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La politique de Donald Trump au Proche-Orient est-elle dangereuse ? Donald Trump a-t-il une politique cohérente au Proche-Orient ?

La politique de Donald Trump au Proche-Orient est-elle dangereuse ?

Malgré une succession d’errements et même de volte-faces qui rendent la politique étrangère américaine souvent illisible, il est pourtant possible de discerner quelques constantes. Avant son élection, les promesses électorales de Trump tournaient autour de trois principaux engagements. Le premier était d’annuler l’accord sur le nucléaire négocié avec l’Iran par l’administration Obama et signé le 14 juillet 2015 par les cinq membres du conseil de sécurité des Nations unies (États-Unis, Chine, Russie, France et Royaume-Uni) et par l’Allemagne. Trump, durant sa campagne, s’était engagé à se « retirer » de cet accord, voire à l’« abroger » et aussi, parfois, à le « renégocier ». Son deuxième engagement était d’amener Israéliens et Palestiniens à un « accord final » de paix entre eux. L’ONU et les Palestiniens : de l’ambiguïté à l’impuissance.

1 Le « mandat britannique sur la Palestine » a été institué par la Société des Nations au début du 20(...) 2 L’Empire ottoman, qui avait tenté de se redresser économiquement au milieu du 19e siècle par des ré (...) 1L’origine de la question de la Palestine prend sa source dans la mise en place des mandats1 créés par la Société des Nations (SDN) à la suite du démantèlement de l’Empire ottoman2 et de son partage en zones d’influences entre la France et la Grande-Bretagne. 3 La déclaration Balfour est une lettre ouverte présentée par Arthur Balfour, ministre des Affaires é (...) 2Si les événements qui ont précédé, et notamment la décision du premier congrès sioniste à Bâle en 1897 d’établir un foyer national juif en Palestine, ont été les bases du projet, la déclaration Balfour de 19173 a permis au mouvement sioniste d’obtenir l’appui dont il avait besoin pour que la présence juive en Palestine soit un droit et non une tolérance.

L’ONU et les Palestiniens : de l’ambiguïté à l’impuissance

Entretien avec Alain Dieckhoff : « l’échec de la diplomatie [sur le conflit israélo-palestinien] est consommé depuis 20 ans » La volonté d’annexion unilatérale d’un tiers de la Cisjordanie par Israël marque-t-elle l’échec de la diplomatie sur le conflit israélo-palestinien ?

Entretien avec Alain Dieckhoff : « l’échec de la diplomatie [sur le conflit israélo-palestinien] est consommé depuis 20 ans »

Selon moi, oui. Depuis l’échec du sommet de Camp David et le début de la Seconde Intifada en 2000, les négociations n’ont pas apporté beaucoup d’espoir pour la résolution du conflit. L’échec de la diplomatie est donc consommé depuis 20 ans car depuis, en terme diplomatique, la situation a peu bougé. La question de l’annexion n’est selon moi pas le début d’une nouvelle phase dans le conflit, mais plutôt l’aboutissement de l’impasse de ces 20 dernières années.

La rencontre d’Annapolis (2007 : le président palestinien Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien Ehud Olmert appellent à appliquer la solution à deux Etats), ou encore la tentative de relance des négociations par John Kerry en 2014 n’étaient que des discussions de façade ? Concernant Annapolis, la rencontre n’a pas abouti à des engagements sérieux. Effectivement. La Guerre d’Irak (2003-2011) : une guerre gagnée, une paix perdue – GeoStrategia. Avec cet article, l’auteure nous propose un éclairage sur la combinaison politique-stratégique-tactique, au cœur de l’équilibre des principes qui cadrent la guerre en tant qu’acte politique, avec l’exemple du conflit en Irak sur la période 2003-2011.

La Guerre d’Irak (2003-2011) : une guerre gagnée, une paix perdue – GeoStrategia

Elle souligne se faisant l’importance clef d’une stratégie pertinente a priori, stratégie qui devra savoir s’adapter a posteriori, au fil de l’interaction avec l’Autre. Les opinions exprimées dans cet article n’engagent pas le CSFRS. Les références originales de ce texte sont: « La Guerre d’Irak (2003-2011) : une guerre gagnée, une paix perdue » par Cécile Bonodot. Ce texte, ainsi que d’autres publications peuvent être visionnés sur le site de l’Ecole de Guerre : Aïn el-Héloué se mobilise contre le projet d’annexion israélien en Cisjordanie. Des centaines de Palestiniens ont tenu mercredi vers midi un sit-in dans le camp palestinien de Aïn el-Heloué à Saïda, le plus grand du Liban, pour refuser la politique d’annexion israélienne des territoires palestiniens, le « marché du siècle » et « la politique américaine injuste à l’égard du peuple palestinien », rapporte notre correspondant Mountasser Abdallah.

Aïn el-Héloué se mobilise contre le projet d’annexion israélien en Cisjordanie

Selon l’accord entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-rival Benny Gantz, leur gouvernement d’union devait se prononcer à partir du 1er juillet, donc mercredi, sur l’application du plan du président américain pour le Proche-Orient, qui prévoit notamment l’annexion par Israël de colonies et de la vallée du Jourdain en Cisjordanie occupée. Au jour 1 de ce calendrier, des ministres ont toutefois estimé qu’aucune annonce ne serait faite ce jour. . « Proclamer la lutte armée »« Je participe à ce rassemblement pour exprimer ma colère face à ce nouveau complot qui vise les Palestiniens. Les informations sur Israël, le Moyen Orient et le monde Juif. Orient XXI. Le Conflit Israélo-Palestinien — Parallel Histories.