement présentant une série de 26 exer­cices simples développés par Dennison (1980) sous l’appellation de « kinésiologie éducative ».

Cerveau gauche, cerveau droit Visuels, auditifs, kinesthésiques (VAK) Neurosciences et sciences de l’éducation : voies prometteuses Éric Tardif, Ph. Bibliographie [1] . Neuromythes et enseignement. De récentes études ont montré que les enseignants croient souvent à des neuromythes, c’est-à-dire à de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau,. Ces neuromythes peuvent s’avérer problématiques pour la réussite des élèves, parce qu’ils peuvent orienter les pédagogues vers des pratiques d’enseignement qui ne sont pas entièrement compatibles avec le fonctionnement du cerveau de leurs élèves.

Pour cette raison, dans cet article, les trois neuromythes les plus fréquents en éducation sont présentés et discutés. Le premier concerne les styles d’apprentissage, le deuxième est lié à la notion de« cerveau gauche et cerveau droit » et le troisième touche aux exercices de coordination visant l’optimisation du fonctionnement cérébral. Neuromythe 1 : Les élèves apprennent mieux lorsqu’ils reçoivent l’information dans leur style d’apprentissage préféré (ex. auditif, visuel ou kinesthésique).

Il est temps d’abandonner ces neuromythes au profit d’une pédagogie plus efficace. Conclusion. Neuromythes, des croyances infondées sur le cerveau… Bf6id neuromythes neuroe ducation que bec. 5 neuromythes invalidés par les neurosciences. Steeve Masson explique dans cette vidéo qu’il existe beaucoup de fausses croyances sur le cerveau qui sont en fait des neuromythes. 1. Les styles d’apprentissage Les recherche en neurosciences n’ont pas encore réussi à démontrer qu’il existe des styles d’apprentissage propres à chaque individu (auditif, visuel, kinésthésique).

Aucun neuroscientifique ne peut affirmer que les apprentissages seront plus profonds et plus durables si un enseignant enseigne exclusivement en fonction du style d’apprentissage. En revanche, il est vrai que nous apprenons tous par différents canaux : par la vue, par l’oreille, par le mouvement. Il serait alors plus judicieux d’inciter les apprenants à combiner plusieurs manières d’apprendre dans l’idée. Nous n’avons pas un seul et unique mode d’évocation. 2. Les chercheurs en neurosciences n’ont jamais réussi à démontrer qu’une personne pourrait être « plutôt cerveau gauche ou plutôt cerveau droit ». 3. . : Brain Gym® : l’importance du corps pour apprendre. 4. 5.

Ja197 p060 favre. Neurosciences et salle de classe : beaucoup de bruit, peu d’effets. L’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) annonçait en 2007 la naissance d’une science de l’apprentissage qui aurait pour parents les neurosciences et l’éducation. Si on arrivait à mieux comprendre comment fonctionne le cerveau, les enseignants pourraient alors adapter leurs pratiques pédagogiques. Évidemment, tout ça n’est pas si simple. C’est ce que nous expliquent Marie Gaussel et Catherine Reverdy, suite à la publication d’un dossier sur ce sujet.

Nous nous sommes intéressées aux domaines éducatifs sur lesquels les neurosciences pouvaient avoir un impact : que se passe-t-il dans le cerveau quand on apprend à lire ? À parler ? Comment fonctionnent les mémoires ? Peut-on apprendre tout au long de la vie ou tout se joue-t-il avant 3 ans ? Nos capacités cognitives sont-elles mobiles et évolutives ou bien sont-elles fixées depuis la naissance ? Marie Gaussel Et la salle de classe, peut-elle devenir un laboratoire ? Catherine Reverdy Pour en savoir plus. Lieury a psy cognitive diapo 1 2. Neurosciences, la classe un laboratoire ? Introduction au dossier. Les neurosciences, et en particulier les sciences cognitives, ont le vent en poupe auprès des décideurs politiques qui semblent en attendre beaucoup (trop ?).

Les enseignants, eux, restent circonspects, car nos classes ne sont pas des laboratoires et nos élèves ne sont pas des cobayes ! Les neurosciences n’ont pas le pouvoir de nous dicter comment faire “scientifiquement” la classe. Certes, le cerveau est fortement utile et sollicité dans le cadre scolaire, mais beaucoup d’autres éléments sont à prendre en compte.

On sait par exemple que la qualité des relations, que le climat de la classe et de l’établissement sont essentiels. De plus, la compréhension du fonctionnement de notre cerveau n’en est qu’à ses balbutiements, nous commençons à peine à en saisir certains aspects tout en tentant de nous débarrasser des fameux “neuromythes”. Ce n’est évidemment pas une raison pour rejeter par principe les neurosciences ! Crédit image : Pixabay CCO Public Domain WordPress: J'aime chargement… M?thodes pour m?moire ? long terme inserm. 5 stratégies de mémorisation plus efficaces que la relecture simple. Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable.

En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture. Le seul contexte dans-lequel des relectures peuvent être efficace est dans le cas de relectures espacées dans le temps et régulièrement réactivées.) Toutes ces stratégies d’apprentissage préconisées par les sciences cognitives ont en commun de : -s’entraîner à se remémorer les nouveaux apprentissages grâce à une auto évaluation -espacer les séquences d’entraînement. Semaine du cerveau : Dehaene ouvre un site pour les enseignants. Quel parent ou enseignant n’a rêvé d’élucider le cheminement mental qu’emprunte le cerveau d’un enfant qui apprend à parler, marcher, lire, écrire, compter, interagir ? La recherche française sur le cerveau est en pointe dans ce domaine.

Toutefois, les avancées scientifiques restent souvent méconnues ou mésinterprétées. Des chercheurs issus de plusieurs laboratoires viennent de créer le site "Mon cerveau à l’école" pour combler le fossé qui sépare la recherche et les citoyens, surtout les enseignants et parents d’élèves. L’unité INSERM/CEA de Neuroimagerie cognitive est le principal artisan du site www.MonCerveauALecole.com. Ce laboratoire est situé à NeuroSpin, la première plateforme européenne en imagerie cérébrale. Elle est animée et utilisée par des équipes multidisciplinaires en France et à l’international. Les résultats des sciences cognitives peuvent-ils être traduits en classe ? En revanche c’est aux enseignants d’en tirer les conclusions pratiques pour la classe.

Rémi Brissiaud. Semaine du cerveau : Dehaene ouvre un site pour les enseignants. Mémoire, attention et rythmes scolaires. Ce qu’on sait sur les rythmes de l’enfant et du jeune nous donne-t-il des indications sur les facteurs favorables d’une part à l’attention, d’autre part à la mémorisation ? Y aurait-il des heures plus favorables, des conditions à réunir... ? Les recherches sur les variations de la vigilance au cours de la “phase éclairée” font ressortir quatre moments particuliers : après le réveil du matin, il faut plus ou moins de temps pour que la vigilance comportementale d’un enfant active un niveau d’attention sélective qui lui permette de se concentrer sur un élément de l’environnement, une activité, une personne ...

Pour un réveil entre 06h.30-07h, ou un peu plus tard, certains enfants apparaissent vigilants dès l’entrée en classe à 08h.30 ou plus tôt, en tout cas entre 08h.30 et 09h.00, alors que d’autres ne le sont pas avant 09h.30, parfois plus tard. Est-ce que la concentration du temps scolaire sur un nombre restreint de journées est un obstacle direct à la mémorisation ? Adolescent et sommeil. La qualité du sommeil dépend de la bonne synchronisation des horloges biologiques. Dormir ne se commande pas à volonté ... Le rythme de vie et les caractéristiques du sommeil de l’adolescent favorisent l’apparition de troubles du sommeil par déphasage de ces horloges. Le non respect des "portes" physiologiques qui autorisent, ou non, le sommeil peut entrainer une insomnie d’endormissement, plus ou moins associée à de la somnolence diurne, de la fatigue et des troubles fonctionnels.

Il faut savoir interdire la grasse matinée trop tardive (si possible lui préférer la "grasse soirée") et bien connaitre les vertus, mais également les précautions d’emploi et les contre-indications de la sieste (le meilleur médicament de la somnolence). À l’inverse de l’insomnie, la somnolence excessive diurne toucherait plus d’un adolescent sur deux. La privation chronique de sommeil occasionne des troubles de l’attention et du contrôle des émotions qui font de cet âge une période parfois très difficile. NB. La neuroéducation. La neuroéducation. Untitled. Neurosciences et éducation - batailles de cerveau - 86 septembre 2013. La charge cognitive: Théorie et applications - Lucile Chanquoy, André Tricot, John Sweller - Google Books. Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene.

Métacognition et théorie de l’esprit - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 25 janvier 2011 09:30. La métacognition consciente implique de se représenter son propre esprit en train de représenter une information (« je crois avoir oublié mes clés »). Le format de ces méta-représentations semble très similaire à celui que l’on suppose sous-tendre la représentation des pensées d’autrui (« il croit que j’ai oublié mes clés »). Dans les deux cas, la représentation mentale doit spécifier l’agent (moi ou un autre), l’attitude mentale (croire, savoir…), et la proposition examinée.

Se pourrait-il donc que nous utilisions le même format de représentation mentale et les mêmes aires cérébrales pour représenter notre esprit et celui des autres ? La réflexion métacognitive consciente et la « théorie de l’esprit » (theory of mind) feraient-elles appel, au moins en partie, aux mêmes mécanismes ? Plusieurs arguments empiriques suggèrent effectivement que la connaissance de soi et la connaissance de l’autre sont étroitement liées. Apprendre a apprendre AnneBurban ESEN janvier2016. Je zappe, j'apprends ? André Tricot Interview d'André Tricot, Maître de conférence à l'IUFM de Bretagne. On idéalise facilement ce que serait l’apport éducatif du Web ou d’un document hypermédia pour un élève : un cheminement intuitif mais créateur, une juxtaposition fructueuse de différents médias, la possibilité de créer du lien grâce à l’interactivité.

Or, on est plutôt tenter de rapprocher le comportement d’un élève au travail devant un outil multimédia du zapping télévisuel, considéré – à tort ou à raison – comme une stratégie d’évitement et une perte de temps. Sentiment de déception, donc. Nous avons voulu cerner cette notion de zapping avec André Tricot, du centre de recherche en psychologie, cognition et communication (IUFM de Bretagne et université Rennes 2). A-t-on raison de parler de zapping ? André Tricot : Je crois qu’il vaut mieux parler de navigation à la surface des documents : on descend très peu dans la profondeur du document, dans la profondeur du contenu.

Pour le zapping, c’est la même chose. Cognition, cerveau, éducation. Une sélection de contributions et d'idées entre recherche et application. Sciences cognitives et éducation. Journées organisées par le Ministère de l'EducationNationale avec la Chaire de Psyshcologie Expérimentale du Collège de France La recherche accorde une place de plus en plus importante à l'appréhension des mécanismes cognitifs appliqués à l'éducation et il paraît essentiel de confronter les résultats majeurs de ces études scientifiques aux pratiques d'enseignement en classe. En effet, connaître le fonctionnement psychique et cognitif de l'élève est fondamental pour l'enseignant en ce que cela lui permet d'adapter son enseignement et de créer des conditions optimales d'apprentissage. Consulter la page dédiée au séminaire sur le site web du CRDP de Paris Sciences cognitives et éducation.

Première journée Programme Présentation (Jean-Michel Blanquer) vidéo Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene) vidéo support Quels sont les mécanismes par lesquels l’éducation modifie le cerveau de l’enfant? Apprendre l'orthographe. Conférences plénières. Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene)