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Religions

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Krishna. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origines[modifier | modifier le code] La première mention de Krishna se trouve dans le Rig-Veda (Mandala VIII, 3-4) comme nom d'un sage, mais aussi celui d'un açoura. Dans l'hymne védique, on trouve le récit d'une défaite de 50 000 krishna et de leurs familles par le dieu Indra. Les populations qui peuplaient la plaine gangétique avant l'arrivée des aryens ont une carnation foncée qui serait ainsi à l'origine du nom de Krishna. On le retrouve ensuite comme fils de Devakî et érudit dans un texte antérieur à la rédaction finale du Mahābhārata, la Chhândogya Upanishad, puis, à partir de là, il accède au statut de divinité dans des textes comme le Harivaṃśa, un ajout tardif au Mahâbhârata qui raconte l'enfance du dieu chez les bouviers, ou comme le Gita-Govinda qui narre les péripéties de sa vie amoureuse avec les gopis. Aspects principaux[modifier | modifier le code] Ses principaux aspects : La vie de Krishna[modifier | modifier le code]

Sikhisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Khaṇḍā est le symbole du sikhisme. Le mot « sikh » est dérivé du mot sanskrit शिष्यः (śiṣya) signifiant disciple ou étudiant, ou de शिक्ष (śikṣa), signifiant étude ou instruction[1]. L'expression du monothéisme des Sikhs réside dans le symbole ੴ - ek Ong Kar, que l'on peut traduire par « une seule (ek) conscience créatrice (ong) manifestée (kar) ». Transcrit littéralement cela revient à dire "l'âme de dieu". La doctrine du sikhisme se fonde sur les enseignements spirituels des Dix gurûs, recueillis dans le Siri Guru Granth Sahib.

Histoire[modifier | modifier le code] Gurû Nanak (1469-1539), fondateur du sikhisme, est né dans le village de Talwandi, nommé maintenant Nankana Sahib, près de Lahore, dans l'actuel Pakistan. Après plusieurs années de voyage, Guru Nanak réunit une communauté et fonde un village, Kartarpur - la Ville du Créateur. Religion et philosophie[modifier | modifier le code] La religion sikh est strictement monothéiste[5]. Jaïnisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une statue d'Ajitnath, deuxième Tîrthankara, « créateur de chemin », du cycle du temps jaïn actuel. Le jaïnisme ou jinisme (du sanskrit Jina, « vainqueur ») est une religion qui aurait probablement commencé à apparaitre vers le Xe siècle ou IXe siècle avant notre ère[1], dont les origines sont peu connues, qui serait venue de l'animisme et qui prend ses racines dans la plus haute antiquité[2].

Le jaïnisme ou dharma jaïn compte près de six millions de fidèles dans le monde, ascètes et laïcs confondus, en majorité en Inde[3] (30 000 en Europe et 100 000 aux États-Unis[4],[5]). Histoire[modifier | modifier le code] La communauté[modifier | modifier le code] Si d'époque en époque les Acharyas jaïns ont enseigné la foi, cette religion vit surtout à travers ses rituels religieux réunissant laïcs et moines-ascètes itinérants. La philosophie jaïne[modifier | modifier le code] Symbole Jaïn ; le svastika est un symbole majeur du jaïnisme. Hindouisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « bon article ». La particularité de l'hindouisme est de n'avoir ni prophètes ni dogmes centraux[7]. Cependant, les hindous contemporains croient en l'autorité du Veda, qui, selon la tradition, fut révélé aux hommes, grâce à la « vision » des Rishi[8].

Le terme persan hindu (du sanskrit Sindhu) désignait au départ, pour les musulmans qui pénétrèrent en Inde, les habitants du bassin de l'Indus[6]. L'hindouisme se présente comme un ensemble de concepts philosophiques issus d'une tradition remontant à la protohistoire indienne[9], la pratique hindouiste étant sans doute issue d'une tradition orale très ancienne, proche de l'animisme[10]. On retient parfois une tripartition historique qui fait de l'hindouisme la dernière phase du développement des religions en Inde, après le védisme aryen (~1500 à 900 av. J. Étymologie[modifier | modifier le code] Définition de l'hindouisme par la Cour suprême de l'Inde[modifier | modifier le code] Bahaïsme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cette page contient des caractères spéciaux ou non latins. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation…), consultez la page d’aide Unicode. Le bahaïsme Le mausolée de Bahāʾ-Allāh à Acre. Histoire[modifier | modifier le code] Le Bāb[modifier | modifier le code] Au début des années 1790 en Perse naît un mouvement chiite ésotérique et mystique sous la conduite de Šayḫ Aḥmad Aḥsāʾī. À la mort de Sayyid Kāẓim, le successeur de Šayḫ Aḥmad à la tête de l’école, certains de ses disciples partirent à la recherche d’un nouveau maître pour prendre la direction du mouvement. À son arrivée, le 23 mai 1844, Mullā Ḥusayn est accueilli par un habitant qui l’invite chez lui.

Mullā Ḥusayn est le premier disciple du Bāb. Le cœur du message du Bāb est l’arrivée imminente de « Celui que Dieu rendra manifeste » (man yuẓhiruh Allāh), le promis annoncé par des religions du passé. Bahāʾ-Allāh[modifier | modifier le code] Judaïsme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite de la religion des Juifs. Pour un aperçu de ceux-ci dans leur ensemble, voir Juifs. Pour l'Encyclopedia Britannica, le mot judaïsme recouvre la religion des Juifs, ainsi que la théologie, la loi et les traditions culturelles du peuple juif[1],[2], constitué des descendants des Israélites provenant de l'antique terre d'Israël et des quelques minorités les ayant rejoints par la conversion et s'étant mélangées à eux au fil de leur diaspora de deux millénaires[3],[4]. Pour un juif orthodoxe comme Daniel Boyarin, le judaïsme n'est ni une religion ni une foi, mais « l'ensemble des rituels et des autres pratiques, des croyances et des valeurs, des loyautés historiques et politiques qui constituent l'allégeance au peuple d'Israël »[5].

Le judaïsme comporte des éléments religieux mais ne s'y limite pas puisqu'il contient, outre ses codes de conduite, des lois, des rites, et des coutumes non spécifiquement religieuses. Athéisme. Au sens large, l'athéisme est défini comme l'absence[1] ou le refus[2] de toute croyance en quelque divinité que ce soit. Le terme s'oppose donc au théisme, toutefois cette définition ainsi posée ne permet pas de le distinguer clairement de l'agnosticisme, de l'antithéisme et de l'apathéisme avec lesquels il peut être confondu. Ainsi, l'athéisme se définit comme la considération qu'il n'existe aucune notion de divinité plausible, prouvable et donc réelle[3],[4],[5], ceci tant pour un dieu unique que pour un ensemble de divinités intégrées dans un même mythe. Au sens fort toutefois, l’athéisme désigne l'affirmation d'inexistence d'une divinité.

Cette conception de l'athéisme a changé suivant les auteurs et les époques. Qualifiés tour à tour d'apostats, d'hérétiques, de blasphémateurs, de mécréants ou encore d'infidèles (kufr), les athées ont été et sont toujours largement victimes de persécutions et de discriminations, légales ou non, y compris dans des pays développés et laïques[6]. Athéisme - L'homme debout. Vivre sans dieu, religion et croyances. Protestantisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le protestantisme est l'une des principales familles du christianisme avec le catholicisme romain et l'orthodoxie. Entendu largement, le protestantisme est l'ensemble des groupements "issus, directement ou non, de la Réforme et qui rejettent l'autorité du pape" [1] Selon cette perspective, le protestantisme englobe des mouvements disparates allant des luthériens jusqu'aux quakers. L'origine et la signification du mot (voir infra) obligent cependant à restreindre ce terme pour les seuls courants luthérien et réformé, dont la cohérence et l'unité ont été affirmées très tôt[2], en dépit de querelles et même de divisions parfois vives.

Introduction[modifier | modifier le code] La Réforme est le résultat du rejet des orientations prises par le catholicisme pendant le Moyen Âge (et qui ont été définitivement réaffirmées par Rome au concile de Trente.) Origine du mot protestant[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Islam. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne pas confondre l'islam (et l'adjectif islamique) avec l'islamisme (et l'adjectif islamiste). L'islam (arabe : الإسلام) est une religion abrahamique[1] articulée autour du Coran, que le dogme islamique considère comme le recueil de la parole de Dieu (arabe : الله, Allah) révélée à Mahomet, considéré par les adhérents de l'islam comme le dernier prophète de Dieu[2], au VIIe siècle en Arabie. Un adepte de l'islam est appelé un musulman. L'islam a pour fondement et enseignement principal le tawhid (monothéisme, unicité), c'est-à-dire qu'elle revendique le monothéisme le plus épuré où le culte est voué exclusivement à Dieu.

Outre le Coran, la majorité des musulmans se réfère à des transmissions de paroles, actes et approbations de Mahomet, récits appelés hadîths. L’islam se répartit en plusieurs courants, notamment le sunnisme, qui représente entre 80 et 85 % des musulmans[13], et le chiisme rencontré principalement en Irak et en Iran. Étymologie. Catholicisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le catholicisme est une confession chrétienne en même temps qu'il est une aspiration à l'unité de la foi, de l'Église catholique et par delà, de toute l'humanité dans le Christ.

Le terme catholicisme est apparu à la fin du XVIe siècle, à la suite de la naissance des confessions protestantes, pour désigner la religion des chrétiens reconnaissant l'autorité du pape et des évêques[1]. D'un autre côté, l'adjectif « catholique » dont dérive le terme « catholicisme », renvoie aux origines même du christianisme. Ainsi, si l'usage du terme a une histoire qui remonte au XVIe siècle, c'est dans l'affirmation de la continuité d'une tradition bimillénaire de recherche d'unité et de « catholicité » que se situe aujourd'hui le catholicisme[2].

Le catholicisme renvoie a ce qui est appelé, sans uniformité, « Église », « Église catholique » ou « Église catholique romaine ». Définitions[modifier | modifier le code] Bouddhisme. Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VIe – Ve siècles av. J. -C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama à Bodhgaya dans le Bihar et de la diffusion de son enseignement. Les notions de dieu et de divinité dans le bouddhisme sont particulières : bien que le bouddhisme soit souvent perçu comme une religion sans dieu créateur[n 1], cette notion étant absente de la plupart des formes du bouddhisme[n 2], la vénération et le culte du Bouddha historique Siddhartha Gautama en tant que bhagavat jouent un rôle important dans le Theravāda tout comme dans le Mahāyāna, qui voient en ce personnage un être éveillé doté d’un triple corps[n 3].

Le bouddhisme, à travers ses différentes écoles, présente un ensemble ramifié de pratiques méditatives, de rituels religieux (prières, offrandes), de pratiques éthiques, de théories psychologiques, philosophiques, cosmogoniques et cosmologiques, abordées dans la perspective de la bodhi, « l'éveil ». Origines. L'inconscient c'est Dieu. Portail:Religions et croyances.