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Planete et capitalisme

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Transports. Des alternatives aux pesticides » Article » OWNI, Digital Journalism. Documentaire fouillé, "Notre poison quotidien" aurait gagné à évoquer aussi l'évolution de l'histoire de l'agriculture et en particulier la chimie verte qui recourt aux pesticides non-toxiques. Après Le Monde selon Monsanto, Marie-Monique Robin revient en lanceuse d’alerte avec un documentaire efficace, très fouillé et bien ficelé à propos des produits chimiques que nous ingérons malgré nous. Notre poison quotidien est cette fois un réquisitoire contre les industriels de la chimie, mais la journaliste pointe aussi les dysfonctionnements au niveau du circuit d’évaluation des différents produits, avant leur autorisation d’utilisation.

Trois thèmes sont abordés dans le documentaire, partant des agriculteurs victimes de maladies et intoxications chroniques liées à l’utilisation des pesticides en passant par les additifs alimentaires pour finir par les perturbateurs endocriniens (dont le bisphénol A). D’autres alternatives qui sont purement biologiques aux pesticides existent aussi. Biodiversité: des botanistes recensent plus d'un million de noms de plantes.

Des botanistes britanniques et américains ont annoncé mercredi avoir recensé 1,25 million de noms de plantes différentes constituant la première liste aussi vaste d'espèces et consultable sur le site www.theplantlist.org en anglais. Cette banque de données, essentielle pour la conservation des espèces, contient les noms scientifiques et les synonymes d'espèces végétales allant des herbes les plus simples aux légumes en passant par les roses de jardin, les fougères exotiques ou les mousses et conifères des bois. La «Plant List» comporte également des liens internet vers des publications scientifiques en rapport avec ces espèces pour aider les chercheurs, tant en botanique qu'en pharmacie dans leurs travaux.

Une liste «cruciale» La liste a été réalisée juste à temps pour la clôture de l'année internationale de la biodiversité par les botanistes des Royal Botanical Gardens (Kew Gardens) de Grande-Bretagne et le Missouri Botanical Garden américain. Des recherches commencées en 2008. Des pesticides écolos ? La com' verte de l'industrie agrochimique. Bienvenue dans le monde merveilleux des fabricants de pesticides. Une prairie plantée d’arbres en fleurs borde les rives d’un lac : telle est l’image accueillante du site internet de Bayer CropScience, la firme allemande de produits agrochimiques qui emploie près de 1 900 salariés à Lyon. Un encadré prévient l’internaute ? : « Nous agissons... Agriculture et biodiversité, des intérêts communs ? « Nous agissons en proposant des produits phytopharmaceutiques [comprendre des pesticides, ndlr] pour que l’agriculture puisse assurer une production de qualité tout en préservant l’environnement. » Quand l’écologie se refait une virginité sur le dos de l’écologie Mais depuis quand les multinationales de l’agrochimie se sont-elles muées en associations de défense de l’environnement ?

Les équipes lyonnaises, qui constituent la matière grise et le centre névralgique de l’agrochimie hexagonale, rivalisent d’ingéniosité pour faire passer le message le plus écolo possible auprès du grand public. Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » | Actuwiki. Basta ! : Vous défendez une société de la sobriété. Les crises actuelles et l’austérité qui menace vont-elles permettre de remettre en question le système économique dans lequel nous vivons ? Pierre Rabhi [1] : Je ne me réjouis pas de cette situation, mais je me dis finalement que l’être humain a besoin d’entrer dans des impasses pour mieux comprendre.

Les impasses peuvent soit finir sur un chaos généralisé, soit permettre d’initier autre chose. Le chaos est tout à fait possible : une sorte de cocotte-minute d’incertitudes et d’inquiétudes est en train de miner les âmes et les consciences. Qu’une seule ville explose et toute la France explose. Le problème aujourd’hui n’est pas de se réjouir de cela, mais de voir ce qu’on peut tirer de cette évolution. Pendant la campagne électorale, l’écologie a quasiment disparu du débat politique. Selon vous, le progrès technologique nous asservirait ?

La civilisation moderne est la civilisation la plus fragile de toute l’histoire de l’humanité.

Consommation

Obsolescence programmée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La célèbre Ford T, fiable, solide, durable et accessible à l'Américain moyen, a très peu évolué durant ses 19 ans de production (1908 – 1927). Elle n'a finalement pas pu faire face à la concurrence de General Motors qui a établi sa stratégie sur la production régulière de nouveaux modèles démodant les séries précédentes[1].

C'est un des exemples proposés d'obsolescence programmée, par le design et la mode entretenue par la publicité. L'obsolescence programmée (OP) ) est le nom donné à l'ensemble des techniques visant à réduire la durée de vie ou d'utilisation d'un produit afin d'en augmenter le taux de remplacement[1]. Face à la prise de conscience du public, certains pays tentent de légiférer pour limiter le recours à l'obsolescence ou au vieillissement programmés. Position du problème[modifier | modifier le code] L'obsolescence programmée constitue un effet pervers de la société de consommation. Définitions[modifier | modifier le code] Obsolescence programmée : un rapport accablant de l'Ademe | Responsabilité Sociale des Entreprises. Www.youtube.com/v/J-XGn32vYQU&fs=1&source=uds&autoplay=1.

Prêt à jeter. Mardi 24 janvier 2012 à 20h35 Un produit usé = un produit vendu ! Dans les années 1920, des industriels américains ont trouvé la formule magique pour soutenir la consommation : l’obsolescence programmée. Fini les bas en nylon qui résistent à tout et les ampoules qui durent cent ans, un bon produit est un produit jetable. Tourné aux quatre coins du monde, Prêt à Jeter est une enquête sur les bases de notre économie moderne - consommation, gaspillage et pollution. © Article Z Insolite :Prêt à jeter raconte également l’histoire de la Centennial Light. Dans une société où la croissance est tirée par la consommation, les produits durables sont une catastrophe ! Pour rentabiliser les machines et soutenir la consommation, on a contraint les ingénieurs à réduire la durée de vie des produits.

"À l'époque, le développement durable n'était pas au centre des préoccupations", rappelle Warner Philips, arrière-petit-fils des fondateurs de la marque du même nom. Terres Rares.